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Linux
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(04/02/2011 15:27:57)
OpenStack dévoile Bexar et recrute Cisco et Canonical
« Cisco devrait contribuer au code du projet pour rendre plus facile la configuration de ses commutateurs dans un environnement OpenStack », a déclaré Mark Collier, vice-président du développement commercial chez Rackspace. Dans une déclaration par e-mail, Lew Tucker, directeur technique de la division Cloud Computing de Cisco, a déclaré que son groupe était «heureux d'annoncer sa participation en tant que membre à part entière de la communauté OpenStack. » et d'ajouter « allouer des ressources réseau ou des services basés sur le réseau est une des composantes fondamentales du cloud computing et nous sommes impatients de travailler avec le reste de la communauté pour assurer le succès de ce projet Open Source». Avec Cisco, d'autres membres vont accompagner les efforts d'OpenStack, comme Extreme Networks, et Grid Dynamics. Le projet comprend maintenant environ 50 membres, dont Dell et Citrix. Microsoft n'est pas membre, mais a indiqué que son logiciel de virtualisation Hyper-V supportera OpenStack.
Canonical, membre récent, va distribuer le projet avec la prochaine version de sa distribution Linux, qui devrait rendre plus facile l'intégration dans un environnement OpenStack. L'éditeur a indiqué la compatibilité de son offre avec Eucalyptus (concurrent d'OpenStack) souligne le président de Canonical, Mark Shuttleworth. « Nous aurons deux options de service cloud, OpenStack et Eucalyptus dans Ubuntu 11.04, à paraître en avril, et nous verrons alors comment ils se positionnent en termes concurrentiels », dit-il dans une vidéo sur le site web de Dell. Il ajoute « nous commençons à avoir une idée de l'importance de la normalisation au niveau de l'infrastructure du cloud, et les deux projets mis en avant vont être au coeur de ce processus ».
Bexar dévoilé en attendant Cactus
Le projet est encore récent - sa première version, Austin, est sortie seulement en octobre dernier. Rackspace a annoncé le lancement d'une prochaine version d'OpenStack, sous le nom de code Bexar, qui ajoute des capacités de stockage, un logiciel de sauvegarde des images et de soutien pour le protocole IPV6. «Les gens sont amenés à prendre des décisions stratégiques sur le cloud qui auront un impact durant plusieurs années. Si quelqu'un envisage d'adopter une plateforme cloud, en particulier Open Source, soutenue par des sociétés crédibles, il aura plus confiance sur le long terme » indique Mark Collier. Le support IPv6 dans Bexar a été fourni par l'opérateur japonais NTT, qui est aussi membre OpenStack. La prochaine version comprendra également une traduction en huit langues, confirme Mark Collier. La solution de sauvegarde d'image, appelée Panorama, fournit des services de recherche, de sauvegarde et la restauration des images de machines virtuelles. Bexar élargit la capacité de stockage des objets qui passe de 5 Go par objet dans la version Austin à une taille illimitée, ajoute Mark Collier.
Les travaux sur la prochaine version, nom de code Cactus, sont en cours. Un des principaux objectifs est de la rendre suffisamment robuste pour des déploiements à grande échelle auprès des opérateurs télécoms et des fournisseurs de services, en ajoutant de nouveaux outils pour faciliter la gestion, » conclut Jesse Andrews, co-fondateur d'Anso Labs, qui travaille avec la NASA pour exécuter son propre environnement cloud. (...)
Google offre 20 000 dollars pour craquer son navigateur Chrome
Lors du concours Pwn2Own 2011, les chercheurs vont donc se mesurer et appliquer leur savoir-faire pour s'attaquer aussi à des machines fonctionnant sous Windows 7 ou Mac OS X et pour tenter de cracker Internet Explorer, Firefox, Safari et surtout Chrome. Les premiers chercheurs qui pirateront IE, Firefox et Safari recevront 15 000 dollars et l'ordinateur où le navigateur est exécuté. Les prix sont de 5 000 $ de plus que ceux proposés à l'édition 2010 du Pwn2Own, et trois fois plus que le montant de 2009. « Nous avons augmenté la somme totale distribuée pour établir les gains à 125 000 dollars » a déclaré Aaron Portnoy, responsable d'une équipe de chercheurs en sécurité d'HP TippingPoint. Cette société parraine le concours et vient d'en fixer des règles dans un message sur un blog.
La nouveauté de cette année est la participation de Google. La société est le premier éditeur de navigateur à financer un prix. Aaron Portnoy « félicite l'équipe de sécurité Google pour avoir pris l'initiative de nous approcher à ce sujet ». Les règles de Chrome sont légèrement différentes que pour les autres navigateurs, car il est le seul des quatre à utiliser une « sandbox », un outil de défense pour éviter les attaques exploitant une faille. Avec ce bac à sable, les chercheurs ont besoin non pas d'une mais de deux vulnérabilités: la première pour que leur code d'attaque contourne la sandbox, et une seconde pour exploiter les failles de Chrome. D'autres éditeurs de logiciels ont suivi les traces de Chrome pour essayer de rendre leurs applications plus sécurisées. L'année dernière, par exemple, Adobe a ajouté un bac à sable - provenant en partie du travail de Google - à son programme PDF Reader.
Chrome se met en avant et la sand box aussi
Pour repartir avec les 20 000 dollars promis par Google le premier jour du Pwn2Own, les chercheurs devront trouver et exploiter deux vulnérabilités dans le code du navigateur. Lors du deuxième et troisième jour du concours les chercheurs pourront utiliser un bug non-Chrome, par exemple celui de Windows, pour sortir de la sandbox. Si une attaque arrive lors du deuxième et troisième jour, les apprentis pirates gagneront 20 000 dollars, mais seulement de 10 000 proviendront de l'éditeur de Mountain View; TippingPoint complétera l'autre moitié. La participation de Google au Pwn2Own 2011 peut être considérée comme une marque de confiance dans la sécurité de son navigateur. Si Chrome a été un des navigateurs cibles aux différentes éditions du concours depuis 2 ans, aucun chercheur n'a réussi à le craquer.
IE, Firefox et Safari sont eux déjà tombés lors des deux dernières années, de différentes manières rendant le concours un peu embarrassant pour les éditeurs. En 2009, un chercheur - un informaticien allemand qui n'a donné que son prénom, Nils - a réussi à pirater les trois navigateurs. Grâce à cela, il a empoché 15 000 dollars, soit 5 000 dollars pour chaque hack. Charlie Miller, le seul chercheur à avoir remporté des prix Pwn2Own trois années consécutives, ne souhaitait pas récidiver cette année, mais l'annonce pour Chrome l'a intrigué. « Pwn2Own offre maintenant 20k pour l'attaque sur Chrome », a inscrit Charlie Miller sur Twitter. « Cela sera dur et je suis heureux que Mac OS X ne dispose pas de sandbox pour son navigateur ».
TippingPoint va aussi focaliser le concours Pwn2Own sur les mobiles où les chercheurs tenteront de pirater les smartphones sous iOS, Android, Windows Phone 7 et BlackBerry OS. Les attaques réussies seront rémunérées à hauteur de 15 000 dollars.
Crédit Photo : D.R
Une brique logicielle Intel pour démocratiser le FCoE dans les datacenters
Open FCoE était en test et développement depuis un certain temps, mais cette brique logicielle vient d'être finalisée, après avoir été certifié pour Windows, les distributions Linux Red Hat et Novell, ainsi que les plateformes de stockage d'EMC et de NetApp. Une validation a été également obtenue pour les commutateurs de Cisco et Brocade. Open FCoE est offert comme une mise à jour gratuite des cartes réseaux Intel X520 Server 10 Gigabit Ethernet.
FCoE est une technologie avancée d'Ethernet qui est conçu pour apporter la fiabilité de la connexion Fibre Channel aux infrastructures réseaux majoritairement équipés en Ethernet. Le FC reste la connexion de nombreuses plates-formes de stockage d'entreprise, même si d'autres technologies existent, tels que les NAS (stockage connecté au réseau Ethernet) et l'iSCSI (Internet SCSI). En proposant Ethernet comme moyen d'interopérer les ressources informatiques et celles du stockage, les responsables IT disposeront de plus de flexibilité pour modifier leurs datacenters, que les équipementiers souhaitent unifier.
Un de ces prescripteurs est Cisco, qui propose des produits FCoE depuis juin 2008. Open FCoE sera disponible à tous les clients 10-Gigabit Ethernet, a annoncé Soni Jiandani, vice-président du marketing de l'unité d'affaire Access Server Virtualization de Cisco. « Les clients ne devront plus s'interroger sur quelle type de connexion je dois choisir pour mes serveurs de stockage, NAS, iSCSI ou Fibre Channel. D'où l'idée de créer un seul câble capable d'adapter n'importe quel type de solutions de stockage sur son infrastructure informatique,» précise la dirigeante. Ce type de flexibilité est essentiel pour tirer le meilleur parti de la virtualisation de l'informatique et du stockage, ajoute-t-elle.
Une intégration stratégique pour l'avenir
EMC a qualifié le logiciel Open FCoE pour une utilisation avec son VMAX Symmetrix et ses baies hybrides VNX. Fondés sur une matrice 10 Gigabit Ethernet partagée,la virtualisation des serveurs et les réseaux de stockage convergents sont les ingrédients essentiels d'une infrastructure rentable », a déclaré Paul Brown, vice-président et directeur général des activités Networking Storage d'EMC.
L'adoption de FCoE devrait plus que doubler chaque année, selon l'analyste Seamus Crehan du groupe éponyme. Il y avait environ 300 000 ports FCoE sur commutateurs et 500 000 ports via des cartes livrés à travers le monde en 2010, précise le consultant. C'est encore une part infime des 29 millions de ports Ethernet déployés soit via des adaptateurs ou sur les cartes mères. Les entreprises ont fait preuve de prudence dans l'application de FCoE, car il s'agit d'une nouvelle technologie qui est conçu pour les parties les plus critiques de l'infrastructure informatique, explique l'analyste. Il exige aussi une évolution couteuse des serveurs déjà équipés de lien Gigabit Ethernet vers le 10 Gigabit.
Maintenant qu'Open FCoE est disponible, l'entreprise peut prendre la décision d'investir dans du 10 Gigabit Ethernet, cela sera plus facile pour elle de mettre en oeuvre le FCoE à l'avenir, conclut Seamus Crehan. (...)
IBM propose une offre VDI à destination des PME
L'offre Virtual Desktop For Smart Business devrait contribuer à alléger les coûts élevés normalement associés aux déploiements de solutions de virtualisation de poste de travail, a déclaré Dan Cerutti, directeur général de l'unité d'IBM Smart Business Solutions. Dans de nombreux cas, les petites entreprises n'ont pas les compétences de faire face à la complexité de la VDI. Ce plan va permettre aux intégrateurs de proposer une solution facile d'installation, explique-t-il. « Nous avons considérablement simplifié la commande et l'achat de ce type de solutions. Tout est inclus dans le service Virtual Desktop » précise Dan Cerutti.
Le package VDI permettra aux collaborateurs d'accéder à leur environnement bureau sur une grande variété de dispositifs, y compris iPad et clients légers. Ils pourront au choix disposer à la fois des OS Windows (XP, Seven) et Linux (Ubuntu,Red Hat, Novell). L'accès au bureau pourra se faire aussi sans connectivité, par l'utilisation d'une clé USB.
Big Blue ne proposera pas directement cette offre aux clients. Des revendeurs et des intégrateurs spécialisés auprès des petites et moyennes entreprises seront en charge de la commercialisation. Jusqu'à présent, IBM a recruté environ 100 partenaires à travers le monde pour vendre ces produits, explique Dan Cerruti. Les partenaires pourraient installer le matériel et les logiciels sur site du client, ou de le gérer en interne comme un service hébergé. IBM pourrait offrir prochainement le package lui-même comme un service hébergé, indique le responsable.
Hyperviseur serveur et bare metal
La souscription ne nécessite pas de nombre minimum d'utilisateur, mais la durée du contrat est d'un an. Les ordinateurs de bureau sont gérés de manière centralisée, sur les serveurs IBM System X sous SUSE Linux. La virtualisation des postes se fait par le logiciel Verde (Virtual Enterprise Remote Desktop Environment), proposé par Virtual Bridges. Ce système repose sur l'hyperviseur KVM pour le serveur et d'un hyperviseur de type 1 installé sur le client (probablement Xen Client). Le package comprend également Smart Business Foundation, une collection d'outils de gestion de paramétrage et de maintenance.
La configuration standard pour l'utilisateur final consiste à établir quelques « Gold Master » ou instances du système d'exploitation, comprenant plusieurs applications nécessaires pour un ensemble de salariés. Chaque employé aura par ailleurs accès à ses données à caractère personnel, ainsi que ses préférences personnelles comme les signets de leur navigateur. IBM estime que 200 postes de travail peuvent être gérés depuis un de ses serveurs. Le prix de ce service débute à partir de 150 dollars par utilisateur et par an.
Virtual Desktop For Smart Business est la première déclinaison de ce qu'IBM souhaite développer comme offre pré-configurée. D'autres packages seront bientôt proposés pour couvrir la gestion de documents, l'analyse, la collaboration et les applications de CRM, conclut Dan Cerutti.
Spécialisation en systèmes embarqués Linux pour Eurogiciel à Rennes
Rennes. Elle se distingue toutefois en remplissant un double rôle. D'action auprès des clients, comme toute autre agence, dans l'informatique de gestion (avec des technologies Java, J2EE, Dot.net et majoritairement avec des méthodes agiles). De développement en informatique industrielle, et particulièrement sur systèmes embarqués Linux, un pôle national Eurogiciel basé à Rennes.
L'agence est ambitieuse, elle compte 4 personnes, en recrutera 10 cette année et se voit à terme aux alentours de 100 collaborateurs.
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