La disparition, le premier janvier prochain, de l'offre de maintenance dite « standard » à 17% du coût initial des licences et son remplacement d'office par une offre à 22%, dite « enterprise support », passe plus difficilement. Même si Pascal Rialland a voulu démontrer à quel point la mariée était belle : des conseillers accessibles en permanence 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, une prise en charge sous une heure avec un premier correctif sous quatre heures en cas de besoin, un engagement de niveau de service pour la solution SAP installée... Sans préjuger des futurs résultats de l'étude du Sugen, beaucoup de clients disent déjà ne pas utiliser tout ce que leur apporte l'offre « standard ». Ils estiment donc que l'augmentation de services est inutile pour eux et qu'elle génère un surcoût important. Devant la presse, le DG de SAP France a voulu se justifier davantage en mentionnant que certains clients, visiblement inconscients, ne voulaient pas couvrir convenablement par une maintenance de bon niveau leur installation SAP alors même que celle-ci était critique pour leur activité, obligeant (moralement ?) SAP à délivrer un service non-payé en cas de crash. Les mesures d'économie de SAP sans impact sur les clients, assure Léo Apotheker
Convention des utilisateurs SAP francophones : l'éditeur défend sa maintenance majorée
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