Chez Rolls-Royce, le développement de moteurs s’appuie sur de nombreux outils spécialisés, développés en interne pour des besoins précis. Cependant, ces applications restent isolées, limitant ainsi les échanges de données entre les outils non interopérables. Cela peut compliquer la simplification des workflows ou la limitation des traitements manuels.
Ce document revient sur l’usage du low-code chez Rolls Royce, pour structurer un environnement cohérent et modulaire. Il détaille comment l’entreprise développe ses propres applications d’ingénierie sur une base partagée, interconnecte ses sources de données critiques et gère des référentiels communs pour éviter les duplications. L’enjeu est aussi organisationnel : mieux coordonner les équipes IT et ingénierie, tout en gardant la maîtrise des outils développés.