Aujourd'hui, après un an d'utilisation, Cédric Despres dresse un bilan plutôt positif. Il insiste sur la « souplesse de prise en main », étant donné qu'il n'a fallu qu'une semaine pour le déployer. Il ajoute que « c'est du virtuel, il n'y a pas de fils à connecter, nous avons juste à choisir sur Internet les machines que nous voulons créer ». Il pointe un autre atout pour les entreprises qui ne seraient pas certaines de se lancer totalement dans le cloud. Si elles décident d'abandonner après la phase de tests, elles disposent malgré tout des scripts et du détail de fonctionnement et d'informations sur la performance des machines au sein de cet environnement. De quoi en tirer des enseignements pour optimiser leurs coûts.
Dans le cas du site Voyages-sncf.com, selon Cédric Despres il y a eu « de meilleurs résultats de performance sur Amazon Web Services que sur l'hébergement traditionnel, ce qui a permis d'améliorer la rapidité de notre hébergement traditionnel ». Néanmoins, Cédric Despres évoque plusieurs inconvénients, à savoir les écarts de performances d'une plate-forme à l'autre en raison de l'utilisation de CPU différents d'une période à l'autre au sein du Cloud, ainsi qu'un manque de visibilité sur les performances I/O des disques et du réseau.
Photo : Cédric Despres, Responsable Edition Logicielle chez Voyages-sncf.com
1ère réunion du groupe utilisateurs français d'Amazon Web Services (MAJ)
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