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(15/09/2009 17:19:03)

Web 2.0 et 'serious gaming' : 92 dossiers sélectionnés dans l'appel à projets

La secrétaire d'Etat chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet, a présenté ce matin les résultats de l'appel à projets sur le Web 2.0 et le 'serious gaming' lancé le 27 mai dernier dans le cadre du plan de relance, avec la DGCIS (*). Sur 166 dossiers déposés pour le 'serious gaming', 48 ont été retenus et sur les 340 projets proposés autour du Web 2.0, 44 ont été sélectionnés. La majorité des dossiers proposés pour le 'serious gaming' concernait à part égale la conception d'outils et les logiciels de serious games proprement dits. 15% étaient consacrés à la réalisation de plateformes d'étude des usages. En toute logique, les sujets de l'enseignement et de la formation se sont taillé la part la plus importante (19%) juste devant la santé et la médecine (14%). Les 48 projets retenus représentent un budget total de 48 M€. Les demandes d'aides proviennent essentiellement de PME et vont de 184 k€ à 577 k€. Pour le Web 2.0, une quarantaine de projets concerne le développement de services Web innovants dans les systèmes d'information des entreprises et des administrations, et une dizaine d'autres s'intéresse à l'utilisation astucieuse des données publiques. Les candidats ont utilisé une imposante palette de sujets parmi lesquels les réseaux sociaux grand public, le Web sémantique, l'identité numérique, les mondes virtuels, la vie citoyenne, la musique ou le recrutement. Les aides demandées vont de 75 k€ à 800 k€. Un Donjons & Dragons pour enseigner les sciences Parmi les projets sélectionnés, Donjon et Radon, du studio Ad-Invaders, s'inspire du jeu de rôle Donjons & Dragons pour sensibiliser les plus jeunes aux sciences. Dans ce jeu, un élève qui veut se débarrasser d'un monstre en cuivre qui le menace, devra par exemple trouver l'acide susceptible de détruire son attaquant. Des codes-barres ou des puces RFID permettent aux objets physiques et aux objets du jeu d'interagir pour construire un univers virtuel en réalité augmentée. Outre Ad-Invaders, le laboratoire LIP6 de Paris 6, le rectorat de Créteil, un Think Tank de l'ENS et Microsoft participent à cette aventure. Autre sélectionné, Medi:kids de CCCP va chercher du côté des Pokémons pour accompagner les enfants hospitalisés lors de leur séjour dans l'établissement ou d'un parcours de soin traumatisant. Cet univers facilite par ailleurs la communication entre les enfants, leurs parents et les soignants. Deux PME valenciennoises et trois entités médicales participent au projet. Côté Web 2,0, Citypulse, proposé par la FING (Fédération Internet Nouvelle Génération), élargit le concept de la montre verte présentée avant l'été. La plateforme glane, pour les fédérer, les informations issues de différents capteurs de qualité de l'air, du niveau de bruit, d'émissions électromagnétiques ou autre, quelle que soit leur origine. Ces données, mises à disposition sur un mode libre et rendues anonymes, serviront à des cartographies de la pollution, par exemple, ou à la création de nouveaux services. Sur le sujet, la FING travaille entre autres avec le laboratoire Paragraphe/Situ de Paris 8, les entreprises FaberNovel et Xilabs, et l'opérateur SFR. NKM a rappelé qu'elle considérait ces deux appels à projet comme un point de départ, et non un point final. Ainsi, d'autres appels sont en cours ou ont eu lieu dans le domaine du numérique : Proxima Mobile, pour l'Internet mobile, clos le 14 septembre, et une commande publique autour du 'serious gaming' pour la formation des auto-entrepreneurs. « Et je compte bien utiliser l'ensemble de la liste des dossiers qui ont été déposés, a par ailleurs ajouté la ministre. Nous avons un vrai réservoir d'idées et de contacts. » Pour Nathalie Kosciusko-Morizet, ces appels aident aussi à mieux mettre en avant le monde du numérique et ses particularités. Elle s'est ainsi réjouie d'avoir pu parler 'serious gaming' en conseil des Ministres... (*) Direction Générale de la Compétitivité, de l'Industrie et des Services (...)

(15/09/2009 11:43:41)

L'équipe JRuby travaille au support d'Android

Les développeurs JRuby disposeront bientôt d'outils spécifiques pour développer des applications pour Android, le système d'exploitation de Google pour les smartphones. Charles Nutter, architecte JRuby, a indiqué hier que son équipe travaille au support d'Android. Elle devrait notamment ajouter des capacités de packaging particulières pour la plateforme mobile. Dans la mesure où Android accueille des applications Java, et où JRuby est l'implémentation du langage Ruby pour les machines virtuelles Java, la compatibilité est a priori assurée. Sauf que, explique Charles Nutter, pour l'instant le développement reste très complexe, et les applications JRuby actuelles pour Android très rudimentaires. Son but est de simplifier le développement pour voir apparaître à l'avenir des applications plus élaborées sur Android, comme un client Twitter ou un gestionnaire de contacts. Charles Nutter, qui travaillait sur JRuby au sein de Sun, a récemment quitté l'entreprise californienne, inquiet de ne pouvoir mener ses projets à bien avec l'acquisition par Oracle. (...)

(14/09/2009 13:09:28)

Microsoft Silverlight 4 prévu pour remplacer en ligne les Blu-Ray

Microsoft a présenté à Amsterdam, à l'occasion d'un des plus gros salons pour l'industrie des médias (International broadcasting conference, IBC), quelques éléments sur la prochaine version de Silverlight, son outil de visualisation de contenus riches diffusés par Internet. Et tous semblent aller dans le même sens : rendre inutile les supports physiques de type Blu-Ray. Lors de sa conférence de rentrée, Microsoft avait ainsi expliqué qu'il ne fallait toujours pas s'attendre à le voir intégrer un lecteur physique dans sa console Xbox, surtout maintenant avec l'amélioration de la diffusion de contenus en ligne. L'éditeur avait donné un aperçu de sa technologie à l'occasion de Roland-Garros, en permettant de suivre les matches en direct et en HD, la qualité de la vidéo s'adaptant automatiquement à la bande passante (technologie Smooth streaming). A l'IBC, il s'agissait de convaincre les créateurs de contenu de recourir à cette technologie de diffusion sur Internet, sans crainte de perte de contrôle. Microsoft a donc mis en avant sa technologie PlayReady de gestion des droits numériques (DRM, digital rights management), qui devrait permettre aux studios de diffuser via Internet des films ou du contenu interactif sur les mobiles, les télévisions ou les PC des utilisateurs avec un même niveau de sécurité qu'avec des supports physiques. Côté serveur, Microsoft a annoncé la version d'Internet Information Services (IIS) Media Services 3.0, qui supporte la technologie Smooth Streaming, ainsi que le multicasting (diffusion d'un contenu unique à plusieurs destinataires, moins gourmand en ressources réseau). Bien décidé à prendre des positions fortes pour contrer Adobe et son ensemble de technologies Flash, Microsoft encourage l'industrie à utiliser son protocole de Smooth streaming ainsi que son format de fichier pour les DRM Piff (Protected interoperable file format) : les deux sont désormais sous l'égide de la 'Community Promise', promesse de Microsoft de ne jamais intenter d'action en justice à l'encontre de quiconque s'en servirait. (...)

(08/09/2009 16:15:06)

Le cloud computing modifiera radicalement les applications pour mobiles, selon ABI Research

Les utilisateurs de téléphones mobiles abonnés à des applications en ligne (modèle Saas, software as a service, avec des applications hébergées dans le cloud) vont passer, dans le monde, de 42,8 millions en 2008 à 998 millions en 2012, selon le cabinet d'études américain ABI Research. Aujourd'hui, ils ne pèsent que 1,1% de l'ensemble des abonnés mobiles ; dans cinq ans, ils en représenteront presque 19%. Dans son étude « Mobile Cloud Computing », récemment publiée, ABI Research détaille les applications et les modèles qui devraient entraîner le développement de ce marché. Pour l'auteur de l'étude, Mark Beccue, ce sont les services de géolocalisation qui vont tirer la demande d'ici à 2010, notamment les solutions de navigation et de cartographie. Selon lui, 60% des abonnés mobiles à une application cloud accéderont à des fonctions de géolocalisation. Mais l'analyste voit apparaître d'autres catégories, plus originales. Il cite le fabricant de serrures Schlage dont le service LiNK permet à ses abonnés de vérifier à distance le verrouillage de leur porte d'entrée, de contrôler leur système de chauffage, leurs caméras de sécurité et leur éclairage à partir d'un PC ou de leur téléphone portable. Un marché d'applications hébergées pour mobiles de 20 Md$ en 2014 ABI Research s'attend à ce que les principaux opérateurs de PaaS -platform as a service- que sont Amazon (avec AWS), Google et Salesforce.com (avec Force.com), commercialisent leur offre de façon beaucoup plus agressive à partir de 2010. Pour Mark Beccue, le développement des services en ligne pour mobiles devrait supplanter le téléchargement d'applications. L'analyste note que l'engouement suscité par l'iPhone a favorisé l'ouverture de boutiques en ligne offrant des applications à télécharger. Mais ces logiciels requièrent souvent des terminaux dotés de solides capacités, ce qui limite le marché potentiel. Dans cette perspective, une architecture reposant sur des logiciels hébergés en cloud changera radicalement la façon dont les applications mobiles vont être développées, achetées et utilisées. ABI Research estime que l'actuel modèle pourrait être remplacé d'ici cinq ans, créant un marché que le cabinet évalue à quelque 20 Md$ d'ici à fin 2014. Pour l'instant, les développeurs d'applications mobiles doivent choisir entre différents systèmes d'exploitation, souligne Mark Beccue : « Ils écrivent pour un seul OS ou doivent créer plusieurs versions de leurs logiciels pour les diverses plateformes. En développant pour le cloud, leurs applications ne s'exécuteront plus sur le terminal mais sur le serveur et une seule version suffira. » (...)

(07/09/2009 16:52:52)

Réduction des coûts au programme de la R2 d'Oracle 11g

Oracle 11g R2, deuxième version majeure de la base de données du Californien, est désormais disponible sur OTN (Oracle Technology Network). Cette mouture arrive plus de deux ans après la première sortie de 11g en juillet 2007. L'éditeur rappelle que, durant tout ce temps, la nouvelle version a été mise au point par quelque 1 500 développeurs et a fait l'objet de près de 15 millions d'heures de test. Pour commencer, Oracle a fait évoluer l'option RAC (Real Application Clusters) du SGBD qui permet d'exécuter les applications sur des clusters, et surtout d'augmenter dynamiquement l'infrastructure disponible en fonction des besoins. Le système de réservation de ressources fonctionne à la manière du grid computing. Oracle annonce une amélioration de 40% des performances de RAC dans la version 2 de 11g. Enfin, parmi les nouveautés de la R2, on trouve aussi la déclinaison RAC One Node qui permet aux entreprises de bénéficier, pour des bases peu critiques, des fonctions de haute disponibilité de RAC sur un petit nombre de serveurs (voire sur un seul). Des coûts de stockage réduits 10 à 12 fois Désormais, la base Oracle dispose aussi d'une technologie permettant un stockage différencié suivant l'importance des données et de la fréquence d'accès à celles-ci. Les informations que l'entreprise va le plus souvent chercher sont enregistrées sur des supports rapides, alors que les données d'archive vont sur des disques plus lents et moins chers. Selon Andrew Mendelsohn, senior VP Oracle Database Server, cela permettrait de « réduire entre 10 et 12 fois le coût du stockage associé à la base de données ». A noter qu'Oracle 11g R2 a aussi optimisé la compression de données déjà présente dans la R1 pour réduire de 2 à 4 fois la taille initiale de la base. Pour répondre au besoin exprimé par de nombreux clients, l'environnement d'administration automatique du stockage (Automatic Storage Management, ASM) a été étendu aux fichiers gérés par le système de gestion des fichiers clusterisé de l'OS. Jusque-là, ASM était réservé aux seules informations stockées dans la base de données Oracle. Toujours pour optimiser les ressources et réduire les coûts, le trio ASM, RAC et Active Data Guard (qui décharge les bases de production, en cas de surplus d'activité, vers des bases de secours) équilibrera à la fois la charge de travail de production et la fonction de tolérance aux pannes entre les ressources serveurs et de stockage. Objectif : faire en sorte qu'un minimum d'éléments de l'infrastructure restent inactifs. A l'occasion de cette annonce, Andrew Mendelsohn a également rappelé que pour certains clusters, équipés d'un To de mémoire vive par exemple, dans lesquels une base complète peut être chargée, il sera possible de gérer les requêtes directement en mémoire (in memory parallel query). (...)

(04/09/2009 16:42:06)

Carnegie Mellon et l'OMG lancent un consortium pour la qualité logicielle

L'Institut de l'ingénierie logicielle de l'université de Carnegie Mellon (SEI) et l'OMG (Object management group) créent ensemble un consortium de la qualité logicielle. Les constats sur le sujet sont simples. D'une part, les logiciels sont de plus en plus complexes. Ils sont multi-tiers (multi-niveaux) et s'appuient sur plusieurs langages. D'autre part, le moindre problème sur un logiciel fait courir un risque important à des entreprises dont l'économie repose de plus en plus fortement sur leur système d'information. Le Consortium of IT Software Quality (CISQ) sera constitué de membres issus des 2 000 plus grands industriels de l'IT (classement Forbes Global 2000), d'intégrateurs, de SSII et d'éditeurs. Ils travailleront ensemble sur des standards de mesure de la qualité logicielle ainsi que sur la promotion d'un écosystème pour les déployer qui s'appuie sur les acteurs du secteur. La raison d'être principale du CISQ consiste à mettre au point ce standard de façon suffisamment détaillée pour permettre une mesure automatisée de la qualité, seule façon de le rendre viable économiquement pour les parties prenantes, selon les deux fondateurs. Un standard pour les applications multi-tiers, multi-langages Au total, le SEI et l'OMG ont identifié cinq objectifs essentiels pour leur projet. Le consortium devra répandre la bonne parole et convaincre l'industrie IT de l'importance que revêt la qualité logicielle. Les outils de mesure standards de la qualité et du risque devront être mis au point pour des applications multi-tiers et multi-langages. Des méthodes permettront d'utiliser aussi ces outils pour négocier l'achat et la maintenance d'applications. Des licences professionnelles donneront aux fournisseurs de services les moyens de garantir la qualité de leur production. Enfin, le consortium mettra en place un forum de discussion en ligne autour de toutes ces questions. Deux réunions inaugurales du consortium se tiendront le 6 octobre dans les locaux du SEI à Arlington, en Virginie, puis le 12 novembre à Francfort, en Allemagne. La première version provisoire du standard est prévue pour le 4e trimestre 2010. La vente de services conformes à la norme devrait démarrer début 2011. (...)

(24/08/2009 15:32:35)

Mozilla organise une semaine solidaire autour du Web

La communauté Open Source Mozilla, à l'origine d'environnements tels que Firefox et Thunderbird, appelle les internautes à une semaine solidaire entre le 14 et le 21 septembre. Au travers de cette opération appelée « Mozilla à votre service », elle a décidé d'ouvrir le mode de fonctionnement du Libre à la société tout entière. Mozilla demande aux internautes, quel que soit leur niveau de technicité, de partager bénévolement et gratuitement avec d'autres leurs compétences sur le Web. Parmi les exemples donnés sur le site, on trouve la formation au Web des personnes âgées, l'installation d'un réseau sans fil dans une école et, même, le reconditionnement de matériel informatique pour une association. Pour expliquer sa démarche, Mozilla en explique l'esprit et l'objectif sur son site : « Mozilla pense que tout le monde devrait pouvoir accéder à Internet, savoir comment l'utiliser correctement et en avoir une expérience enrichissante. En tirant partie des compétences de notre communauté en ce qui concerne l'écriture, la conception, le développement et les nouvelles technologies, nous pensons que nous pouvons faire du Web un endroit meilleur pour tout le monde. » Un site par pays pour déposer sa promesse de projet Chaque pays dispose d'un site Web réservé à cette opération et d'un lieu pour déposer les promesses de projet. Pour participer, il suffit ainsi d'inscrire son projet ainsi que les heures que l'on compte y consacrer dans la « promessothèque ». Pour les internautes en mal d'imagination, Mozilla propose de consulter les missions de ceux qui participent déjà. Le principe est jusqu'au bout celui de l'Open Source. Mozilla compte ainsi sur les internautes pour utiliser leurs blogs, le micro-blogging ou les réseaux sociaux afin de relayer l'opération. Il propose des bannières pour communiquer sur les sites. Il s'appuie aussi sur les internautes pour traduire les instructions dans un maximum de langues différentes. (...)

(21/08/2009 17:54:59)

Depuis 2008, le rythme des évolutions s'est accéléré sur le noyau Linux

Dans son deuxième rapport sur le développement du noyau 2.6, la Linux Foundation établit un bilan très positif du dynamisme de son évolution. Sa conclusion est claire : "Le noyau de Linux est devenu une ressource commune développée à grande échelle par des entreprises qui se livrent une intense compétition dans d'autres domaines." Depuis 2005, plus de 5 000 développeurs, soit indépendants, soit travaillant pour des entreprises dont le nombre dépasse 500, ont participé à l'évolution de Linux. Le noyau a augmenté de 2,7 millions de lignes de code pour aboutir à une version 2.6.30 avec 11,6 millions de lignes et 17 090 fichiers. Depuis avril 2008, date de parution du premier rapport de la Linux Foundation, le nombre de développeurs a augmenté de 10% environ, tandis que le rythme des évolutions s'est accéléré. Depuis le printemps 2008, le nombre de lignes de code ajouté au noyau chaque jour a été multiplié par trois. C'est grâce à cet effort que le noyau de Linux a pu progresser dans des domaines clés comme la sécurité et la virtualisation. 1 150 développeurs pour le noyau 2.6.30 Malgré cette augmentation de la production, le rythme de parution des versions reste établi sur la fréquence d'une toutes les douze semaines. 1 150 développeurs ont contribué au développement du noyau 2.6.30 proprement dit, soutenus par 240 entreprises. Il y a quatre ans et demi (noyau 2.6.11), ils étaient moins de 400, soutenus par moins de soixante-dix entreprises. Il n'empêche que la contribution des trente premiers développeurs représente à elle seule 25% du code. Si l'emblématique Linus Torvald ne figure pas parmi eux, c'est qu'il joue un rôle important de coordination. Lorsque l'on s'intéresse aux entreprises qui participent, la liste surprend peu. Red Hat arrive en tête avec 12 % des changements, suivi par IBM (6,3 %), Novell (6,1 %), Intel (6%) et Oracle (6,1%). (...)

(20/08/2009 15:35:05)

A peine acheté par VMware, SpringSource s'offre Cloud Foundry

Alors qu'il vient tout juste d'être acheté par VMware, le champion du framework Java, SpringSource, acquière de son côté Cloud Foundry. L'offre de PaaS (Platform-as-a-service) de ce dernier, qui porte le même nom que son éditeur, permet de concevoir, de déployer et d'administrer des applications Spring, Java ou Grails sur le cloud EC2 d'Amazon. Une version finale et payante est attendue pour début 2010. Cloud Foundry, qui repose sur le projet libre Cloud Tools, utilise les briques Apache, MySQL et les deux outils maison tc Server (Tomcat) et Hyperic de SpringSource. Cloud Foundry sera rapidement associé à vSphere, l'environnement de virtualisation que VMware voudrait voir devenir une infrastructure de cloud. Le portage sur Azure de Microsoft, voire le Sun Cloud, n'est pas non plus exclu. Les analystes saluent cette approche par les couches hautes du cloud computing. Selon Rod Johnson, PDG de SpringSource, Cloud Foundry met ce type de ressources à la portée des petites entreprises qui s'en trouvaient tenues à l'écart par manque de compétences internes en matière d'infrastructure. (...)

(17/08/2009 12:00:26)

Novell affecte dix développeurs permanents à OpenSuse

La communauté openSUSE project, qui travaille à l'évolution de SUSE, la distribution Linux de Novell, se voit doter par ce dernier d'une équipe permanente de développeurs fortes de dix membres. Ils viennent renforcer une communauté estimée à 330 membres et 8600 utilisateurs. A titre de comparaison, Fedora, la communauté derrière Red Hat Enterprise Linux, compterait plus de 17 000 participants. Tant pour Novell que pour Red Hat, la notion de communauté est difficile à différencier de celle des entreprises qui profitent de leur développement. En effet, la plupart des membres de ces communautés sont aussi des salariés des éditeurs intéressés au premier chef. (...)

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