Flux RSS

Windows

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1087 documents trouvés, affichage des résultats 261 à 270.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(28/12/2009 14:18:20)

Les développeurs réclament à Microsoft un Azure moins cher, facturé à la minute

A quelques jours du lancement officiel d'Azure, l'offre de cloud de Microsoft ouvrant le 1er janvier, des voix de plus en plus nombreuses se font entendre pour réclamer à Microsoft une offre d'entrée de gamme, à bas prix, voire gratuite, permettant aux étudiants et développeurs individuels d'utiliser le service pour de petits projets. Mike Wickstrand, qui supervise l'établissement de la feuille de route d'Azure, a ouvert il y a un mois un site permettant de suggérer des idées de futures améliorations et de commenter et voter sur ces idées. La proposition remportant le plus de votes (1 239 voix au 28 décembre 2009) avait été formulée par Mike Wickstrand lui-même : « Faire en sorte que ce soit moins cher d'exécuter mon très petit service sur Windows Azure ». Juste derrière, vient, avec 656 votes, « prolonger l'offre gratuite pour les développeurs ». Microsoft avait bien indiqué que le mois de janvier compterait pour une période d'essai gratuite, afin d'inciter le plus grand nombre à tester son service. Toutefois, cela implique de réaliser des développements spécifiques, qui ne pourront tourner que sur Azure. Et malgré les promesses d'une facturation à l'usage, les tarifs ne sont pas très attractifs ; comme le souligne un développeur individuel, Microsoft ne compte pas le temps de consommation de CPU, mais bien le nombre d'heures où un service tourne, quelle que soit son activité. Prohibitif pour nombre de petits projets. Surtout qu'en face, chez Google, on propose une utilisation gratuite d'AppEngine jusqu'à un seuil relativement élevé de connexions. Une facturation d'Azure arrondie à l'heure supérieure Dans le même ordre d'idées, Joannes Vermorel, fondateur de Lokad, demande à être facturé à la minute, plutôt qu'à l'heure. Cette start-up française, récemment promue au sein de BizSpark One (qui rassemble les start-up les plus prometteuses du programme Microsoft BizSpark), recourt en effet à Azure pour effectuer des calculs statistiques complexes. Joannes Vermorel écrit : « Ce que j'aime le plus avec le cloud computing (et ce dont mon activité a le plus besoin) est la capacité de régler au plus fin la puissance informatique disponible pour répondre exactement à la demande. A cet égard, je serais encore plus intéressé si Azure me laissait ajuster le nombre d'instances de façon beaucoup plus précise, c'est-à-dire de façon à être facturé à la minute et non à l'heure. Au lieu de ça, lorsque j'ai un processus qui prend 1h15, je me retrouve à devoir payer pour deux heures. Je préférerais vraiment payer pour 1h15 dans la mesure où j'ai fait l'effort d'optimiser mon processus de façon à ce qu'il ne prenne que 1h15 et non 1h55. » Parmi les autres propositions, on peut aussi noter la demande - pourtant assez basique - de gestion des envois de courriels (489 votes), la création d'un environnement bêta pour tester la version 4 de .Net (298 votes), ou encore le support de Smooth Streaming (diffusion de vidéo s'adaptant automatiquement au débit, 147 votes). (...)

(06/11/2009 17:12:55)

Seven se vend 3 fois mieux en première semaine que Vista

D'après des chiffres compilés par le NPD Group, Microsoft a vendu trois fois plus de licences de Windows 7 durant sa première semaine de commercialisation au grand public que de copies de Vista à l'époque, en janvier 2007. Cette hausse de 234% prend toutefois en compte les précommandes enregistrées par Microsoft et ses distributeurs. Et elle ne doit pas grand chose à l'évolution du marché des PC : selon IDC, qui est plus optimiste que Gartner, il s'en est écoulé 202 millions dans le monde en 2007, et il devrait s'en vendre 282 millions cette année (soit une hausse de 39,6 %). Stephen Baker, du cabinet d'études, indique que ces chiffres sont « plutôt bons », mais « pas excellents ». Seven a eu en effet bien meilleure presse que Vista, et les attentes étaient donc grandes. Selon l'analyste, les ventes de Windows 7 auraient souffert d'une part de la récession, d'autre part de la présence encore bien vivace de Windows XP, et de stocks importants de machines sous XP et Vista chez les revendeurs. Moins d'Ultimate vendues et plus de promos : un prix moyen en baisse Stephen Baker note aussi que la belle progression des ventes due à Seven ne se traduit pas pleinement en chiffre d'affaires, qui lui n'a augmenté dans le même temps que de 82%. La faute aux nombreuses promotions offertes par Microsoft et ses partenaires. NPD estime ainsi que le prix moyen de la mise à jour Home Premium de Windows était de 76$, pour un tarif catalogue annoncé de 120 $. L'analyste croit aussi savoir qu'il s'est vendu bien moins d'éditions Ultimate (Intégrale en France, la plus chère) que lors de la sortie de Vista, ce qui contribue à la baisse du panier moyen. De fait, afin de justifier le surcoût, Microsoft avait à l'époque communiqué sur les nombreux 'extras' qui seraient développés en exclusivité pour les possesseurs de la version Ultimate de Vista. Lesquels étaient restés sur leur faim. Enfin, la disponibilité de Seven a eu un effet positif sur les ventes de PC, mais Vista avait fait mieux. D'après NPD, d'une semaine à l'autre, les ventes de PC ont augmenté de 95% grâce à la mise en vente de Windows 7, contre une hausse de 170% lors de la commercialisation de Vista. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >