L’offre Oracle NoSQL Database est à l’origine basée sur le moteur de Berkeley DB issue du rachat de Sleepycat Software en janvier 2006, Berkeley DB étant à l’époque une base de données embarquée de type clé-valeur. Et comme le mentionne Javier Dario Vega Baez, Product Manager chez Oracle, Oracle NoSQL Database est devenu au fil du temps et des évolutions une base multimodèle (clé-valeur, table, Time-Series ou encore document) prenant donc en charge plusieurs modèles de données. À cette offre, l’éditeur possède à son catalogue une base de données NoSQL de type Graph baptisée Oracle Graph fortement axée vers l’analytique qui peut être, elle-même, déployée sur une base de données SQL ou NoQSL. Parmi les points forts de NoSQL Database, Javier Dario Vega Baez en cite trois : des réponses à faible latence, des modèles de données flexibles et une mise à l’échelle élastique pour les charges de travail dynamiques. « En termes de prix, nous avons, à ce titre, une granularité flexible en fonction du type de transaction », précise le porte-parole du fournisseur.
La flexibilité de la base de données Oracle se trouve aussi dans les API et les déploiements. En outre, l’éditeur propose trois versions : Community, Enterprise Edition et en mode cloud full managé serverless. De même, Oracle NoSQL Database s’interface avec les autres solutions et services de l’éditeur. Concernant les cas d’usages, étant donné son universalité, cette base de données répond à de multiples besoins, de la finance (pour la détection de fraude par exemple) au gaming en passant par le la grande distribution, les réseaux sociaux, l’industrie ou encore les télécommunications, la mobilité et l’IoT. D’ailleurs, Javier Dario Vega Baez nous confirme que le marché de l’IoT (qui reçoit une grande quantité de données à traiter) est une vraie tendance pour Oracle NoSQL Database.
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