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(04/11/2011 09:42:27)
Pierre Laurin prend la direction des services chez Computacenter
La filiale française du revendeur grands comptes a recruté Pierre Laurin au poste de directeur des services. Il succède à Patrick Tuil qui occupait ces fonctions depuis plusieurs années. Son remplaçant supervise ainsi la production de l'ensemble des contrats de services de Computacenter France qui inclut l'infogérance, la maintenance, le service desk, le centre de supervision, les projets et l'assistance technique.
Avant de rallier l'entreprise, Pierre Laurin était Senior Auditor chez TPI, un acteur mondial de premier plan sur le marché du conseil. Auparavant, de 2005 à 2010, il se concentrait sur le développement des activités d'externalisation des postes de travail chez Capgemini France.
Airria ouvre une agence à Limoges
Le réseau de franchises spécialisé dans les services informatiques est désormais présent dans la Haute-Vienne avec l'ouverture d'une agence dans le chef-lieu du département. Dirigée par Philippe Boutinaud, ancien technicien chez France Télécom puis TDF, la nouvelle structure délivrera les services pour PME et TPE du réseau, sous la marque Airria Pro, ainsi que ses prestations pour les particuliers labellisées Airria Familly. Du fait de l'absence d'autres franchises Airria en Haute-Vienne, l'agence de Limoges devrait rayonner sur l'ensemble du département.
La création d'Airria Limoges porte à 112 le nombre de points de présence total d'Airria en France. Comme bon nombre d'entre eux, l'agence de Limoges ne dispose pas de pas de porte. L'arrivée d'Airria dans la région montre la volonté du franchiseur d'étendre sa présence à des régions où la densité de population est faible, lui qui a privilégie jusqu'ici les installations dans des territoires plus peuplés.
Logica ouvre un centre de compétences au Maroc
La SSII britannique Logica a choisi la ville de Rabat (Maroc) pour y ouvrir un centre de compétences dédié à la gestion des données. Situé au parc Technopolis, à trois heures d'avion de Paris, ce pôle d'expertise est conçu pour aider les directions informatiques et métiers (RH, achats, DAF et marketing) à maîtriser leurs données en termes de volume, d'accessibilité, de valorisation et de sécurité. Il soutient les approches muticanal, la mise en place de référentiel de données unique en cas de fusion/acquisition ou encore l'anonymisation des données.
Une législation sur la protection des données
« Le choix du Maroc n'est pas anodin », a commenté Mohamed Lakhlifi, directeur général de Logica Afrique du Nord, dans un communiqué. « Disposant de ressources aux compétences éprouvées et à coût maîtrisé, le Maroc a également adopté une législation de protection des données fondée sur le modèle européen. Des démarches sont en cours auprès de la Commission européenne pour garantir ce niveau de protection. »
Le centre de Logica est dédié aux référentiels de données partagées, à l'extraction et à la transformation des informations, aux architectures d'échanges et de services et au reporting. Il rassemble près de 150 collaborateurs.
(...)
Trimestriels Logica : Le CA augmente de façon modérée
Logica publie son résultat trimestriel (3ème trimestre achevé fin septembre) et celui des neuf premiers mois de l'année. Au 3ème trimestre, le CA s'est élevé à 914 millions de livres (1,06 milliard d'euros *), sur les neuf premiers mois de l'année il s'élève à 2,9 milliard de livres, soit 3,38 milliards d'euros. Le CA du trimestre progresse de 2%, celui des neuf premiers mois de 4%.
On retrouve cette distinction en France, avec une progression de 3% au trimestre à 198 millions de libres (230 millions d'euros) et de 8% sur neuf mois avec 653 millions de livres (759 millions d'euros).
Par activités, l'outsourcing arrive en tête chez Logica, en hausse de 10% sur neuf mois, de 8% au trimestre. Le conseil et les services professionnels sont stables sur neuf mois, en baisse de 3% au 3ème trimestre. Toutes les régions, sauf le Bénélux, progressent.
Sur l'année entière, le CA devrait progresser de plus de 3% avec une marge opérationnelle ajustée de l'ordre de 6,5% à 7%.
(*) au taux de conversion observé mercredi 2 novembre à 15h.
(...)
Sans fil sécurisé : Bull rachète la société française TRCOM (mise à jour)
Le groupe français Bull vient d'annoncer le rachat de Time Reversal Communications, une société installée dans le Val d'Oise et spécialisée dans la sécurisation des communications mobiles et les outils de test des réseaux sans fil. Celle-ci a été créée en 2008 à l'initiative de chercheurs de l'Institut Langevin et du CNRS/ESPCI et a accueilli par la suite la branche professionnelle de Mobiwire (anciennement Sagem Wireless). Bull indique qu'elle sera rattachée à son activité Solutions de sécurité.
Parmi les lignes de produits de TRCOM se trouvent également des antennes microstructures et des systèmes de test électromagnétique utilisant le procédé de retournement temporel.
(mise à jour) Contacté par La Rédaction, Bull précise que TRCOM compte aujourd'hui 43 personnes dont les deux tiers participent aux travaux de recherche et de développement sur les produits. Parmi eux se trouvent quatre chercheurs travaillant à temps partiel dans le cadre d'un partenariat avec l'institut Langevin (établissement mixte CNRS/ESPCI).
Sur le marché des outils de test des réseaux de télécommunications cellulaires, la société propose la gamme OT800. Béatrice Bacconnet, vice-présidente executive de l'entité Security Solutions de Bull, explique que ces équipements, au format d'un téléphone mobile, permettent « d'analyser et de qualifier les différents paramètres des réseaux en vue d'améliorer leurs qualités de service ». Sur le marché des communications mobiles sécurisées, TRCOM a lancé le S:Phone qui intègre une solution de sécurité pour assurer la confidentialité des communications voix et des SMS.
Béatrice Bacconnet précise par ailleurs que la société que Bull vient de racheter possède « des brevets essentiels », dans le cadre de son partenariat avec l'Institut Langevin. « Dans le domaine innovant des antennes à micro structure permettant d'associer technologie MIMO, performances et faibles dimensions », indique-t-elle, ainsi que « sur le retournement temporel qui est une technologie de communication permettant d'adresser des problématiques de sécurité et de 'préservation de l'environnement' ».
Parmi les clients de TRCOM figure le ministère de la Défense, des agences gouvernementales, des intégrateurs télécoms, principalement en Asie, aux Etats Unis et en Europe. Après son acquisition par Bull, la société restera dirigée par François Guérineau, Directeur Général de TRCOM. La présidence du Conseil d'administration est assurée par Béatrice Bacconnet, vice-présidente executive de l'entité Security Solutions de Bull.
Illustration : logo de TRCOM (crédit D.R.)
CIO.PDF 44 : le marketing digital dans le brouillard 2.0
L'innovation est l'un des rôles essentiels des managers IT. Il ne s'agit pas seulement d'innover pour l'informatique, mais aussi de rendre possible? voire d'initier des innovations dans les métiers. Le marketing digital à l'ère de Facebook en est le meilleur exemple. Les outils IT y jouent un rôle central pour un fort bénéfice business à condition que le partenariat entre IT et métier soit réel.
Les retours d'expérience se multiplient sur l'association entre les réseaux sociaux, la relation client et le marketing. Sur ces sujets, l'informatique et les métiers explorent conjointement les nouvelles possibilités du numérique.
Ces questions sont au coeur du dossier de ce CIO.PDF, avec les témoignages de Guillaume Darroussez (Cyrillus), Pierre Matuchet (VSC Technologies), Erik Songeur (Société Générale), Julien Grandet (Société Générale), Valérie Darmaillacq (Voyages-SNCF.com), Patrick Oualid (Pixmania), Georges-Edouard Dias (L'Oréal), Amélie Bourgeois (Disneyland Paris), Olivier Sala (GDF Suez), Tamar Papiashvili (Pixmania).
On peut aussi décliner cette nécessaire collaboration métier/DSI au cas où le PDG et le DSI coopèrent pour réussir auprès des consommateurs. Nos confrères de CIO Etats-Unis ont ainsi interrogé le PDG de Campbell Soup, Denise Morrison, et le DSI, Joe Spagnoletti.
Enfin, à la Française des Jeux, cette collaboration pour l'innovation prend une forme particulière : Claude Boivin est ainsi en charge à la fois des systèmes d'information, des opérations commerciales et de la division « tirage & promulgation ». (...)
HP a décidé de garder sa division PC
Après avoir réfléchi au cours des dernières semaines à l'éventualité d'une scission de son activité PC, Hewlett-Packard a finalement décidé de la conserver. La division Personal Systems Group qui englobe PC, smartphones et tablettes restera donc au sein du groupe. « HP a objectivement évalué l'impact stratégique, financier et opérationnel d'une scission de PSG », a indiqué Meg Whitman, PDG de HP en poursuivant qu'il était apparu clairement à la suite de cette analyse que garder PSG au sein de HP était la bonne solution « pour les clients et les partenaires, pour les actionnaires et pour les employés ». PSG est lié à HP, « ensemble nous sommes plus forts », affirme la dirigeante.
Le groupe juge que sa division PSG constitue un élément clé des efforts qu'il mène pour créer une relation à long terme avec ses clients, grand public, PME et grandes entreprises. Dans un communiqué, il explique que l'analyse stratégique de la situation a pris en compte l'avis d'experts dans ses différentes activités. Elle a montré une profonde intégration avec la chaîne logistique, l'IT et les approvisionnements, ainsi que la contribution de PSG au portefeuille de solutions et à l'image globale de la marque. Enfin, elle a révélé que le coût pour recréer une entité indépendante dépassait de toute façon les bénéfices que pourrait apporter une telle séparation.
Un seul fournisseur pour le matériel, les logiciels et les services
Mi-août, sous la direction de Léo Apotheker, le groupe américain avait indiqué qu'il examinait l'opportunité de vendre ou de rendre indépendante l'activité PSG. Le ralentissement des ventes de PC et les faibles marges dégagées freinaient l'élan de la société qui souhaitait mettre l'accent sur des activités plus profitables, telles que les logiciels d'entreprise, les services et d'autres solutions matérielles. Au même moment, HP a annoncé qu'il arrêtait ses terminaux mobiles sous WebOS et, dans la foulée, bradé sa tablette TouchPad à 99 dollars, déclenchant du même coup une ruée sur le produit.
Après avoir pris la succession de Léo Apotheker, le 22 septembre, Meg Whitman, avait déclaré que la décision de séparer l'activité PC serait prise avant fin octobre. Une décision qui, expliquait-elle, était entièrement basée sur la valeur apportée aux investisseurs et aux clients. HP avait fait campagne pour une activité PC séparée qualifiée de start-up de 40 milliards de dollars.
Cette décision de vendre ou de se séparer des PC avait été critiquée par les analystes qui considéraient que cette activité avait contribué aux résultats financiers de la société et renforcé ses capacités d'acquisition. Certains clients de HP, parmi lesquels des membres de Connect, communauté d'utilisateurs en entreprise, voulait que le groupe conserve son entité PC pour être en mesure de s'adresser au même fournisseur pour le matériel, les logiciels et les services. Des concurrents, comme Dell, avaient exploité l'incertitude générée autour de cette activité pour récupérer des clients.
Néanmoins, certains analystes considéraient pour leur part que si HP voulait améliorer sa marge opérationnelle, la division PC devait être le premier domino à tomber. Avec la baisse des livraisons de PC et en l'absence d'une stratégie claire dans le domaine de la mobilité, cela avait du sens, pour eux, que la société recentre son attention sur les activités d'entreprise à forte rentabilité, de la même façon qu'IBM l'a fait lorsqu'il a cédé sa division PC à Lenovo en 2005.
Illustration : Meg Whitman, PDG de HP (crédit : HP)
GFI s'empare de Thales Business Solutions
Depuis plusieurs semaines, la rumeur enflait d'une possible vente de Thales business services (TUS) à une grande SSII. Les comités d'entreprise ont été informés mercredi de la décision finale. Des négociations exclusives sont engagées entre Thales, qui veut vendre cette partie de son activité (business solutions), et GFI en quête de rachats. Les syndicats sont vent debout.
Cette activité, qui concerne 577 salariés, comprend elle même quatre parties. Une activité de TMA du groupe Thales lui-même. Une partie assistance technique dans le domaine banque-assurance, en région parisienne. Du forfait, dont un contrat avec Airbus, activité exercée à Paris et Toulouse. Une partie conseil avec 39 salariés près de Paris.
Thales business services représente, selon le communiqué officiel, 75 millions d'euros de chiffre d'affaires, 35 seraient exercés avec Thales. TUS fait partie de Thales Services, l'entité services de l'industriel de défense Thales. Ce dernier veut revoir son portefeuille d'activité jugé trop disparate avec des métiers civils non stratégiques. C'est l'explication à ce projet de vente.
Tata est en quête d'acquisitions
GFI pour sa part l'emporte sur une douzaine de candidats. C'était l'un des deux finalistes avec Tata consultancy services. La SSII indienne est en quête d'acquisitions. Mais Thales a pour actionnaire principal l'Etat, une vente à une société indienne est probablement exclue pour une société liée à la défense. GFI a procédé au mois de juin dernier à une émission d'océane (*) pour financer cette acquisition.
Le feuilleton est loin d'être terminé. Outre le conflit social dur qui se profile, Thales devrait mettre en route d'autres cessions. Toujours dans les services, son activité d'infogérance, ITO, ou bien celle d'informatique technique en région (SSE). L'activité simulation a été filialisée début août.
(*) L'océane est une : Obligation convertible ou échangeable en actions nouvelles ou existantes. Dans ce cas, l'émetteur, en l'occurrence GFI, peut choisir entre l'augmentation de capital et la recapitalisation. (...)
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