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(06/02/2009 11:08:44)
LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(05/02/2009 16:10:29)La banque mobile sud-africaine Wizzit obtient le grand prix Netexplorateur 2009
C'est le fondateur de la banque mobile Wizzit, Brian Richardson, qui obtient le grand prix Netexplorateur 2009. La récompense lui sera remise lors de la clôture du deuxième forum Netexplorateur qui se tient au Sénat les 5 et 6 février. Cette manifestation entend récompenser les 10 pionniers des « innovations mondiales les plus prometteuses en matière d'usages numériques. » Wizzit a créé une banque 'low cost' uniquement accessible depuis les téléphones mobiles. Objectif : proposer des services bancaires faciles d'accès (transferts, retraits, paiements de factures, communications prépayées, etc.) aux populations de l'Afrique du Sud qui n'y avaient pas encore accès. Les organisateurs de la manifestation et un réseau d'experts internationaux ont choisi cette jeune entreprise sud-africaine parce qu'elle associe technologies mobiles innovantes, business et solidarité. Le système fonctionne depuis n'importe quelle carte SIM et n'importe quel réseau GSM. Il faut rappeler que la téléphonie mobile est un des moyens de communication les plus répandus en Afrique du Sud, comme c'est souvent la cas sur ce continent. Le patron de Wizzit raconte que « dans certaines zones rurales, les mobiles sont plus nombreux que les prises électriques ». Le service s'adresse à une population défavorisée, mais il est aussi voué à « être au plus près de chacune des communautés ethniques et linguistiques d'Afrique du Sud. Le relais commercial et marketing est assuré par des 'Wizzkids', issus eux-mêmes des différentes ethnies, qui prospectent dans leur communauté. » Enfin, les frais d'accès aux services bancaires restent raisonnables puisqu'ils sont calculés en fonction de l'utilisation. Wizzit connaît déjà le succès dans son pays, mais il est aussi soutenu par la Banque Mondiale et sera présenté en octobre à la fondation Clinton. En septembre dernier, il a lancé une entreprise commune avec la Royal Bafokeng Holdings pour créer « un réseau bancaire complet dans une communauté de 300 000 personnes au nord-ouest de l'Afrique du Sud (Royal Bafokeng Nation), quasiment sans accès aux services bancaires jusqu'à présent ». (...)
(04/02/2009 16:22:42)Facebook fête son cinquième anniversaire
Rarement, en une demi-décennie, une entreprise sera parvenue à connaître un tel succès, réunissant des dizaines de millions d'utilisateurs dans une grande partie des pays du monde. En fêtant, ce 4 février, son cinquième anniversaire, Facebook rappelle à quel point son ascension s'est révélée fulgurante. Fondé en février 2004 par Mark Zuckerberg, alors étudiant à Harvard, le réseau social ne nourrit alors guère d'autre prétention que celle de relier les élèves du campus. Très rapidement pourtant, d'autres universités se saisissent de l'outil, puis celui-ci cesse de ne se voir que comme un trombinoscope estudiantin. Brusquement convaincus par la bonne idée de Mark Zuckerberg, plusieurs investisseurs abreuvent la jeune société de fonds lui permettant de se développer. Elle compte aujourd'hui plus de 150 millions de membres et 35 versions linguistiques. Le succès fulgurant de l'entreprise attise évidemment les appétits, dont ceux des acteurs incontournables de l'IT. En septembre 2006, Yahoo aurait ainsi proposé de racheter Facebook pour 1 Md$, une somme qu'aurait refusée Mark Zuckerberg. L'année suivante, Microsoft prend une participation dans le réseau social, en investissant 240 M$, soit 1,6% du capital. Le calcul est rapide : Facebook serait valorisé à 15 Md$ ! Tout n'est cependant pas rose dans l'univers Facebook, dont le modèle économique n'a pas tardé à être pointé du doigt par les défenseurs des libertés individuelles. Les détracteurs du réseau social ont notamment vilipendé l'exploitation des données personnelles des utilisateurs à des fins commerciales. On se souvient ainsi de la polémique qui avait entouré Beacon, le système de publicités ciblées pour lequel Facebook avait fini, sous la pression, par instaurer un principe d'opt-in. Ces polémiques n'existeraient évidemment pas sans une certaine naïveté de la part des utilisateurs, qui ne rechignent pas à faire apparaître nombre d'informations personnelles, voire intimes, sur leur profil. C'est ce qu'indique Mark Zuckerberg sur le billet de blog qu'il a rédigé à l'occasion du cinquième anniversaire de sa création : « La culture Internet a considérablement changé au cours des cinq dernières années. Avant, la plupart des gens n'auraient pas envisagé de dévoiler leur identité en ligne. Mais Facebook leur a offert un environnement sûr pour interagir. » (...)
(02/02/2009 16:37:58)Les éditeurs de presse pessimistes sur la rentabilité de leurs sites
Pour le secteur de la presse, les sites Web paraissent plus comme un mal nécessaire que comme un nouveau vecteur pour toucher du public et faire des affaires. « Quand on en parle dans tous les pays, pris isolément, les sites sont tous déficitaires. Même le New York Times perd de l'argent. Le seul modèle payant au monde [et gagnant de l'argent] est le Wall Street Journal, mais ils fournissent une info très spécifique. Je pense que le site d'information, pris isolément, ne sera pas rentable. Je suis assez pessimiste. » Francis Morel, directeur général du groupe Le Figaro, s'exprimait ainsi le 30 janvier dernier, lors d'un colloque organisé par l'IPJ, Institut pratique du journalisme, qui à l'occasion de ses 30 ans souhaitait explorer l'avenir de la presse et des journalistes à l'heure du Web 2.0. Pierre-Jean Bozo, président de 20 Minutes, confirmait ces propos : « Aujourd'hui, ce sont les bénéfices du papier qui compensent les pertes du Web. » Les représentants de LCI.fr, LePoint.fr ou encore LeParisien.fr confirmaient de leur côté la volonté de leur groupe respectif d'offrir un visage sur le Web, avec les moyens les moins élevés possible - la publicité en ligne ne compensant pas les frais - mais avec le meilleur référencement possible dans Google. "Le référencement Google, un nivellement par le bas" C'est en effet le moteur de recherche qui joue les arbitres dans la course à l'audience. « C'est vrai que nous sommes complètement dépendants du référencement Google, cela produit un nivellement par le bas. Et engendre un paradoxe : ce n'est pas celui qui sort un scoop qui est référencé, mais ceux qui le reprennent ! » s'est plaint Denis Carreaux, rédacteur en chef adjoint du Parisien.fr. Personne n'ayant de martingale, ni pour bien figurer dans le classement de Google, ni pour faire remonter les tarifs publicitaires, la conférence s'est achevée avec un certain pessimisme, à peine tempéré par le directeur général de Rue89.com, contre-exemple d'un média né sur la Toile et capable de vivre uniquement en ligne. Encore qu'il ait bénéficié d'une levée de fonds de 1,1 M€ et d'un gros buzz médiatique de la part des confrères... En savoir plus Le résumé de la conférence sur la presse en ligne et le « journalisme 3.0 » sur notre blog(28/01/2009 16:48:35)
Wikipedia fait un pas vers la modération d'articles a priori
Ted Kennedy est mort. Son collègue au Sénat américain, Robert Byrd, aussi. C'est du moins ce qu'ont affirmé les articles de Wikipedia consacrés à ces personnalités, avant que des internautes ne s'empressent de faire disparaître ces informations erronées et de rétablir la vérité : ces deux célébrités vivent toujours. Face à des erreurs qui se multiplient et érodent la légitimité de Wikipedia, son fondateur a décidé de réagir. Si la célérité des utilisateurs de l'encyclopédie libre a permis de ne laisser les informations fallacieuses que quelques minutes en ligne, ces deux exemples mettent en lumière les errements auxquels Wikipedia est immanquablement sujet. Puisque le service permet à quiconque d'apporter sa contribution, il autorise automatiquement la mise en ligne de contenu erroné. C'est ce qu'avaient démontré des étudiants de Sciences Po en 2007, dans le cadre d'un travail conduit par leur professeur Pierre Assouline. La modération a priori, déjà expérimentée pour les germanophones Pour que la crédibilité de Wikipedia ne s'en trouve pas trop écornée, l'encyclopédie envisage une validation obligatoire des modifications soumises sur certains types d'articles. Dans ce système, préconisé par Jimmy Wales, le fondateur de Wikipedia, tous les utilisateurs continueraient d'avoir le droit d'amender les articles, mais ces modifications seraient placées dans une file d'attente. Charge ensuite à des 'éditeurs de confiance' d'approuver les changements proposés avant que ceux-ci ne soient effectivement mis en ligne. Un tel système est déjà en cours d'évaluation sur la version germanophone de l'encyclopédie. Les délais de mise en ligne des corrections s'en trouvent largement allongés - il faut parfois compter trois semaines avant de voir une modification validée - mais Jimmy Wales estime qu'en assermentant suffisamment de super-utilisateurs, ce laps de temps pourrait ne pas dépasser une semaine. Avec ce dispositif, dit 'Flagged revision', « les inepties [concernant Ted Kennedy et Robert Byrd] auraient été évitées à 100% », argumente Jimmy Wales. Soucieux de conserver son principe de fonctionnement reposant sur les contributions des internautes, Wikipedia a mis en place une consultation pour recueillir leur sentiment sur ce procédé. Pour l'heure, 60% des participants se sont prononcés en sa faveur. (...)
(26/01/2009 16:49:35)Nicolas Sarkozy promet d'aider la presse en ligne
Nicolas Sarkozy a un plan pour sauver la presse, et notamment la presse en ligne. Vendredi 23 janvier, le président de la République a présenté ses propositions, issues des travaux des Etats généraux de la presse écrite. Celles-ci visent à « répondre à l'urgence créée par l'effondrement des perspectives publicitaires sur la situation économique des entreprises de presse pour 2009 ». L'un des chantiers prioritaires de Nicolas Sarkozy concerne la presse en ligne. « Ce n'est pas le sujet le plus facile », souligne le chef de l'Etat, mais c'est un dossier incontournable car « si la presse ne prend pas le virage d'Internet, elle n'aura aucune réponse à offrir aux générations natives du numérique ». La situation est d'autant plus compliquée qu'il n'existe « toujours pas de modèle certain de réussite pour la presse en ligne ». Vers un statut d'éditeur de presse en ligne Nicolas Sarkozy évoque en premier lieu la création d'un statut d'éditeur de presse en ligne. Il sera accordé aux entreprises qui répondent au moins à deux critères. D'abord, l'emploi de journalistes professionnels. Ensuite - et c'est un critère qui mériterait une exégèse - « le caractère journalistique du traitement de l'information ». Dans un souci de clarification des statuts d'hébergeur et d'éditeur, Nicolas Sarkozy prévoit de soumettre les éditeurs de presse en ligne à un « régime de responsabilité exigeant adapté à la réalité de la presse en ligne qui se nourrit de la participation des internautes. Ce n'est pas parce qu'on est sur Internet qu'on doit être irresponsable. » Les éditeurs de presse en ligne bénéficieront du régime fiscal des entreprises de presse, ce qui inclut notamment une exonération de la taxe professionnelle. Par ailleurs, le locataire de l'Elysée rappelle qu'il poursuit « un travail de conviction indispensable auprès des partenaires européens pour obtenir que les taux réduits de TVA soient étendus à la presse en ligne ». De fait, le chef de l'Etat déplore « une situation doublement stupide où la presse en ligne est défavorisée par rapport à la presse papier et la presse numérique payante est défavorisée par rapport à la presse numérique gratuite. Ca n'a pas de sens. » Les droits d'auteur adaptés à la presse en ligne Autre mesure, l'Etat doublera ses dépenses de communication institutionnelle vers la presse écrite, dont la presse en ligne. Celle-ci pourra aussi profiter de dons des particuliers : un système de mécénat sera mis en place, qui permettra aux donateurs de déduire de leurs impôts 66% des sommes versées aux titres de presse. Enfin, « l'innovation suppose que le régime des droits d'auteur soient adaptés » à l'ère numérique. Selon Nicolas Sarkozy cela consiste à « remplacer un droit lié à un support par un droit lié à un temps d'exploitation de 24 heures ». Ce projet, qui sera proposé au législateur « dans les meilleurs délais », vient bouleverser le système actuel de la presse écrite, où chaque article « doit être payé autant de fois qu'il est publié ». Une situation mal vécue par les patrons de presse, source de nombreux conflits dans les rédactions. Si Nicolas Sarkozy reconnaît que « 24 heures, c'est un peu court » avant que les journalistes perdent leurs droits sur leurs écrits, sa proposition constitue « un premier pas ». (...)
(22/01/2009 16:02:15)Tribune : l'investiture d'Obama marque « l'an II de l'Internet »
L'investiture de Barack Obama restera-t-elle dans l'histoire d'Internet comme un événement de la même ampleur que le couronnement de la reine d'Angleterre Elizabeth II en juin 1953, en direct et en Eurovision, a pu l'être pour la télévision ? C'est ce que croit Jean-Michel Planche, le PDG de Witbe, société spécialisée dans la mesure de la qualité des flux Internet. Dans une tribune libre publiée sur le Blog Experts, celui qui avait créé l'opérateur Oléane au début des années 90 explique que la diffusion en direct sur le Web - et avec des fonctionnalités de type Web 2.0 - de la prestation de serment du 44e président des Etats-Unis marque « l'an II de l'Internet ». Il écrit : « Beaucoup pensent que la vague dite '2.0' a fait entrer l'Internet dans une nouvelle ère. Il n'en est absolument rien, tant la notion 'collaborative' et 'user centric' [centrée sur l'utilisateur, NDLR] est inscrite dans les gènes initiales de l'Internet. Par contre, hier, avec l'investiture de Barack Obama, nous avons assisté, sans bien nous en rendre compte, à une grande leçon, une leçon de maturité et d'"usabilité". Pour la première fois, nous pouvions assister en direct à un événement majeur et avoir une expérience utilisateur supérieure à la télévision. » (...)
(20/01/2009 17:58:11)Une mission pour le respect des droits d'auteurs sur le Web 2.0
La diffusion grandissante de contenu culturel sur le Web 2.0 place le gouvernement face à un dilemme. Il souhaite une diffusion large et généralisée de la musique, des films, etc., mais bien entendu dans le respect des droits d'auteur, ce qui n'est que rarement le cas aujourd'hui. La solution ? Charger des spécialistes d'étudier la question durant quelques mois. Les ministres Christine Lagarde, Christine Albanel, Luc Chatel et Nathalie Kosciusko-Morizet (*) on ainsi lancé une mission relative à la diffusion d'oeuvres culturelles sur les sites du Web 2.0. Dans leur communiqué, les quatre membres du gouvernement constatent que « certains services du « Web 2.0 », et notamment les sites contributifs, sont fréquemment utilisés par les internautes pour diffuser ou reproduire illégalement des oeuvres audiovisuelles, cinématographiques ou musicales. » La mission qu'ils créent consiste à « dégager, en concertation avec l'ensemble des acteurs concernés de l'audiovisuel, du cinéma, de l'internet et de la musique, des solutions concrètes, destinées à promouvoir une diffusion des oeuvres respectueuses des droits des créateurs et des industries culturelles. » Et elle est confiée à Pierre Sirinelli, choisi pour son expertise dans le domaine des droits de l'immatériel. Professeur à l'université Paris I, il est aussi directeur du Centre d'études et de recherche en droit de l'immatériel, et du master Droit, innovation, communication, culture. Il est également président de l'Association littéraire et artistique internationale et membre du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique. Le profil du chargé de mission ne laisse ainsi aucun doute quant à l'intérêt qui sera porté au droit d'auteur, plus qu'à la diffusion culturelle sur le Web 2.0 proprement dite. Le communiqué officiel est très clair et évoque « l'émergence de ces services [du Web 2.0, comme étant] susceptible de constituer une opportunité pour la diffusion de la création sur les réseaux numériques, à condition toutefois que les droits des artistes et des entreprises qui les produisent y soient respectés. » Le chargé de mission rendra un rapport d'étape dès le 30 avril, avant sa version définitive le 30 juin. Certaines pistes sont néanmoins mises en avant dès le texte d'annonce de la mission. Le document parle en effet d'une charte engageant « les acteurs du Web 2.0 et les différents titulaires de droits [...] à choisir et généraliser à moyen terme, les technologies de marquage et de reconnaissance numérique des contenus ». Sans oublier la création d'un grand fichier d'enregistrement des oeuvres par leurs ayant-droits. (*) Christine Lagarde, Ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, Christine Albanel, Ministre de la Culture et de la Communication, Luc Chatel, Secrétaire d'État chargé de l'Industrie et de la Consommation, porte-parole du Gouvernement, et Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'Economie Numérique. (...)
(19/01/2009 17:28:02)IBM achète un webmail pour compléter sa plateforme collaborative en ligne
IBM a annoncé son intention d'acquérir les actifs d'Outblaze, un fournisseur de service de courriels en ligne. Ce webmail sera intégré à l'offre Bluehouse, une plateforme en cours de constitution, proposant des services de collaboration et de réseau social aux entreprises. Entreprise hongkongaise non cotée, Outblaze dit servir 76 millions d'utilisateurs. Pour James Governor, analyste de Redmonk, ce rachat va combler un trou dans l'offre d'IBM, qui ne possédait pas, jusqu'à présent, d'offre de webmail. IBM explique de son côté qu'il pourra ainsi répondre aux besoins de messagerie électronique des entreprises, que ce soit sur site ou en ligne, pour les grandes entreprises comme pour les plus petites. Big Blue donnera davantage de détails sur la stratégie d'intégration entre Outblaze et Bluehouse lors de la conférence Lotusphere, qui démarre tout juste à Orlando. (...)
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