Ce centre de compétences est à la fois destiné aux partenaires éditeurs et aux clients finaux d'Atos. Avec les premiers (comme IBM Software, Open Text, EMC ou encore Microsoft), la SSII compte plancher sur des projets communs, afin de bâtir des solutions interopérables, en s'appuyant sur des standards comme le tout récent CMIS (content management interoperability services), par exemple, ou le modèle OAIS (Open Archival Information System) pour l'archivage. « Les entreprises sont de plus en plus souvent éclatées en agences et doivent jongler avec des infrastructures informatiques hétérogènes, souligne Jean-Marc Djian. Les éditeurs vont devoir davantage interfacer leurs solutions. » Atos souhaite également profiter du centre pour développer des solutions verticalisées, destinées à des cibles particulières, comme le secteur public, la finance, l'assurance et l'industrie. Quant aux clients d'Atos, ils auront la possibilité de venir dans les locaux pour découvrir les meilleures pratiques et les nouvelles technologies, tester les solutions ou encore maquetter des projets. « In fine, l'objectif consiste à proposer à nos clients une offre ECM globale, allant du conseil jusqu'aux services », précise Jean-Marc Djian. Atos présentera son centre demain à une soixantaine de partenaires et clients. Cinq ateliers leur seront proposés au courant de l'après-midi, avec pour thèmes la chaîne de dématérialisation, la pérennisation des données, « platform as a service » - où comment l'ECM se dirige vers le 2.0 -, la migration et l'archivage.
Atos ouvre un centre de compétences ECM à Sophia-Antipolis
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