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(14/10/2011 16:16:58)
Ubuntu 11.10 se tourne vers le cloud et ARM
Ubuntu passe en version 11.10 et comprend deux aspects, un côté entreprise et une partie grand public. Sur la première, l'heure est résolument au cloud, Nicolas Barcet, Cloud Product Manager chez Canonical explique « il s'agit de la première version intégrant Openstack plutôt qu'Eucalyptus » et d'ajouter « ce choix a été dicté par le fait que le projet Openstack prend de l'ampleur et dispose de partenaires importants ». Il cite notamment HP qui a choisi Ubuntu pour son cloud public (1 000 noeuds sous la distribution Linux). Pour permettre le déploiement d'Openstack, Canonical se repose sur Juju, un outil d'orchestration de services pouvant être déployé sur des serveurs physiques ou en mode cloud, précise Nicolas Barcet. L'objectif est d'automatiser les processus pour tirer avantage du cloud, accroître l'élasticité et réduire le temps de déploiement.
Accompagner les serveurs sous ARM
L'autre orientation de la partie entreprise est l'intégration du support d'ARM au sein d'Ubuntu Server. Nicolas Barcet précise que Canonical a travaillé avec plusieurs constructeurs qui finalisent leur design de puces serveurs sous ARM, comme Calexda, Marvell, Nvidia. « Cela représente une très grande opportunité au sein des datacenters qui sont en quête de réduction de consommation d'énergie ». Ces serveurs devraient être commercialisés au cours du 1er semestre 2012.
Interface Unity et stockage dans le cloud
Sur la partie grand public, les changements concernent l'interface utilisateur Unity qui se peaufine. Il ne s'agit plus d'une option par rapport à la version précédente. Elle s'adapte en 3D ou 2D en fonction de la performance de l'ordinateur. Canonical a également présenté Ubuntu One qui est un espace de stockage en ligne permettant le partage de fichier et le streaming de musique.
L'iPhone 4S attire des milliers de fans dont Steve Wozniack
Hommage à Steve Jobs, geek de la première heure, on ne sait pas ce qui pousse les gens à faire la queue pour être parmi les premiers à acheter le dernier smartphone d'Apple. Le lancement de l'iPhone 4S a, comme ses prédécesseurs, été à l'origine de queues devant les Apple Store. En Asie, le phénomène a été très remarqué. En France, l'engouement était moins prononcé avec quelques centaines de personnes présentes avant l'ouverture des magasins.
Steve Wozniack passe la nuit à Las Gatos
Petit clin d'oeil, le co-fondateur d'Apple a débarqué en Seagway devant l'Apple Store, situé sur Santa Cruz Avenue, de Los Gatos en Californie. Steve Wozniack a précisé à la télévision qu'il allait passer la nuit pour être parmi les premiers acheteurs de l'iPhone 4S. Il a profité de l'attente pour surfer sur son iPad et « lire ses mails en retard ».
Illustration : Queue au Japon pour la sortie de l'iPhone 4S
Crédit Photo : IDG NS
(...)(13/10/2011 10:08:10)L'Etat veut continuer à réduire la facture informatique
Le SAE, Service des achats de l'Etat, créé en mars 2009, publie son rapport annuel 2010. Une synthèse d'une trentaine de pages pour expliquer comment l'Etat entend réduire ses dépenses (programme dit « Calypso »), particulièrement dans le domaine informatique-bureautique (*). On se souvient de la polémique née en 2010 entre le Sae, et d'autres services de l'Etat, d'une part ; les représentants des revendeurs informatiques et bureautiques de l'autre, en particulier la Feb et la Ficome.
Globalement, l'Etat veut réduire sa facture de 1 milliard d'euros en trois ans, sur un potentiel de dépenses de 10 milliards. Plusieurs marchés informatiques sont concernés. Et d'abord les infrastructures. Sur ce point, le SAE a décidé de segmenter les marchés informatiques et de cibler le stockage. Sept ministères ont défini des configurations communes, ce qui leur permet de mieux négocier avec les prestataires.
Parallèlement, le SAE a créé des leviers de performance des achats, comme l'analyse en coût complet (matériels + logiciels), des facturations spécifiques (pour les logiciels, ou par gigabits en matière de stockage). Le rapport assure qu'une DSI ministérielle a pu ainsi réduire en un an, ses coûts de stockage : 16,% sur les baies, 47% sur les logiciels, 64,5% sur les disques.
Diminution des références en bureautique
Tout autre sujet, mais également très sensible, celui des fournitures de bureau. C'est le tiers des dépenses de l'Etat sur ce segment informatique-bureautique. Solution ? Le Sae a réduit les références à 2 000, de manière à standardiser et à mutualiser les choix.
D'autres instruments sont à disposition des ministères. Les acheteurs de chaque département ministériel ont par exemple en main, depuis février 2010, un logiciel nommé : Instrument de Mesure de la Performance AChaT (Impact). En matière de paiement, le Sae recommande la commande en ligne ou l'utilisation de la carte d'achat de manière à simplifier les procédures. 10 000 cartes de paiement ont été diffusées en 2010, elles permettent de traiter les paiements de faible montant.
Le rapport consacre enfin un volet important au sujet ultrasensible des PME et de leur accès à la commande publique. Le Sae parle de « respect des bonnes pratiques », « d'équilibre des relations avec les fournisseurs ». « Des allotissements techniques ou/et géographiques ont ainsi pu être organisée pour les segments d'achat dans lesquels les PME étaient représentées (entretien des locaux, contrats de maintenance, prestation informatique etc....) » explique encore le Sae. Il serait intéressant d'avoir l'avis des PME qui ont l'habitude des appels d'offre publics.
(*) Le programme dit Calypso consiste à identifier des gains potentiels en mobilisant une centaine de fonctionnaires des administrations centrales ou déconcentrées. Calypso comporte plusieurs vagues, la deuxième s'est tenue entre le 15 mars et le 15 juin derniers et traitait de PC et de télécoms. Le gain potentiel est de 377 ME. La vague n°3, en cours, porte uniquement sur l'immobilier.
(...)(12/10/2011 10:21:07)La guerre des prix paupérise le marché des PC en Europe
Conséquence directe d'une politique de prix agressive destinée à écouler les surstocks constitués fin 2010, la baisse des ventes de PC en valeur a atteint -11% (hors tablettes) en Europe lors du troisième trimestre 2011. Sur le seul segment des PC grand public, le recul atteint -18%. Ces chiffres, livrés par Context, sont à mettre en parallèle avec les ventes en volume qui ont enregistré dans le même temps une belle progression de 9%. Celle-ci s'est donc révélée insuffisante pour contrebalancer la chute de 10% du prix moyen des ordinateurs sur le continent.
La France limite la casse
Si l'ensemble des marchés d'Europe ont été touchés, ce sont ceux d'Europe du Sud qui ont le plus souffert. En Italie, les ventes de PC ont ainsi reculé de 10,3% en unités et de 21,3% en valeur. En Espagne, les chiffres sont de -7% (volume) et -15% (valeur). En France et en Allemagne, les baisses de prix ont eu au moins le mérite de faire progresser les ventes en volume. Outre-Rhin, le nombre d'unités vendues s'est ainsi apprécié de 7% pour un chiffre d'affaires en repli de 5,6%. En comparaison, les ventes en volume ont été plus vigoureuses dans l'Hexagone (+12,6%) mais les revenus des constructeurs y ont reculé d'avantage (-6,7%).
Telehouse lance une offre cloud en marque blanche
L'hébergeur Telehouse surfe sur la méfiance des revendeurs envers les politiques commerciales des fournisseurs de services cloud pour lancer une offre IaaS (Infrastructure as a Service) en marque blanche. Baptisée Cloud Automation, elle permet aux partenaires de piloter librement la distribution de machines virtuelles hébergées dans le cloud public de Telehouse, sans compétences particulières, à travers une interface web. Libre à eux de fixer le prix du service et de contrôler l'utilisation des ressources par leurs clients. La facturation des entreprises est également réalisée directement par les revendeurs à travers un système de facturation intégré.
Pour commercialiser ce service qui permet de proposer une offre IaaS sans investissement en matériel, l'hébergeur cible les agences web, les éditeurs indépendants, les VARs, les SSII et les intégrateurs. Il organisera une démonstration de sa solution lors des salons IP Convergence et Cloud and IT Expo qui se tiendront du 18 au 20 octobre au parc des expositions de la porte de Versailles à Paris. (...)
Ciel accompagne les TPE à découvrir Google Adwords
L'éditeur de logiciels de gestion lance une campagne d'animation des ventes originale. Il s'associe en effet à Google pour proposer aux clients acquéreurs de ses ERP un crédit de 100 € sur une campagne Google Ad Words, le programme d'achat de mots clés aux enchères du moteur de recherche. « Les TPE sous-estiment encore l'impact des actions de communication en ligne pour leurs sites web. Un montant de 100 € n'est qu'un coup de pouce, mais cela leur permettra de tester le principe des adwords de Google et d'en estimer l'impact », explique Christophe Poissonnier, Directeur Marketing Communication de Ciel.
Avoir une meilleure visibilité sur le web
L'offre en question est valable jusqu'à la fin 2012 dans tous les canaux de distribution de Ciel, à la fois chez ses partenaires de la grande distribution et les 3000 revendeurs qui commercialisent plus ou moins régulièrement ses produits. « Un certains nombre de nos partenaires conçoivent eux-mêmes des sites web ou travaillent en étroite collaboration avec des agences web. Avec notre offre promotionnelle, nous leur fournissons un argument commercial supplémentaire pour amener les clients à souscrire à leurs prestations », conclut Christophe Poissonnier.
Une tablette étudiante à 1 euro par jour lancée par Orange et le gouvernement
Pour ce prix, ils disposeront d'un iPad 2 ou d'une Samsung Galaxy Tab et d'un accès internet 3G. Le ministre de l'enseignement supérieur Laurent Wauquiez s'engage à ce que n'importe quel étudiant puisse bénéficier de cette offre, qu'il fréquente un établissement public ou privé, sans aucune restriction ni d'âge ni de ressources. Cette opération reviendra au final pour qui y souscrira à 730€ sur deux ans.
La spécificité de cette offre, c'est son coût mensuel qui n'excédera pas 31€/mois, soit 1€/jour pour disposer d'une tablette de qualité (un iPad 2 à 16Go ou une Samsung Galaxy Tab 8,9 pouces) et d'une connexion 3G avec un volume de données de 1Go par mois. Au-delà, les étudiants peuvent prolonger leur connexion, à raison de 3€ de plus par palier de 100 Mo. Pour le moment, seul Orange propose cette offre, baptisée « Let's go Proxima Etudiant ».
Le ministère souhaite également que soient développées des applications utiles pour les étudiants, tant sur le plan pédagogique que sur tout ce qui concerne leur vie quotidienne. Les universités françaises comptent aujourd'hui 20 000 « hotspots » (points de connexion WiFi) : 94% des résidences sont raccordées à internet et 60% des cafétérias proposent le WiFi.
L'objectif de cette offre « une tablette pour 1€/jour » est de convaincre 10 000 étudiants d'ici à la fin de cette année.
(...)(30/09/2011 12:51:18)Le BlackBerry PlayBook de RIM dans les pas du TouchPad d'HP ?
Selon John Vihn, analyste spécialisé dans les semi-conducteurs chez Collins Stewart, un autre « iPad killer » pourrait bientôt rejoindre le TouchPad d'HP au cimetière des nouveautés technologiques. Dans une note adressée à ses clients aujourd'hui, celui-ci indique en effet que selon ses informations, « RIM aurait arrêté la production des PlayBook et qu'il envisagerait sérieusement de se retirer du marché de la tablette. » Il ajoute que « RIM aurait annulé ses autres projets de développement de nouvelles tablettes. »
Cet avis sur l'arrêt de la production des PlayBook arrive juste après la baisse du prix de la tablette de RIM - moins 200 dollars - par le site de vente en ligne du distributeur Best Buy et de la sortie de la tablette Kindle Fire d'Amazon, vendue 199 dollars et présentée comme étant, elle aussi, la première tablette vraiment capable d'empiéter sur le marché de l'iPad d'Apple.
De la « pure fiction » selon RIM
Dans une interview à Reuters, la porte-parole de RIM, Marisa Conway, a démenti les analyses de John Vihn, les qualifiant de « pure fiction » et a affirmé que l'entreprise « restait fortement engagée sur le marché de la tablette et impliquée dans l'avenir de sa plate-forme QNX. » C'est au printemps dernier que RIM avait sorti son PlayBook et bien que construite autour d'un hardware de qualité, la tablette souffre de plusieurs défauts essentiels, comme l'absence d'une messagerie autonome, d'un carnet d'adresse et d'un agenda indépendant, le seul moyen pour les utilisateurs d'accéder à ces fonctionnalités étant de synchroniser la tablette avec leurs propres terminaux BlackBerry via une connexion bluetooth. Depuis son lancement en avril, le constructeur n'a livré que 700 000 unités de Playbook. C'est peu, comparé au 1 million d'iPad 2 qu'Apple aurait vendu en un week-end au moment de sa sortie en mars dernier.
Kevin Michaluk, chroniqueur pour CrackBerry, dit pour sa part qu'il ne serait pas surpris si le constructeur canadien arrêtait la production du PlayBook, dans la mesure où « RIM a déjà renoncé à développer une version 10 pouces de la tablette et que, comme nous le savons, les ventes de tablettes 7 pouces ont été très moyennes. » De fait, « RIM ne fait pas de bénéfices sur ce marché. » Selon le chroniqueur, « RIM va s'éloigner du marché de la tablette, en tous cas pour le moment, et se concentrer sur le développement de ses smartphones basés sur QNX, qui seront, espère-t-il, plus compétitifs face à l'iPhone et aux appareils sous Android. »
HP a été le premier constructeur à hisser le drapeau blanc, en annonçant cet été la fin de la production de son TouchPad, même si l'énorme baisse de prix - moins de 100 dollars pour la version de base - avait provoqué un rush sans précédent sur le produit dont les stocks ont été épuisés en quelques heures.
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