Une alternative sûre et avantageuse
De nombreuses entreprises cherchent donc un contre-modèle aux solutions par abonnement et au Cloud. Le marché des logiciels d'occasion offre une alternative sûre et rentable : on y trouve toujours des licences dites "On Premise". Il s'agit de logiciels que les entreprises peuvent installer "localement" sur leurs propres ordinateurs ou serveurs. Les données sensibles peuvent être stockées dans le propre système informatique, et protégées contre les cybercriminels.
La particularité des fournisseurs de logiciels d'occasion comme usedSoft, est qu'ils proposent également des versions qui ne sont plus disponibles chez l’éditeur. En effet, Microsoft lui-même ne propose, en plus de sa variante Cloud, que la version la plus récente de ses produits. Cette option est trop coûteuse pour de nombreuses structures, surtout si l'on considère que la plupart des bureaux n'ont pas besoin de toutes les fonctions offertes par les nouveaux développements logiciels. Souvent, une version antérieure est amplement suffisante, et inclue les mises à jour même d’occasion.
Jusqu'à 50% de moins que le prix du neuf
Un autre argument plaide en faveur du fait de ne pas miser immédiatement sur la dernière version d’un logiciel : Comme le montre l'exemple actuel de Windows 11, nouveau n'est pas forcément meilleur. Le nouveau système d'exploitation de Microsoft ne peut guère être installé sur des ordinateurs existants en raison des exigences matérielles très élevées. Pour pouvoir utiliser Windows 11, les entreprises doivent d'abord vérifier à grands frais si leurs ordinateurs individuels sont suffisamment performants. Il se peut alors qu'il faille remplacer des appareils qui fonctionnent pourtant parfaitement. Cela demande non seulement beaucoup de temps, mais aussi un investissement financier. Ce scénario peut être évité dans la plupart des cas : Windows 10 offre à la plupart des entreprises tout ce dont elles ont besoin. Il fonctionne de manière fiable sur les ordinateurs déjà existants et est disponible à des conditions avantageuses sur le marché de l’occasion. Chez usedSoft, le prix de ces logiciels de seconde main est jusqu'à 50% inférieur au prix du neuf. Néanmoins, occasion ne signifie pas forcément vieux : usedSoft offre également la possibilité de réduire considérablement les coûts en achetant les versions les plus récentes.
Un marché de l'occasion bien établi en Europe
Les sources à partir desquelles usedSoft se procure des logiciels d'occasion sont multiples. Les licences proviennent par exemple d'entreprises qui passent à un autre logiciel, qui suppriment des postes ou cessent leur activité. Lorsqu'un logiciel n'est plus utilisé, les licences correspondantes peuvent être revendues. En tant qu'organe judiciaire suprême, la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE) a clarifié définitivement la situation en 2012 avec son arrêt et a déclaré que le commerce de programmes informatiques d'occasion était en principe légal. Dans les motifs de leur jugement, les treize juges de la Grande Chambre ont clairement établi que le principe dit d'épuisement s'applique à toute première vente d'un logiciel. Celui-ci stipule que le droit de distribution de l'auteur s'épuise dès qu'il a mis son œuvre en circulation pour la première fois. En termes simples, un fabricant ne peut plus déterminer le chemin que prendra son produit après sa vente. Le premier acheteur peut décider de le revendre et à qui, sans l'accord du fabricant.
Pionnier du logiciel d'occasion
Le principe des logiciels d'occasion est donc simple : contrairement à la plupart des autres produits, les logiciels ne s'usent pas. Pour l'acheteur, une licence d'occasion a la même "valeur" qu'une licence neuve - à la différence qu'il l'obtient à des conditions nettement plus avantageuses. C'est l'idée simple qui est à la base de ce marché. Une idée qui a été développée par usedSoft et qui est arrivée à maturité. L'entreprise a fait figure de pionnière sur le marché des logiciels d'occasion en Europe.
Aujourd'hui, usedSoft compte environ 17 500 clients, dont Ipsos France, Allude, s.Oliver, Segafredo et Paris Saclay. "Nous avions besoin de nouveaux systèmes d’exploitation pour les serveurs de notre administration", explique Raphaël Cadeau, Directeur des systèmes d’informations de Paris Saclay. "Grâce aux médias, nous avons découvert le marché des logiciels d’occasion et usedSoft. Avant tout, le prix très bas a bien sûr été décisif. Mais le service compétent et convivial, la simplicité du traitement des commandes et la rapidité de livraison nous ont également convaincus." En effet, l'achat chez usedSoft se déroule de manière aussi simple et professionnelle qu'un achat neuf. Les clients peuvent commander rapidement et confortablement via la boutique en ligne ou personnellement auprès de l'équipe de vente.
Transformer les logiciels inutilisés en argent
Outre les acheteurs de logiciels d'occasion, les vendeurs peuvent également profiter du modèle commercial de usedSoft. De nombreuses entreprises ne réalisent que lentement quel potentiel se trouve sur leur infrastructure. Des logiciels achetés auparavant à grands frais deviennent soudain superflus et "prennent la poussière" suite à des changements structurels. En vendant les licences excédentaires, les entreprises peuvent transformer leur capital immobilisé en liquidités. Après tout, il ne viendrait à personne l'idée, après l'achat d'une nouvelle voiture, d'envoyer directement l'ancienne à la casse. Pourquoi en serait-il autrement pour les licences de logiciels ?