Revenant sur la révolte des clients obligés de passer à l'Enterprise Support, « une offre qui aurait été mal expliquée aux destinataires », Nicolas Sekkaki précise que 91% des clients ont adopté ce contrat en France. Après une première grogne, l'objectif initial de 75% a donc été dépassé. L'arrivée du transfuge de Big Blue est l'occasion de remettre à plat les relations avec les clients, notamment avec l'USF. L'arrivée d'un nouveau président - Claude Molly-Mitton a remplacé Jean Leroux - permettra peut-être d'apaiser les choses. Nicolas Sekkaki a d'ailleurs réservé sa première sortie - en tant que PDG de SAP France - à l'USF. « Nos clients doivent se reconnaitre dans SAP même s'ils n'ont pas d'ERP. Nous avons une vision à partager avec nos utilisateurs, notamment la synergie entre la gestion de la donnée et l'ERP. » Reste à savoir si les clubs utilisateurs sont prêts à écouter le message.
Un autre pas a été franchi avec l'amélioration de la communication sur les produits à venir. « Nous allons partager avec nos gros clients l'évolution et les développements des produits à venir dans les deux à trois ans. Les clubs utilisateurs désirent influencer l'éditeur et nous sommes aujourd'hui à l'écoute de leurs demandes. L'idée n'est pas de réaliser des développements spécifiques, mais d'ouvrir les portes pour donner plus de visibilité. Nous offrons aujourd'hui des solutions adaptées aux différents métiers de nos clients avec des fonctionnalités spécifiques. » Les clubs utilisateurs britanniques et irlandais ont déjà indiqué qu'ils allaient travailler avec le réseau Sugen pour davantage peser sur la feuille de route de l'éditeur allemand. Nous attendons encore la réaction de l'USF sur ce dernier point.
SAP France entame l'année avec confiance
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