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(29/06/2011 12:16:35)
Oracle lance un programme Exastack pour attirer les éditeurs de logiciels
La migration du traitement des données vers des systèmes spécialisés à haute technicité va à l'encontre de la tendance actuelle plutôt orientée vers les fermes de serveurs. Mais Oracle soutient que son Exadata et son serveur d'application Exalogic contribueront réellement à diminuer les coûts opérationnels globaux des vendeurs de logiciels indépendants (ISV). « Exastack est vraiment la plateforme du futur pour les ISV, » a déclaré Judson Althoff, vice-président senior Worldwide Alliances & Channels, au cours d'un webcast.
Le programme Exastack comporte deux niveaux, Ready et Optimized. Dans le premier, les partenaires pourront appliquer un label indiquant que leurs applications supportent Exalogic, Exadata et la pile logicielle qui tourne sur ces matériels, dont la base de données Oracle, WebLogic Application Server, et les systèmes d'exploitation Linux et Solaris. Les partenaires Optimized du programme Exastack auront accès aux ressources techniques et aux laboratoires spécialisés qu'Oracle a mis en place dans le monde entier, ce qui leur permettra notamment d'adapter plus finement leurs applications Exadata et Exalogic.
« Avant de les diriger vers un laboratoire, Oracle travaillera avec les partenaires pour établir un système d'évaluation des compétences, » a indiqué l'entreprise pendant le webcast. Ils iront ensuite passer une semaine ou deux dans notre laboratoire avec les architectes et les ingénieurs d'Oracle afin de tester les performances en situations réelles et de les confronter aux objectifs établis préalablement. « Le programme Ready est ouvert dès maintenant. Le lancement du programme Optimized est prévu pour plus tard cette année, » a précisé Oracle.
Des annonces attendues à OpenWorld
Certains vendeurs de logiciels indépendants se préparent déjà pour le programme Optimized d'Exastack et la firme de Redwood prévoit de faire quelques annonces à ce sujet lors de la conférence OpenWorld qui aura lieu plus tard cette année, comme l'a déclaré le vice-président. « Aujourd'hui, on compte un millier de systèmes Exadata en opération dans le monde. Oracle prévoit de tripler ce nombre cette année, » a déclaré, la semaine dernière, le vice-président d'Oracle, Mark Hurd, lors de la présentation des résultats financiers du quatrième trimestre. La société californienne n'a pas communiqué de chiffres précis sur les ventes d'Exalogic, mais celles-ci auraient bénéficié d'une accélération encore plus importante qu'Exadata, selon Mark Hurd.
Lors de son intervention, Judson Althoff a également évoqué les changements entrepris par Oracle concernant son réseau de partenaires pour l'exercice fiscal qui a débuté le 1er juin. Celui-ci a notamment fait allusion à certains « défis » opérationnels auxquels devaient faire face Oracle et ses partenaires depuis que l'entreprise a intégré Sun Microsystems. Oracle a bouclé l'acquisition de Sun en janvier 2010, une date qui a marqué également son entrée dans le secteur du hardware. « Nous réalisons que nous avons été en position difficile pour l'exercice 2011, » a déclaré Judson Althoff. « Notre objectif est d'être les meilleurs dans notre secteur. » Déjà, « l'automatisation des commandes a subi des améliorations importantes et d'autres changements sont en cours, comme la mise en place d'un panier unique pour les achats de logiciels et de matériel, » a ajouté le vice-président. « Oracle met également en route un nouveau programme d'incitation financière pour le réseau de partenaires dans le terme fiscal actuel, » a déclaré Judson Althoff.
iCloud: ce qui va changer pour les utilisateurs de MobileMe
Début juin, Apple a annoncé qu'il débrancherait MobileMe en 2012, soit plusieurs mois après avoir mis en route iCloud. Mais jusqu'à la semaine dernière, Apple a laissé les utilisateurs de MobileMe dans le noir, ne sachant pas ce qui serait conservé et transféré vers iCloud et ce qui disparaîtrait. La FAQ d'Apple intitulée « Passage de MobileMe à iCloud » donne quelques réponses.
Sera-t-il encore possible d'accéder à sa messagerie, à son agenda et à ses contacts sur le web ?
La réponse est Oui. A l'automne, quand iCloud sera opérationnel, les utilisateurs pourront continuer d'accéder à leur mail, à leurs agendas et à leurs contacts, trois des applications actuellement disponibles sur MobileMe. Apple a indiqué qu'il donnerait plus de détails sur la manière de migrer le mail, l'agenda et les contacts de MobileMe vers iCloud lorsque ce service sera effectivement en ligne.
Que se passe-t-il avec iDisk et les fichiers stockés sur cet espace ?
iDisk ne migrera pas vers iCloud. Mais Apple ne déconnectera pas le service MobileMe avant le 30 juin 2012. Ce qui laisse aux abonnés un peu plus d'un an de répit : pendant ce temps, ils pourront continuer à télécharger des fichiers depuis et vers l'espace iDisk de 20Go. Avant que MobileMe ne disparaisse, les utilisateurs devront récupérer les fichiers stockés dans iDisk sur leur Mac ou leur PC. Les instructions pour réaliser cette sauvegarde seront disponibles sur le site d'Apple. (...)
Dassault Systèmes va accueillir ses développeurs dans le cloud
Le spécialiste français des univers virtuels en 3D, Dassault Systèmes, consacre deux journées de conférence à sa plateforme V6, les 28 et 29 juin à Paris (*). La première matinée a particulièrement illustré, au fil des démonstrations, la diversité, l'étendue et la puissance des applications que son offre permet de réaliser : entre la visualisation réaliste d'une construction navale fournissant un accès sécurisé à l'ensemble des données techniques et de conception (accès filtré suivant le profil des utilisateurs) et l'exploration d'une pyramide sur le plateau de Gizeh, permettant de suivre la progression d'un robot à travers les galeries. L'offre V6 rassemble les logiciels de conception Catia, de simulation Simulia, de fabrication numérique Delmia, ainsi que la solution de PLM (gestion du cyle de vie des produits) Enovia et les outils de création 3DVia. Un catalogue qui comprend aussi la gamme SolidWorks et s'est enrichi l'an dernier de la technologie de recherche et d'association de contenus d'Exalead, rachetée par le numéro 1 des éditeurs français.
Développer en ligne sur V6
Autour de Dassault Systèmes s'est également constituée une communauté de partenaires développant des solutions s'appuyant sur sa plateforme. Le groupe français dirigé par Bernard Charlès propose pour bâtir ces produits complémentaires d'une architecture unifiée (CAA2, Composition Application Architecture) qui permet d'étendre V6 au moyen de mash-up, en s'appuyant sur des services web, ou en développant. Les entreprises peuvent par ailleurs intégrer V6 avec les différentes briques de leur système d'information (ERP, CRM, SCM...), Dassault Systèmes collaborant là aussi avec de nombreux partenaires fournissant les connecteurs ad-hoc. Le tout s'appuyant sur un bus d'événements qui permet d'exploiter la technologie d'Exalead pour indexer et ainsi mieux comprendre l'ensemble des informations gérées dans l'entreprise, qu'il s'agisse de données provenant d'Enovia ou encore d'applications SAP ou Siebel.
« Nous disposons des composants pour l'intégration horizontale et verticale, mais nous voulons aussi aider nos clients à développer avec V6 en leur fournissant une plateforme de développement dans le cloud, a annoncé ce matin Dominique Florack, vice-président exécutif senior, R&D produits de Dassault Systèmes. Dans quelques jours, nous allons la mettre à disposition afin que nos partenaires puissent développer leurs applications en ligne sans avoir rien à installer en interne ». Sous peu, il sera possible de développer, tester et proposer les applications en ligne et, même, de les monétiser. « C'est le fruit de 18 mois de travail pour préparer V6 pour le cloud », a souligné Dominique Florack.
Ce matin, Dassault Systèmes a également présenté la boutique en ligne 3dStore qui proposera notamment des applications pour la communauté SolidWorks, comme le logiciel de collaboration nFuze, et qui comportera aussi des applications mobiles.
(*) Dassault Systèmes Application Innovation Summit 2011, à la Grande Arche de la Défense. Il s'agit d'une conférence mondiale qui rassemble 500 participants.
Illustration : CAA2, l'architecture proposée par Dassault Systèmes pour composer des applications complémentaires à V6 ou intégrer les solutions de sa plateforme au système d'information de ses clients (source Dassault Systèmes). (...)
Oracle révèle le prix des Fusion Applications, sans date de sortie
Les Fusion Applications combinent les meilleures fonctions des divers ERP (Enterprise Resource Planning) et CRM (Customer Relationship Management) d'Oracle pour créer une suite disponible sur site ou dans le cloud.
La liste publiée indique les prix des modules Fusion pour les finances, l'approvisionnement, le management de portefeuille de projets (PPM pour Project Portfolio Management), les ressources humaines (HCM pour Human Capital Management), la logistique (SCM pour Supply Chain Management), la relation client (CRM pour Customer Relationship Management), les relations partenaires (PRM pour Partner Relationship Management) et la gouvernance, les risques et la conformité aux réglementation (GRC pour Governance, Risk and Compliance). Dans de nombreux cas, il semble que les Fusion Applications sont vendues au même prix que les modules correspondants à d'autres suites ERP d'Oracle. Par exemple, le prix de la licence utilisateur pour Fusion Financials et E-Business Suite Financials est de 4 595 dollars. Mais le prix de licence de Fusion CRM Base est affiché à 4 910 dollars par utilisateur, contre 3 750 dollars pour une licence Siebel CRM Base.
Des fonctionnalités de BI payantes
Par ailleurs, Oracle a fortement insisté sur le fait que les Fusion Applications disposeraient de fonctionnalités BI (business intelligence) omniprésentes pour accompagner de manière permanente l'expérience utilisateur. Mais il semblerait que ces fonctions doivent être achetées séparément. Plusieurs applications de la liste, qualifiées de « business intelligence transactionnelle », sont tarifées 2 000 dollars par licence et par utilisateur. De plus, il est difficile de comparer l'ensemble des tarifs, étant donné que certains modules utilisés pour les Fusion Applications ont changé de noms, et que d'autres proposent des fonctionnalités entièrement nouvelles.
Se pose également la question de savoir si cette liste de prix est vraiment significative, compte tenu des très fortes remises généralement accordées au moment de la négociation des contrats. Selon Ray Wang, analyste et PDG de Constellation Research, tempère ces affirmations « les clients ne doivent pas compter obtenir de bons prix sur les Fusion Applications. Actuellement, les prix sont plutôt à la hausse. »
Des incertitudes tarifaires
Plus récemment, le PDG d'Oracle a déclaré qu'il s'attendait assez vite à de grosses ventes de Fusion Applications. « Nous pensons que la vente de ces dernières sera génératrice de revenu pour l'entreprise cette année, l'année prochaine et l'année suivante. Cela va nous permettre de prendre une part importante du marché SAP, mais aussi à nos amis et rivaux Salesforce.com, » a t-il déclaré la semaine dernière, lors de la conférence au cours de laquelle ont été communiqués les résultats financiers du quatrième trimestre. (...)(28/06/2011 13:56:29)
Microsoft lance Office 365 en rassurant sur la migration depuis BPOS
Microsoft lance donc son offre de bureautique dans le cloud, Office 365. Les entreprises qui utilisaient BPOS, la solution bureautique en ligne de Microsoft vont être invitées à migrer vers la nouvelle plateforme. Car BPOS repose sur des logiciels un peu vieillissants et ne seront pas compatibles avec la prochaine suite.
Ceci est particulièrement important pour les clients qui mettent en oeuvre des déploiements hybrides et souhaitent que leurs services dans le cloud interagissent et se synchronisent avec les applications sur le poste de travail et sur les serveurs. La firme de Redmond appelle cela le concept de « Software plus Services ». L'éditeur indique qu'il s'agit d'un avantage par rapport à son concurrent Google Apps, mais les clients devront s'assurer préalablement de disposer des versions récentes des logiciels avant de migrer.
Le groupe a publié beaucoup d'informations détaillant les exigences techniques pour la mise en oeuvre d'Office 365, y compris les logiciels et instructions nécessaires pour la synchronisation d'annuaire, des conseils en cas de problèmes et des messages sur les blogs. Il existe aussi un forum de discussion et un portail web spécial pour l'évolution vers Office 365.
Trop d'informations suscitent l'inquiétude
Rebecca Wettemann, analyste de Nucleus Research ,souligne que « cette abondance d'informations sur la migration BPOS vers Office 365 peut être le signe que ce processus peut s'avérer complexe notamment pour les petites entreprises ne disposant pas en interne de compétences IT » et d'ajouter « Office 365 touche par exemple à une application critique qui est la messagerie. En plus de la complexité technique, Rebecca Wettemann se déclare inquiète sur les coûts des mises à jour logicielles requises pour Office 365, et plus particulièrement sur la nécessité d'avoir Office 2007 SP2 ou Office 2010 sur les postes de travail des utilisateurs. Michael Osterman, analyste chez Osterman Research constate qu'Office 365 ne fonctionne pas avec Outlook 2003, or « une base très importante de clients utilisent cette version de l'outil de messagerie ».
Microsoft conteste l'idée que la mise en oeuvre ou la transition vers Office 365 soient compliquées. Les administrateurs BPOS n'auront pas à se soucier du transfert de leur compte. L'éditeur va gérer ce problème dans ses datacenters. La clé est de préparer cette migration explique Frank Romeo, un consultant indépendant et qui a travaillé sur un transfert de plus de 3 000 boîtes de messageries au sein de BPOS pour D& M Holdings, fournisseur d'équipement audio et vidéo. « Il faut absolument que l'Active Directory soit très structuré pour migrer vers Office 365 » et d'ajouter « la bascule se fera probablement en début d'année prochaine ». Microsoft a indiqué que la migration pourrait se faire dans les 12 prochains mois.
Pour mémoire, Office 365 comprend un service messagerie électronique avec Exchange Online, les Office Web Apps ( solution de bureautique en ligne ), un outil de travail collaboratif ( SharePoint Online ) et un service de communications unifiées ( Lync Online ). La version TPE coûtera 5,25 euros par mois et par utilisateur. Le coût pour la version PME sera compris entre 3,60 et 22 euros.
A noter que Google a profité de ce lancement pour attaquer son concurrent. Sur le blog de Google entreprise, l'éditeur a dressé un tableau de comparaison tarifaire entre les Google Apps et Office 365. Le titre est malin "365 raisons d'aller vers les Google Apps".
(...)(28/06/2011 10:49:39)Les supercalculateurs de Bull ont leur club
Lors du salon iSC11 (International Supercomputing Conference) à Hambourg, un groupe international d'utilisateurs de solutions de calcul parallèle scientifique et technique fournies par Bull a créé un club, le BuX. Les sept fondateurs sont : Atomic Weapons Establishment (Royaume Uni), Barcelona Supercomputing Center (Espagne), CEA (Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives, France), le Jülich Research Center (Forschungszentrum Jülich, Allemagne), le GENCI (Grand Equipement National de Calcul Intensif, France), le centre régional de recherche de l'Université de Cologne (Regionales Rechenzentrum der Universität zu Köln, Allemagne) et l'Université RWTH d'Aix la Chapelle (Rheinisch-Westfälische Technische Hochschule Aachen, Allemagne).
A l'image de tous les autres clubs d'utilisateurs, le BuX visera à partager des expériences et des pratiques, à remonter à Bull les attentes de ses clients, à faciliter les relations entre des experts Bull et les utilisateurs lors d'événements dédiés et enfin à assurer une veille technologique visant à guider la roadmap des produits.
Bien que le BuX soit une structure indépendante du constructeur, celui-ci met à disposition sur son site un formulaire de contact pour les utilisateurs intéressés.
CA modernise ses logiciels d'administration de mainframes
Avec les dernières mises à jour qu'il livre sur ses logiciels d'administration pour les mainframes, CA Technologies cherche à répondre aux principales demandes des informaticiens intervenant sur ces systèmes. « J'ai rencontré des centaines de clients en un an pour leur demander quels étaient les problèmes qu'ils rencontraient », explique Dayton Semerjian (en photo), directeur général de l'activité mainframe de CA Technologies. Il énumère les trois points qui lui ont été régulièrement répétés : premièrement, le contrôle des coûts, deuxièmement, le maintien des compétences, alors que partent à la retraite les personnes qui s'occupaient jusqu'alors de ces grands systèmes, et troisièmement, l'agilité accrue des mainframes.
Les mises à jour apportées par CA couvrent ces trois catégories de préoccupations, assure Dayton Semerjian. Au total, 84 programmes ont évolué sur les 234 que rassemble l'offre CA pour les mainframes.
Parmi les outils concernés figure Mainframe Software Manager (MSM), conçu pour rationaliser le processus d'installation des autres logiciels de CA. Sa nouvelle édition simplifie sensiblement les opérations de configuration. Dans bien des cas, configurer un logiciel sur un mainframe peut prendre une journée, voire plus, rappelle Dayton Semerjian. Avec la dernière version de MSM, gratuite pour les clients CA sous contrat, cette tâche peut être réduite à moins d'une heure. « Nous avons procédé à un benchmark interne. Nous avons demandé à un spécialiste de ces environnements d'installer dix applications. Sans utiliser MSM, cela lui a pris six heures et demi et avec MSM, moins d'une heure ».
Endevor : une interface basée sur l'IDE Eclipse
Autre outil mis à jour, Endevor (Environment for developers and operations) Software Change Manager qui permet de gérer le code source des applications. Il dispose d'une interface rajeunie, basée sur l'environnement de développement intégré Eclipse. « Pendant des années, les programmeurs se sont interfacés avec Endevor en utilisant un écran vert. Ils peuvent maintenant utiliser Eclipse, à la fois pour développer, mais aussi pour gérer l'application elle-même », explique Mark Combs, vice-président de l'activité mainframes chez CA.
L'outil Sysview Performance Management surveille les performances des autres applications mainframe. Désormais, il déporte davantage de traitements vers le moteur spécialisé zIIP, ce co-processeur qu'IBM a mis à disposition sur ses derniers Z series. Celui-ci permet aux entreprises de réaliser des économies parce que son usage n'est pas facturé par IBM sur ses contrats à l'usage des mainframes. La mise à jour de Sysview utilise 40% de temps CPU en moins. Puisque la facturation sur le mainframe est d'abord effectuée sur la capacité d'utilisation, on voit immédiatement l'intérêt sur le terrain du contrôle des coûts, souligne Mark Combs.
CA utilise aussi le co-processeur pour réduire les temps de processeur sur son logiciel de gestion de la base de données, IDMS (Integrated Database Management System). La nouvelle version déporte 50% de ses traitements vers le zIIP. Elle dispose également de davantage d'outils d'ajustement automatique et de reporting statistique.
Quoique les mainframes soient souvent considérés comme une technologie ancienne, il conserve une présence forte dans de nombreuses entreprises. Dayton Semerjian voit dans ces systèmes une façon de déployer un cloud privé. CA estime que le marché total pour les produits et services mainframe progresse jusqu'à 11,4 milliards de dollars en 2014 (contre 10,6 milliards de dollars en 2010).
Illustration : Dayton Semerjian, directeur général de l'activité mainframe de CA Technologies (crédit : CA) (...)
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