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(28/11/2008 16:18:10)
La licence XP, un bon motif pour acheter des PC d'occasion
Ce qui a le plus de valeur dans un PC d'occasion ? Sa licence Windows XP, bien sûr ! Interrogé par notre confrère IDG News Service, David Daoud d'IDC confirme l'intérêt de disposer d'une machine sous XP prête à l'emploi. Un point de vue que partage aussi le Gartner Group. La demande pour ces micros sous XP vient surtout d'entreprises pour lesquelles acquérir un micro sous XP présente deux avantages. D'une part, la garantie d'une compatibilité à 100% avec le parc applicatif, d'autre part, le maintien de la cohérence de ce parc. Sans parler du fait que, pour des besoins professionnels habituels (bureautique, courriels...), il n'est pas nécessaire d'acheter un micro dernier cri. Celui-ci est non seulement plus cher, mais, en plus, il arrive avec Vista pré-installé. Le coût de mise en conformité avec le reste du parc s'ajoute à celui de son achat. Pour les chasseurs de XP pré-installés, la principale difficulté à surmonter consiste à s'assurer de l'authenticité de la version livrée avec la machine. Les modèles de grande marque, censés être plus fiables que les modèles génériques, arborent ainsi la fameuse étiquette COA (Certificate of Authenticity). Microsoft propose aussi un outil d'authentification en ligne. qui garantit l'authenticité du système d'exploitation présent. Il reste que le marché du micro d'occasion est loin d'être aussi structuré que celui d'autres biens durables. Et selon le Gartner Group, moins d'un PC sur deux entre sur le marché d'occasion. (...)
(24/11/2008 16:37:40)Affaire 'Vista Capable' : Steve Ballmer devra témoigner
Microsoft avait pourtant fait tout son possible pour que son PDG Steve Ballmer ne témoigne pas dans l'affaire 'Vista Capable'. Le juge fédéral Marsha Pechman vient d'en décider autrement. Dans un arrêt rendu le 21 novembre dernier, elle rejette la demande de Microsoft. Elle ordonne à Steve Ballmer de faire sa déposition sous 30 jours, tout en reconnaissant que, par égard pour son agenda « chargé », les plaignants ne pourront pas prendre plus de trois heures pour entendre cette déposition, et Steve Ballmer pourra décider du lieu et de l'heure de celle-ci. L'affaire 'Vista capable' a débuté en février 2008, suite à plusieurs plaintes déposées de consommateurs selon lesquels Microsoft aurait permis l'apposition d'étiquettes « Vista Capable » sur des machines ne supportant pas les nouveautés proposées par l'OS. Jusqu'ici, Steve Ballmer avait nié toute implication dans la décision de diminuer les spécifications techniques nécessaires pour obtenir le logo mais les plaignants ont, selon le juge, démontré qu'il « pouvait être en possession d'informations personnelles uniques sur des faits pertinents quant à cette affaire. » Le jugement final n'interviendra pas avant avril 2009 Aucune date pour le témoignage du PDG de Microsoft n'a encore été proposée, mais un porte-parole de l'éditeur a fait savoir par courrier électronique qu'il « se plierait bien entendu aux décisions de la Cour. » Dans cette action collective ('class action') opposant Microsoft à des clients qui s'estiment lésés sur les capacités de leur machine à faire tourner Vista, le jugement final ne devrait pas être rendu avant avril 2009. (...)
(20/11/2008 16:25:08)IBM veut acquérir Transitive pour consolider les applications hétérogènes
IBM s'est porté acquéreur de la société anglo-américaine Transitive. Forte de 48 brevets, sa technologie Quick Transit permet de transcrire dynamiquement le code d'une application sur un autre processeur que celui d'origine. Autrement dit, le savoir-faire de Transitive permet, par le biais de l'émulation, de consolider des applications hétérogènes sur des plateformes hôtes. IBM se dote donc d'un outil d'hébergement d'applications tierces sur ses plateformes. Quick Transit permet de transcrire du code dynamiquement à partir des architectures processeurs suivantes : X86, PowerPC, Mips, Itanium, Sparc et processeurs mainframe. La présence de cette couche réduit les performances de 10 à 50% selon l'importance des appels processeur. La technologie QuickTransit de Transitive est éprouvée. C'est elle, sous le nom de Rosetta, qui a permis à Apple de quitter les processeurs PowerPC pour ceux d'Intel. IBM est également client de Transitive. Sa technologie est au coeur du produit PowerVM Lx86 (ex-PAVE, System P Application Virtual Environment) qui permet de faire tourner du Linux X86 sur plateforme Power. Outre Apple et IBM, Fujitsu Siemens, Red Hat, HP et Sun sont clients de Transitive. Désormais, il y a fort à parier qu'IBM va garder l'exclusivité du savoir faire de sa nouvelle acquisition. Les plateformes Sparc/Solaris pourraient être une cible de choix pour IBM. (...)
(19/11/2008 10:35:44)Deux systèmes au-delà du Petaflops dans le Top500
Roadrunner plie mais ne rompt pas. En tête du précédent Top500, publié en juin dernier, IBM, Intel et Linux squattent le Top500, le supercalculateur petaflopique d'IBM garde la première place du classement des plus imposants monstres de calcul de la planète. Un peu plus performant qu'en juin, Roadrunner (en photo ci-dessus) affiche désormais un peu plus de 1,1 Pflops (un petaflops équivaut à un million de milliards d'opérations par seconde). Le Jaguar de Cray, installé au Laboratoire national d'Oak Ridge aux Etats-Unis, bondit directement sur la deuxième marche du podium, talonnant Roadrunner avec 1,059 Pflops. C'est le deuxième à franchir le cap mythique du Pflops. Intel reste largement majoritaire avec près de 76% des configurations, mais c'est le couple PowerXCell d'IBM et Opteron d'AMD qui donne sa puissance à Roadrunner. Le Jaguar héberge, lui, les quadricoeurs du numéro 2 mondial des processeurs. AMD équipe cinq autres des 10 premiers et l'architecture PowerPC, deux. Un seul des 10 premiers systèmes est équipé par Intel. Certes, il s'agit du numéro 3 et d'un tout nouveau système SGI installé à la Nasa avec une performance proche de 500 Tflops. Par ailleurs, deux tiers des supercalculateurs intègrent désormais des quadricoeurs, modèle en passe de devenir un standard avec les sorties récentes du Core i7 d'Intel et du Shanghai d'AMD. Coté système, Linux n'est guère menacé, avec 88% des systèmes. Un numéro dix chinois équipé de Windows HPC Server [[page]]A l'exception de sa tête, le classement des dix premiers du Top 500 est bouleversé par rapport à la dernière liste, publiée cet été. Neuf machines sont installées aux Etats-Unis (dont 7 au DoE, Département de l'énergie). Exit l'Allemagne, l'Inde et la France (désormais respectivement 11e, 13e et 14e). Elles laissent la place à la Chine qui se glisse en 10e position avec son Shanghai Supercomputer Center équipé du tout nouveau Windows HPC 2008. L'Hexagone place 26 systèmes dans le classement et culmine à 128 Tflops avec le site du Genci (Grand équipement national de calcul intensif). Enfin, en attendant le Green500 (classement des supercalculateurs par efficacité énergétique) qui sera dévoilé le 20 novembre, le Top500 classe désormais aussi ses machines en fonction de leur consommation énergétique. A ce jeu là, IBM gagne encore. Selon l'organisme, les configurations les plus efficaces en la matière s'appuient sur des lames à base de Cell (536 Mflops/W) ou des systèmes BlueGene d'IBM. La consommation moyenne du classement est de 358 kWatt alors que l'efficacité énergétique moyenne se situe à 132 Mflops/Watt. Et seuls 14 systèmes dépassent le MWatt. (...)
(14/11/2008 16:41:25)Le Gartner prédit l'émergence de clouds privés chez les grands comptes
Dans l'univers déjà brumeux du cloud computing, le Gartner Group en rajoute une couche. Selon les analystes de ce cabinet, les grandes entreprises s'intéressent de près aux infrastructures en cloud computing de fournisseurs comme Google et Amazon, non pour leur déléguer les leurs, mais plutôt pour apprendre comment les faire muter sur leur modèle. Et l'analyste Thomas Bittman de créer le concept de cloud computing privé. Il exposera sa vision complète du phénomène le mois prochain dans le cadre de la conférence annuelle du Gartner à Las Vegas. En attendant, il souligne que l'offre actuelle de cloud computing des fournisseurs s'adresse en fait aux clients en quête d'externalisation. Bien qu'il soit mis en avant, le cloud de ces fournisseurs n'est là que pour répondre à un besoin de sous-traitance. Le Gartner prévoit que l'appel au cloud computing pour l'externalisation concernera en priorité le courrier électronique. Le nombre de boîtes de courriels hébergées selon ce modèle passera de 1% du total en 2007 à 20% en 2012. Une prédiction qui résonne avec l'annonce d'Exchange Online par Microsoft en mai dernier. L'éditeur prévoit que, d'ici cinq ans, " la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online." La suite logique de la virtualisation [[page]] Quant à la version privée du cloud computing, elle s'inscrit dans la suite logique de la généralisation de la couche de virtualisation qui s'insère de plus en plus dans les serveurs et qui commence à s'immiscer sur les postes clients. Cette 'décorrélation' entre les ressources matérielles et les logiciels ouvre de nouveaux horizons à ce qu'il était coutume d'appeler l'informatique distribuée. C'est dans ce contexte que surgit le VDC-OS (Virtual datacenter OS) de VMware, qualifié par le Gartner de "méta système d'exploitation". Son rôle est d'orchestrer toutes les ressources informatiques pour assurer un bon fonctionnement aux applications. Pour Thomas Bittman, ces clouds privés ne naîtront pas en un jour. Il s'agit plus d'une tendance architecturale lourde des systèmes d'information des grands comptes. Pour les PME, le schéma est différent. Le Gartner pense que, d'ici cinq ans, un important pourcentage d'entre elles aura fait appel à des prestataires de ressources en cloud pour constituer leur système d'information. En fait, le Gartner ébauche un paysage bigarré où les entreprises intègrent plus ou moins, et sous des formes variables, cette informatique distribuée d'un nouveau genre à leur système d'information. Elle fédère des ressources à la fois locales et distantes et à la fois en propre ou externalisées sous le contrôle d'une administration centralisée. (...)
(13/11/2008 16:37:36)Microsoft lifte sa plateforme Windows Live à la sauce Facebook
Microsoft veut donner un coup de jeune à sa plateforme Windows Live, dont la version bêta a été lancée il y a un an. A partir du mois de décembre, elle intégrera une quinzaine de nouveaux services sur une même page, comme la messagerie instantanée, les courriels, un diaporama, un agenda partagé, la possibilité de publier des photos ou des vidéos, ou encore de télécharger des applications. Microsoft a également revu l'interface graphique de sa plateforme. Moins encombrée, elle se présente sous la forme de blocs de contenu personnalisables. Ces services comprennent également la mise à jour d'Hotmail (qui offre depuis peu de temps un espace de stockage illimité et un filtre anti-spam amélioré) et de SkyDrive, son service de stockage en ligne, dont la capacité passe de 5 Go à 25 Go. Microsoft a par ailleurs noué des partenariats avec une cinquantaine de sites comme Digg, FlickR, Pandora, Twitter ou encore Wordpress afin de créer le « Quoi de neuf », un service qui permet aux utilisateurs de Windows Live de partager des documents avec des groupes d'amis. Dès qu'une modification est publiée sur l'un des sites partenaires, la mise à jour se fait automatiquement sur Windows Live sans que l'internaute soit obligé d'intervenir manuellement. Google, AOL, Facebook et MySpace ne font pas partie des sites partenaires de Microsoft - qui a pourtant investi 240 M$ dans Facebook en octobre 2007. Seul le partage de contacts est possible avec Facebook. Les nouveaux services comprennent Windows Live Profile (qui devrait être la page d'accueil du site), Windows Live Photo, Windows Live People (contacts et carnet d'adresses), Windows Live Groupe et Windows Live FrameIT (affichage des flux RSS). Ces améliorations propulsent Microsoft en concurrence directe avec des sites communautaires comme MySpace ou Facebook (120 millions de membres). (...)
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