A terme, les applications Fusion proposeront sous forme de modules l'ensemble des fonctionnalités offertes par les progiciels d'Oracle, qu'il s'agisse de son offre historique ou de produits venant de Siebel, Peoplesoft ou JD Edwards. Le tout pourra être déployé sur un middleware ouvert, l'idée étant de proposer une architecture progicielle conforme aux canons des architectures orientées services (SOA). Tout comme SAP a réarchitecturé son progiciel pour lui donner une orientation services, et acheté Business Objects pour le teinter de BI (Business intelligence, ou décisionnel), Steve Miranda a également précisé que les fonctions décisionnelles seraient omniprésentes dans tous les modules de l'offre Fusion : « Dans chaque transaction, il y a des informations nécessaires aux utilisateurs métier pour leurs prises de décision. Et il ne s'agit pas d'informations venant après les événements, mais de faits venant éclairer directement ce qu'il faut faire dans la transaction en cours. » Jusqu'à présent, d'après une présentation de Steve Miranda, ce seraient 700 clients qui auraient participé depuis trois ans à la mise au point de Fusion Applications. Parmi eux, des sociétés comme FedEx, Coca-Cola, Kodak, Sears ou Toshiba.
OpenWorld : pas de progiciel Fusion avant 2010
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