Et si la sécurité des IA passait aussi par la souveraineté comme le défend Patrick Laurens-Frings, de NumSpot, du moins pour les acteurs des secteurs stratégiques et sensibles : « Pour eux, il est indispensable d’opter pour un projet de confiance pour ne pas s’exposer aux lois extraterritoriales (ndlr : comme le Cloud Act et le FISA pour les Etats-Unis, des lois chinoises pour DeepSeek), d’héberger les données dans des clouds 100 % souverains, voire qualifiés SecNumCloud et HDS en fonction de la...
Il vous reste 91% de l'article à lire
Vous devez posséder un compte pour poursuivre la lecture
Vous avez déjà un compte?
Commentaire