Francis Aaron, vice-président du Cigref et DSI du groupe Bolloré, a fait l'apologie des partenariats du Cigref avec d'autres organisations, comme le Syntec, mais surtout avec le CMAP (Centre de Médiation et d'Arbitrage de Paris, rattaché à la Chambre de Commerce et d'Industrie). Le 2 octobre, le Cigref a eu l'occasion de rencontrer Steve Ballmer lors de sa venue à Paris, et de renouveler son accord pluri-annuel de coopération avec l'éditeur. Les problèmes ne sont pas mineurs (licences, clés d'activation de Vista, formats de fichiers bureautique...) et des efforts restent àfournir, mais l'élève Microsoft semble avoir plutôt bien travaillé. Progressivement, IBM entre lui-aussi dans la logique du travail avec le Cigref, mais il a été considéré comme « trop scolaire, trop marketing ». Trois nouvelles conventions lient désormais le Cigref à Oracle (qui fait des efforts mais ne doit pas arrêter), SAP (dont le modèle de licence devra être travaillé) et Google. Les sujets de collaboration possibles entre ce dernier et le Cigref semblent potentiellement nombreux : SaaS, Green IT, etc. Francis Aaron a cependant fustigé l'explosion des tarifs de la maintenance établis par les éditeurs de logiciels propriétaires, explosion qui n'est pas compensé par un meilleur service.
Cigref : une AG sous le signe du SaaS, de l'Open source et d'un nouveau président
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