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(10/09/2009 10:24:19)

Après une chute de 6% en 2009, les dépenses IT repartiront en Europe en 2010, selon Forrester

Selon Forrester Research, l'année 2009 sera celle du grand décrochage pour le marché professionnel de l'IT en Europe. Le cabinet d'études anticipe une chute de 6,3% à 296 Md€ des dépenses des entreprises d'Europe Centrale et de l'Ouest en PC, logiciels, équipements de communication, externalisation et conseil et intégration. Il faut remonter à 2006 pour trouver un montant d'investissement quasi identique, à la différence près que celui-ci résultait d'une progression de 6,1% des achats. Le tableau brossé pour l'industrie IT en 2009 est à mettre directement en relation avec la baisse du PIB des pays de la zone euro qui devrait atteindre 4,9% d'après l'OCDE. Principales économies de l'Europe de l'Ouest, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne représentent 55% des dépenses IT des entreprises en Europe. Dans l'Hexagone, la baisse des investissements est attendue à 2,9% pour 49,4 Md€, comme en Allemagne où les revenus devraient s'établir à 57,5 Md€. S'agissant de la Grande-Bretagne, on peut parler de véritable dégringolade sur un marché pour lequel Forrester anticipe une décroissance de 13,1% (57,4 Md€) en 2009. Comparée au reste de l'Europe, la décroissance est contenue en France En France, sur l'ensemble des segments de produits et de services étudiés par Forrester, celui des équipements de communication enregistrerait la plus forte décroissance, soit -7%. Les ventes de PC, de logiciels, de prestations de conseil et d'intégration reculeraient de 2% chacune. Le marché de l'externalisation baisserait quant à lui de 3%. La pilule est amère, mais les difficultés des différents segments du marché français de l'IT restent relativement contenues, à l'exception des ventes de licences logicielles, comparées aux résultats enregistrés dans l'ensemble des pays d'Europe Centrale et de l'Ouest. Sur les 26 pays étudiés, le segment des équipements de communication devrait, là aussi, être le plus touché avec des revenus en baisse de 9,2% à 57 Md€. Sur le marché des PC, les prévisions de décroissance se situent à 6,8% pour des ventes de l'ordre de 78 Md€. Ce qui, selon Forrester, s'explique notamment par l'adoption croissante des technologies de virtualisation, l'arrivée des netbooks à prix réduits, ainsi que la volonté des responsables informatiques de baisser leurs investissements sur le poste de travail en temps de crise. De leur côté, les éditeurs doivent s'attendre à une chute de 5,4% des ventes de licences et ne plus se partager qu'un gâteau de 68 Md€. Pour les prestataires qui proposent des services de conseil et d'intégration, le recul des marchés sur lesquels ils évoluent devrait atteindre 4,2% à 54 Md€. Et, alors que l'on pourrait s'attendre à ce que le marché de l'externalisation profite de la baisse des investissements dans d'autres domaines, il n'en devrait être rien puisque Forrester lui prédit une baisse de 6% pour 297 Md€ de revenus. Dans cette situation, les fournisseurs et les prestataires de services devraient pousser un ouf de soulagement à l'annonce, par Forrester, d'une remontée du marché de l'IT en Europe en 2010. Sa croissance devrait repartir sur un rythme annuel de 4% à 309 Md€. Mais plutôt que d'une reprise, il faudra alors parler de rattrapage, et uniquement comparé à 2009. Il sera en effet nécessaire d'attendre plus longtemps pour revenir au niveau d'une année comme 2007 où les dépenses IT des entreprises avaient atteint 319 Md€. (...)

(10/09/2009 09:43:20)

Des informaticiens internes et externes de Calyon protestent à La Défense

Des informaticiens de Calyon, salariés de l'entreprise mais aussi prestataires de services, se sont donné rendez-vous ce jeudi matin à La Défense pour distribuer des tracts. Les revendications sont quelque peu différentes entre les deux catégories de personnels. Au recto, les salariés des grandes SSII (Altran, Accenture, IBM, Logica, Capgemini, Atos, ER, CSC, GFI et Steria) protestent contre la précarité, dont ils rendent responsables en premier lieu le Syntec, mais aussi les donneurs d'ordre, c'est-à-dire les grands groupes français. « En l'espace d'une décennie, le métier de consultant s'est totalement métamorphosé, peut-on lire sur le tract. L'instabilité professionnelle fait désormais partie intégrante du parcours des jeunes diplômés. Pire, avec la crise, ce sont aujourd'hui les premières victimes. » Au verso du tract, les salariés de Calyon s'opposent au projet de déménagement vers le site de Montrouge décidé par la direction du Crédit agricole, ainsi qu'aux grandes orientations de la banque. (...)

(04/09/2009 16:42:06)

Carnegie Mellon et l'OMG lancent un consortium pour la qualité logicielle

L'Institut de l'ingénierie logicielle de l'université de Carnegie Mellon (SEI) et l'OMG (Object management group) créent ensemble un consortium de la qualité logicielle. Les constats sur le sujet sont simples. D'une part, les logiciels sont de plus en plus complexes. Ils sont multi-tiers (multi-niveaux) et s'appuient sur plusieurs langages. D'autre part, le moindre problème sur un logiciel fait courir un risque important à des entreprises dont l'économie repose de plus en plus fortement sur leur système d'information. Le Consortium of IT Software Quality (CISQ) sera constitué de membres issus des 2 000 plus grands industriels de l'IT (classement Forbes Global 2000), d'intégrateurs, de SSII et d'éditeurs. Ils travailleront ensemble sur des standards de mesure de la qualité logicielle ainsi que sur la promotion d'un écosystème pour les déployer qui s'appuie sur les acteurs du secteur. La raison d'être principale du CISQ consiste à mettre au point ce standard de façon suffisamment détaillée pour permettre une mesure automatisée de la qualité, seule façon de le rendre viable économiquement pour les parties prenantes, selon les deux fondateurs. Un standard pour les applications multi-tiers, multi-langages Au total, le SEI et l'OMG ont identifié cinq objectifs essentiels pour leur projet. Le consortium devra répandre la bonne parole et convaincre l'industrie IT de l'importance que revêt la qualité logicielle. Les outils de mesure standards de la qualité et du risque devront être mis au point pour des applications multi-tiers et multi-langages. Des méthodes permettront d'utiliser aussi ces outils pour négocier l'achat et la maintenance d'applications. Des licences professionnelles donneront aux fournisseurs de services les moyens de garantir la qualité de leur production. Enfin, le consortium mettra en place un forum de discussion en ligne autour de toutes ces questions. Deux réunions inaugurales du consortium se tiendront le 6 octobre dans les locaux du SEI à Arlington, en Virginie, puis le 12 novembre à Francfort, en Allemagne. La première version provisoire du standard est prévue pour le 4e trimestre 2010. La vente de services conformes à la norme devrait démarrer début 2011. (...)

(04/09/2009 12:15:58)

Atos Origin s'intéresserait à un prestataire italien de solutions de paiement

Selon La Tribune, la SSII Atos Origin dirigée par Thierry Breton, serait en négociations avancées pour acheter SIA SSB, un prestataire italien de services de paiement. Le quotidien économique précise que le Français -ainsi que d'autres candidats- avait déjà étudié ce dossier, sans succès, face aux exigences des actionnaires de SIA SSB. L'entreprise italienne propose des solutions et des services pour le paiement par carte, pour les systèmes d'information bancaires et financiers ainsi que des solutions de connectivité et de messagerie. Fin 2007, SIA SSB comptait 7 filiales et 1 800 employés, et affichait un chiffre d'affaires de 378,6 M€ pour un bénéfice net de 11,6 M€. Comme la plupart des autres SSII françaises, Atos Origin a, de son côté, enregistré une baisse de 2,4% sur son chiffre d'affaires au premier semestre, à 2,589 Md€, avec un bénéfice stable par rapport à 2008 de 75 M€. Sur son exercice 2008, la SSII avait réalisé un chiffre d'affaires de 5,48 Md€ (+ 5,6% en organique) et un bénéfice net de 23 M€ (-52%). (...)

(01/09/2009 16:51:39)

Semestriels Steria : Malgré la baisse du CA, la SSII résiste

Le PDG de Steria, François Enaud, a mis en avant la solidité du modèle de production de services intégré construit par sa SSII, lors de la présentation, ce matin à Paris, des résultats de son premier semestre. « Un modèle capable de résister à une pression sur les prix, dans une conjoncture un peu chahutée », a-t-il commenté. Le chiffre d'affaires du groupe recule pourtant de 8,3%, à 805,4 M€, par rapport aux six premiers mois de 2008. Mais à taux de change constant, la baisse se limite à 2,3%. Le dirigeant souligne la résistance de la marge opérationnelle sur le semestre, à 6,9% du chiffre d'affaires (7,1% l'an dernier), et la bonne gestion de la trésorerie, avec des ratios d'endettement « très raisonnables » fin juin et 380 M€ de liquidités. Le ratio de prises de commandes sur chiffre d'affaires s'établit à 1,12 au 30 juin, et la dette financière du groupe est ramenée à 240 M€, soit 100 M€ de moins qu'un an plus tôt à même époque. Steria insiste par ailleurs sur le succès de son intégration avec la SSII britannique Xansa, rachetée mi 2007. « Nous avons bénéficié d'une synergie de coûts qui atteindra 49,5 M€ fin 2009 », indique François Enaud. Les systèmes d'information de Xansa ont désormais migré vers ceux de Steria, ce qui permet de générer des synergies commerciales et de déployer le modèle offshore sur l'Europe. Le modèle intégré de production de services décrit par François Enaud a été répliqué à partir de l'organisation sans couture mise en place par Xansa avec ses équipes indiennes. « C'est un modèle totalement intégré où la ligne de partage entre onshore et offshore peut évoluer tout au long d'un projet ». Il ne s'agit pas seulement d'un modèle défensif sur les marges, mais aussi d'un modèle offensif, affirme le PDG de la SSII. La France signe un contrat d'infogérance globale avec SFR [[page]]Au Royaume-Uni (39,7% de l'activité de Steria), le chiffre d'affaires baisse de 2,1%, à périmètre et taux de change constants, mais devrait croître au deuxième semestre. « Nous sommes sur des opérations de plusieurs centaines de millions d'euros », précise le PDG de la SSII. Le chiffre d'affaires de la France (31,7% du total) recule de 4,2% et celui de l'Allemagne (14,6% du total), surtout axé sur le conseil, de 7,1%. A noter que Steria France a remporté, avant la fin du semestre, son plus gros contrat à ce jour, d'un montant de 100 M€ sur quatre ans. Signé avec SFR, il porte sur l'infogérance globale du système d'information de l'opérateur sur lequel Steria cherche à atteindre 30 à 40% de productivité sur les quatre ans. « La crise ne tue pas la dépense informatique, elle la rationalise, commente à ce propos François Enaud. Encore faut-il disposer de l'offre de transformation et de l'outil industriel pour la réaliser ». Dans le reste de l'Europe (CA en progression de 6,6%), les très bons résultats de Steria en Scandinavie compensent largement les fortes difficultés rencontrées en Espagne. L'offshore se développe moins rapidement qu'attendu en France Globalement, l'activité conseil et intégration de systèmes, qui représente 60% du chiffre d'affaires de la SSII, a progressé de 1,7% sur le semestre, tandis que l'activité infogérance et BPO (business process outsourcing) a reculé de 8,6%. Toutefois, Steria réalisant de plus en plus de contrats globaux, l'équipe de direction explique qu'il est quelquefois difficile de répartir strictement les chiffres d'affaires entre les deux pôles d'activités. Sur les recrutements, comme prévu, la SSII a « ajusté sa capacité de production à la réalité de ses projets ». En France, tous les départs n'ont pas été remplacés et les embauches ont été beaucoup plus sélectives. L'effectif a été réduit de 140 personnes. Et même en Inde, il a baissé de 160 postes, ce qui n'était pas prévu il y a six mois. Avec la montée en charge des inter-contrats en début d'année, l'offshore s'est développé moins rapidement qu'attendu en Europe (alors qu'il a augmenté au Royaume-Uni). Les clients français n'ont pas poussé vers l'externalisation, explique Steria. A noter qu'il n'y a pas eu non plus de contrats de BPO signés en France ce semestre. Evoquant les programmes de réduction de coûts, François Enaud a tenu à rappeler qu'il y avait trois domaines sur lesquels Steria avait décidé de ne pas faire d'économie. « Premièrement, nous ne baissons pas les dépenses de réflexion stratégique car il faut avoir une bonne analyse de la qualité du portefeuille, explique-t-il. Deuxièmement, pas d'économie non plus sur le commercial. Tous nos commerciaux sont allés en Inde pour comprendre le modèle hérité de Xansa. Enfin, nous ne réduisons pas la communication. » (...)

(31/08/2009 17:24:04)

Semestriels Altran : -13,2% sur le chiffre d'affaires

Affecté par les difficultés du secteur automobile et par la baisse de son activité de conseil en management, Altran annonce sur le premier semestre 2009 un chiffre d'affaires en recul de 13,2%, à 721,1 M€. Sur la période, la société de conseil en innovation enregistre une perte nette de 30,2 M€ et une perte opérationnelle de 20,7 M€. Elle souligne néanmoins avoir réduit de 59 M€ ses charges opérationnelles sur ces six mois, par rapport au premier semestre 2008, ce qui lui permet de dégager un résultat opérationnel courant de 8,9 M€ (1,2% du chiffre d'affaires). En juin dernier, la société de conseil en innovation a consulté ses représentants du personnel sur la mise en place d'un plan personnalisé de départs volontaires centré sur ses activités liées à l'industrie automobile. Les premiers départs devraient intervenir au cours de ce deuxième semestre. Le groupe dit par ailleurs avoir étendu sa présence chez plusieurs grands clients, dont Airbus, et signé de nouveaux référencements chez Alstom, Thales, Siemens et Areva. Sur le secteur automobile, il s'est recentré sur les activités à forte valeur ajoutée, notamment pour tirer parti des rachats réalisés en 2008 dans le domaine de l'embarqué. (...)

(31/08/2009 16:45:51)

Semestriels : Sopra limite la chute de son CA à moins de 1%

Sopra a présenté ce matin, 31 août, les résultats de son premier semestre 2009 qui laisse transparaître une bonne résistance à la situation de crise actuelle. Le chiffre d'affaires de la SSII française pour la période s'élève à 544,8 M€ contre 549,6 M€ pour le premier semestre 2008, soit une baisse de 0,9%. La diminution de - 4,3% du CA organique le situe au même niveauque l'ensemble des SSII françaises plutôt en difficulté sur la première moitié de l'année. Le résultat net de 10,8 M€ (contre 24,7 M€ l'an dernier) accuse une chute de près de 57%. Le résultat opérationnel courant de 26,5 M€ (-35%) assure néanmoins une marge opérationnelle courante de 4,9 % (contre 7,4 % en 2008). La crise est une des explications fournies par Sopra pour cette baisse de son CA. Pierre Pasquier, PDG de la SSII, explique néanmoins que ses clients ont différé, ou morcelé, certains projets sans les annuler pour autant. Des pays comme l'Espagne, particulièrement touchés par la crise, ont aussi affecté les ventes. Enfin, la société a tout simplement eu du mal à rester à la hauteur de ses très bons chiffres de l'an dernier. Des charges de personnel en hausse Les charges de personnel ont crû de 1,4%. Comme l'explique Pierre Pasquier, PDG de Sopra, la société a réduit de près d'un tiers le nombre de sous-traitants qu'elle emploie, mais elle a aussi recruté 300 personnes en début d'année et augmenté légèrement les salaires. « Nous avons par exemple eu recours à des stagiaires que nous hésitions à transformer en CDI, ajoute-t-il, et nous les avons finalement transformés. » En juin, Sopra comptait 12 750 employés. L'intégration de systèmes et solutions (ISS), qui représente près de deux tiers de l'activité de Sopra, a augmenté de 2,8% en France à 353,2 M€, alors qu'elle a plongé de 17,9% en Europe à 89,5 M€ (-14,3% en croissance organique). Axway, la filiale de Sopra éditeur de logiciels de transfert de données, a vu son CA grimper de 14,9% au total mais reculer de 14% en organique. Elle avait absorbé, en fin d'année dernière, le spécialiste du transfert de fichiers B2B, Tumbleweed. Les solutions applicatives, dont celles d'Axway, comptent pour 27% dans le CA de Sopra. Le conseil en management (12%) subit de son côté une forte baisse d'intérêt (-23,1% à 19 M€) qui conforte Sopra dans son idée de regrouper l'ensemble des activités de conseil (Orga Consultants et activité de business consulting). Les commandes du secteur public en forte croissance [[page]]Le secteur des services financiers représente 29% des ventes, devant l'industrie avec 18% (une dizaine de grands comptes dont EADS) et le secteur services/transports/énergie pour 18% également. « Progressivement, nous assistons aussi à une énorme poussée des prises de commandes du secteur public - aujourd'hui 16% du C.A., ajoute Pierre Pasquier, en particulier en France. » La SSII a signé cette année des contrats et en a renouvelé d'autres avec nombre de grands comptes comme EDF, BNP Paribas, HSBC, le Minefi pour le système d'information financière de l'Etat Chorus, le Ministère de la Défense ou encore EADS. En trois ans, le CA réalisé par Sopra pour EDF a triplé, tant en conseil, qu'en assistance à maîtrise d'ouvrage, formation, CRM, etc. L'industrialisation des back-offices bancaires est par ailleurs à l'origine de toute une série de grands projets complexes. (...)

(27/08/2009 15:45:12)

L'externalisation progresse plus vite que les autres services IT

Les services d'externalisation IT (outsourcing) vont progresser plus vite que les autres prestations IT, en France, sur les cinq prochaines années, selon le cabinet Pierre Audoin Consultants. Ce secteur, qui regroupe l'infogérance, la tierce maintenance applicative (TMA) et le business process outsourcing (BPO), pèse actuellement 36% de l'ensemble des services IT sur l'Hexagone. Dans son étude récemment livrée sur ce sujet, PAC estime que ce marché progressera de 6,7% entre 2009 et 2013, contre 3,1% pour les autres services IT. En excluant BPO et TMA du périmètre, le cabinet d'études évalue à 6 milliards d'euros en 2008 le marché de l'infogérance, soit une progression de 5,7% par rapport à l'an dernier (5,6 Md€). Les contrats d'importance moyenne priment sur les très grandes signatures. PAC souligne par ailleurs que la maturité des utilisateurs rend les entreprises plus exigeantes, ce qui exerce une pression sur les prix et renforce le recours au nearshore et à l'offshore. Par ailleurs, les modèles qui s'appuient sur des infrastructures de type SaaS ou cloud computing vont se développer parallèlement à l'infogérance classique. En 2008, cinq grands acteurs se sont partagés 52% du marché de l'infogérance. IBM domine l'ensemble en s'octroyant 23% de l'activité. Atos-Origin et Capgemini le suivent. PAC note par ailleurs le renforcement de HP sur ce secteur, après le rachat d'EDS, ainsi que celui de BT, qui s'est offert l'activité d'infogérance de CS. Pour 2009, PAC prévoit une croissance moindre du marché, à 4,6%, toujours tirée par l'infogérance d'infrastructure et d'hébergement (déjà 60% du total en 2008). Le secteur devrait progresser davantage en 2010. (...)

(26/08/2009 15:13:45)

Micropole-Univers Institut ouvre des centres de formation à Toulouse et à Bordeaux

L'entité formation de la SSII Micropole-Univers compte deux nouveaux centres basés à Bordeaux et à Toulouse. L'organisme y propose l'ensemble de son catalogue de 350 stages. Il couvre notamment les domaines de la Business Intelligence (particulièrement sur les technologies de Business Objects), des bases de données, du développement, des réseaux et des infrastructures ou encore de la bureautique et de l'infographie. Micropole-Univers Institut (M-U Institut) se positionne également sur l'accompagnement des entreprises dans leur projets internes de formation qui impliquent de plus en plus la mise en place de plates-formes d'e-learning. Forte de ces deux nouveaux centres, M-U Institut est désormais représentée dans cinq métropoles françaises avec Paris, Nantes et Lyon. « Chacune de nos ouvertures de centres s'appuie sur la présence préalable d'une agence Micropole-Univers », explique Jean-David Amaoua, le directeur avant-vente de l'organisme de formation. Suivant cette logique, celui-ci pourrait vraisemblablement s'implanter près de l'agence de Micropole-Univers à Aix-en-Provence si son projet d'expansion dans le Sud-Est est mené à bien. Pour l'ensemble de son exercice 2009, M-U Institut table sur une croissance de 20% de son chiffre d'affaires. Bien que son activité de formation en salle soit impactée par la crise, l'organisme parvient à contrebalancer quelque peu cette difficulté par son activité dans l'e-learning. (...)

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