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Emploi

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(11/12/2008 15:07:45)

34 000 postes IT supprimés aux Etats-Unis au mois de novembre

En novembre, le marché de l'emploi IT s'est fortement dégradé aux Etats-Unis. Selon la National association of computer consultant businesses (NACCB), 34 000 emplois ont été supprimés dans l'informatique (soit 0,87% du total de la masse salariale dans l'informatique) au cours du seul mois de novembre. Jusqu'ici, la crise n'avait pas touché les recrutements informatiques, puisqu'en en juin 2008 une étude conduite par la même association de consultants indiquait que le volume des embauches avait atteint de nouveaux records dans la high-tech aux Etats-Unis. Toutefois, en dépit des pertes subies en novembre, la NACCB reste confiante. Elle estime que l'emploi informatique a tout de même progressé de 2,1 % par rapport à la même période en 2007, et de 1% sur la période des mois de septembre, d'octobre et de novembre 2008. D'autres indicateurs, comme celui du site d'emploi Dice.com, préfèrent adopter un ton plus alarmiste. Les résultats d'une étude publiée la semaine dernière par ce spécialiste du recrutement et menée auprès de 1 000 recruteurs high-tech laisse présager une nouvelle diminution des embauches d'ici quelques mois : près d'un tiers des recruteurs prévoient de revoir leurs plans d'embauches à la baisse au cours des six prochains mois. Seuls 22% des répondants ont assuré qu'ils n'avaient pas l'intention de diminuer le volume des recrutements. (...)

(10/12/2008 17:51:25)

Business & Decision va créer plus d'une centaine d'emplois en Picardie

Business & Decision, société de conseil en informatique décisionnelle et en e-business, va ouvrir début 2009 un centre de production en Picardie, à Amiens plus précisément. La SSII française compte sur ce pôle de compétences, axé multi projets et TMA (Tierce maintenance applicative), pour contribuer à dynamiser l'emploi des départements de la Somme et de la Picardie. Avec la création de ce nouvel ensemble, Business & Décision s'est en effet engagé à créer plus d'une centaine de postes dans la région d'ici trois ans. Pour l'heure, la SSII prévoit de recruter une trentaine d'informaticiens en 2009. « Nous recherchons des profils bac +5 de tous niveaux, des juniors et également des profils plus expérimentés, précise Jean-Marie Demoulian, responsable du projet d'implantation à Amiens. La présence de ressources universitaires et technologiques de proximité, auxquelles nous sommes associés en tant que partenaires devrait nous aider à concrétiser nos embauches. » La région Picardie compte en effet bon nombre d'établissements technologiques, parmi lesquels l'université technologioque (UTC)de Compiègne, celle de Picardie (Jules Verne), l'Esieee ou encore Sup de Co Amiens. Disposant d'un espace de 1000 m2 au coeur du programme d'aménagement urbain situé à proximité de la gare d'Amiens, le nouveau site de Business & Decision s'installera dans l'ensemble immobilier flambant neuf Terralia, amorce du parc tertiaire et technologique de l'agglomération de la ville picarde. L'immeuble Terralia, inauguré en octobre dernier, héberge une pépinière d'entreprises baptisée « Amiens Le L@b ». (...)

(09/12/2008 16:49:16)

Steria France désormais dirigé par Olivier Vallet

Olivier Vallet prend officiellement les rênes de la filiale française de Steria. Suite au départ de François Mazon en octobre dernier, c'est François Enaud, PDG et gérant de la SSII, qui avait temporairement pris le relais à la tête de la maison-mère française (6000 employés sur 19 000 dans 16 pays). Olivier Vallet dirigeait jusqu'à présent les filiales espagnole et scandinaves de la SSII. Il a également participé à l'industrialisation de la SSII ainsi qu'à la création de filiales au Maroc, en Inde et en Pologne . Steria France annonce par ailleurs la refonte de sa structure, toujours dans la lignée du plan de transformation initié en 2007. La nouvelle organisation devrait être opérationnelle en janvier 2009. Elle prévoit la création de sept pôles d'activité. Les trois premiers correspondent aux métiers principaux de Steria : banque, assurance, santé et social, télécom et industrie et enfin secteur public et transport. Deux autres pôles seront dédiés aux régions Nord et Sud. Les deux derniers secteurs se consacreront aux services industrialisés comme le BPO, un domaine dans lequel Steria s'est renforcé suite au rachat de la SSII britannique Xansa, en juillet 2007. (...)

(09/12/2008 16:34:20)

Sony supprime 8 000 postes dans le monde et ferme un site en France

Sony vient d'annoncer une série de mesures drastiques qui devraient lui permettre d'augmenter sa rentabilité et de mieux résister à l'environnement économique actuel. Dans un communiqué publié aujourd'hui mardi 9 décembre, le géant nippon a indiqué qu'il supprimerait 8 000 emplois dans le monde, soit 5 % de ses effectifs. Grâce à cette restructuration, le constructeur espère réduire ses dépenses de 30% et réaliser quelque 100 Md¥ d'économies par an d'ici mars 2010, soit près de 850 M€. Les suppressions de postes concernent la branche électronique (160 000 employés dans le monde), division où des mesures - comme l'ajustement de la production, la réduction des dépenses de fonctionnement, la baisse des niveaux de stock - ont déjà été prises en réponse « aux changements soudains de l'environnement économique mondial », selon le communiqué. Des sites de production réduits de 10% Le constructeur prévoit par ailleurs de fermer deux sites de production d'ici la fin de l'année. En France, l'usine de Pontonx-sur-l'Adour (située près de Dax dans les Landes) spécialisée dans la fabrication de supports d'enregistrement et de panneaux solaires, vient d'ores et déjà de fermer ses portes, laissant plus de 300 salariés sur le carreau : « Depuis 2007, un consortium réunissant Sony, les acteurs locaux et les partenaires sociaux, était en quête d'un repreneur, justifie la communication de Sony France. Mais le plan de reprise n'ayant pas été approuvé par les représentants du personnel du site technologique de Dax, Sony n'a pas été en mesure de proposer d'autres alternatives. » Par ses initiatives, - rationalisation des sites de production, déplacement vers des zones de fabrication à faible coût, recours aux partenaires OEM (Original equipment manufacturer) et ODM (original design manufacturer) - Sony compte réduire le nombre total de ses sites de production (estimé actuellement à 57) d'environ 10% à l'horizon de 2010. (...)

(08/12/2008 17:29:01)

Plus de 20 000 informaticiens au chômage en octobre

En octobre 2008, le nombre d'informaticiens au chômage a encore progressé. Les derniers chiffres de la Darès (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques, ministère du Travail) font en effet état de 657 demandeurs d'emplois supplémentaires en informatique par rapport au mois précédent. A la fin du mois d'octobre, le nombre d'informaticiens chômeurs inscrits en catégorie 1 dépassait la barre des 20 000, pour atteindre 20 165. Cette hausse fait suite à celle déjà enregistrée par le ministère du Travail au cours du mois de septembre 2008 : pour la première fois depuis novembre 2004, 19 508 informaticiens (de catégorie 1) étaient inscrits au chômage, et environ 29 300 toutes catégories confondues, soit un taux de chômage compris entre 3,9% et 5,9%. (...)

(08/12/2008 16:11:25)

Les salariés de Thales Services sous le coup d'un transfert vers la SSII Osiatis

Le couperet est tombé vendredi dernier à l'occasion d'un CCE (Comité central d'établissement) extraordinaire : la direction de Thales Services a confirmé la vente de l'activité infogérance du centre d'Aix-en-Provence à la SSII Osiatis. « A moins d'un coup de théâtre, la cession aura lieu d'ici la fin de l'année, précise Pascal Bosson, délégué syndical CFDT chez Thales Services. Les 63 salariés de l'activité infogérance du centre d'Aix seront donc transférés chez le repreneur au titre de l'ancien article L122-12 [NDLR : nouvellement référencé article L1224-1 du Code du Travail]. Ce qu'ils ne souhaitent visiblement pas. » En effet, les mesures d'accompagnement proposées par la direction à l'occasion du CCE semblent trop maigres pour pouvoir être convaincantes : « La direction de Thales Services s'est engagée à assurer aux salariés transférés un droit à la formation, pris en charge par Osiatis, signale le syndicaliste. Une indemnité de 3 000 € net sera également versée à chacun. Enfin, des « cordes de rappel » seront proposées aux collaborateurs transférés qui souhaiteraient revenir chez Thales. L'entreprise s'est engagée à leur proposer des postes, alors qu'il n'existe déjà pratiquement plus d'activités dans la région. » Inquiétudes sur l'infogérance de proximité Pourtant, en organisant une grève illimitée à la mi-octobre, les syndicats CGT et CFDT avaient cru pouvoir faire revenir l'entreprise sur sa décision. Parallèlement se profile un autre sujet d'inquiétude et pas des moindres : le projet de cession de l'ensemble de l'activité infogérance de proximité de Thales Services qui pourrait, lui, concerner plusieurs centaines de collaborateurs. (...)

(08/12/2008 09:21:25)

Barack Obama compte aussi sur les TIC pour relancer l'emploi aux Etats-Unis

Le futur président des Etats-Unis, Barack Obama, s'est exprimé à deux occasions ce week-end sur les éléments de son plan économique. Objectif : créer ou sauvegarder 2,5 millions d'emplois durant les deux prochaines années. S'inspirant du président Franklin Roosevelt durant la grande dépression des années 30, Barack Obama décrit un New Deal en version XXIe siècle. La dépense publique qui devra créer du travail pour les d'américains concernera certes la construction de routes et de ponts, mais pas seulement. Il faudra aussi améliorer l'efficacité énergétique des bâtiments publics et en particulier celle des écoles du pays. Mais les TIC et Internet sont eux-aussi au coeur du plan économique. « Nous allons rénover nos écoles et nos autoroutes, mais nous allons aussi rénover nos autoroutes de l'information, explique ainsi le futur président dans sa vidéo en ligne hebdomadaire sur change.gov. Il est inacceptable que les Etats-Unis se situent seulement au 15e rang mondial en matière d'adoption du haut débit. Ici, dans le pays qui a inventé Internet, chaque enfant devrait avoir la possibilité de se connecter, et ils l'auront durant ma présidence. En plus de connecter nos bibliothèques et nos écoles à Internet, nous devons nous assurer que les hôpitaux soient connectés entre eux avec Internet. Il faut que chaque bureau de médecin et chaque hôpital utilise des technologies de pointe et exploite des dossiers médicaux électroniques. » Lors de sa conférence de presse Barack Obama a aussi expliqué qu'il faudrait équiper toutes les écoles d'ordinateurs récents. Pour l'instant, aucunes mesures pratiques, ni aucun budget ne viennent étayer ce plan. Barack Obama, qui ne sera investi président que le 20 janvier prochain, a expliqué que son équipe économique travaillait à chiffrer précisément ces mesures. Le futur président a annoncé que les Etats-Unis avaient perdu 533 000 emplois en novembre. Le mois dernier constitue ainsi un triste record en près de 30 ans. Il fait monter à 2 millions le nombre d'emplois perdus depuis les débuts de la récession. Barack Obama a précisé qu'il ne voulait pas d'emplois à court terme mais installés dans la durée. Prudent en cette période troublée, il précise cependant qu'en matière d'économie, « avant d'aller mieux, les choses vont d'abord empirer ». (...)

(05/12/2008 12:21:15)

Le secteur informatique boude les accords sur la gestion des compétences

Seules quatre entreprises informatiques sur mille rattachées à la branche Syntec (Études, Conseil, Informatique et Ingénierie) seraient couvertes par un accord de GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) ! C'est ce qu'indique une étude sociodémographique de la branche des bureaux d'études réalisée par LH2 pour le compte de l'Opiiec (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). Cette enquête, en cours de validation, montre en outre que 1,1% des entreprises informatiques de la branche Syntec envisagent de signer un accord de GPEC. Cette tendance se vérifie dans plusieurs secteurs d'activités, comme le conseil informatique (où 0,3% des entreprises ont signé un accord), la réalisation de logiciels (0,2%), ou le traitement des données (1,8%). La gestion prévisionnelles des emplois et des carrières ne semble pas faire partie des préoccupations de ces entreprises, puisque la quasi-totalité (89,2%) d'entre elles n'envisagent pas de signer un accord. (...)

(05/12/2008 10:20:36)

En France, la dépense informatique offshore pourrait atteindre 1,7 Md d'euros en 2009

En 2008, la dépense informatique en offshore des entreprises françaises s'est montée à 1,2 Md d'euros, en croissance de 40%. Elle devrait atteindre 1,740 Md d'euros en 2009, soit une hausse de 45%. La tendance est forte, mais cette démarche s'est profondément modifiée. Au lieu de la simple réduction de coûts salariaux envisagée il y a quelques années, on se retrouve avec des démarches plus matures. « Le côté économique je n'y crois pas trop, même si on ne peut l'oublier, c'est la flexibilité qui amène à l offshore, plaide Jérôme Hérard, directeur général de l'Ile des Média qui fait développer en Tunisie (*). « Il ne faut plus se focaliser sur les seuls coûts salariaux ». La démarche offshore oblige également les entreprises à être plus rigoureuses. « Avec le nearshore, nos cahiers des charges sont beaucoup plus carrés et gagnent en qualité, poursuit Jérôme Hérard». « Il nous faut par exemple bien séparer le cahier des charges fonctionnel du cahier des charges technique ». Les premières expériences en offshore et les premières déceptions ont en fait amené les entreprises à mieux contrôler ces démarches et d'abord à mieux les définir. « La démarche offshore révèle les défauts de méthodologie d'une entreprise » souligne Eric O'Neil, consultant. Plus facile de recruter en Tunisie qu'en France [[page]]L'offshore et le nearshore amènent pourtant des avantages inattendus, comme la possibilité de trouver plus facilement es compétences pointues, contrairement aux idées reçues qui associent offshore et recherche de ressources de premier niveau. « Ma société de 15 personnes cherchait des développeurs JEE, c'est très difficile à trouver à Bordeaux notre siège, impossible sur Paris, j'ai rencontré GetIT sur un salon, ils m'ont soumis quatre dossiers. J'ai fait affaire avec la société tunisienne Discovery » témoigne Jean-Charles Duplaa, gérant de Afib et président du Syrpin. Même démarche de L'Ile des Médias qui avait besoin de développeurs Dot Net en Saas et n'a trouvé qu'en Tunisie. Après une sélection des CV soumis par Get IT, les premiers entretiens ont eu lieu sur Skype, avant des entretiens approfondis sur place. La Tunisie est à 2h30 de Paris ce qui facilite les relations. Sur place, les ressources sont importantes, avec 6 000 ingénieurs informatiques en Tunisie, 10 000 dans deux ans. Les ingénieurs sont de qualité et apportent les compétences qui peuvent faire défaut en France, mais l'encadrement n'est pas forcément au rendez-vous. « Le gros problème de l'offshore ce n'est pas les compétences mais l'encadrement de ces compétences », témoigne Jérôme Hérard (20 développeurs à Paris, 10 en Tunisie). (*) Les informations de cet article sont issues d'un petit déjeuner organisé par Get IT, un GIE formé par 11 entreprises tunisiennes il y a trois ans pour proposer en nearshore des prestations informatiques. (...)

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