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(19/11/2009 14:18:46)

CA en baisse pour Prologue au 3ème trimestre, le plan de continuation compromis

L'éditeur et intégrateur Prologue publie les chiffres de son troisième trimestre fiscal. Il se monte à 5,9 millions d'euros (ME) en recul de 10,26%. Au 2ème trimestre, Prologue était en retrait de 20,94%, et de 12,51 au 1er trimestre. En termes d'activités, sur neuf mois, l'intégration de systèmes (qui représente 65% du CA total) est en repli de 14,05%, et la partie éditeurs (35% du CA total) de 16,7%. Prologue n'a pu honorer le 7 novembre une dette de 0,8 ME prévue dans son Plan de continuation. La société a donc demandé le report de cette échéance au 7 mars 2010. La société indique : « Prologue étudie toutes les possibilités afin de lui permettre d'honorer la prochaine échéance de son plan de continuation de racheter sa dette résiduelle et de reconstituer partiellement ses capitaux propres. » Le groupe parle d'une possible augmentation de capital. Parallèlement, les deux dirigeants de Prologue ont repris l'activité « services applicatifs » d'EDS sous le nom d'Effitic. (...)

(10/11/2009 13:54:21)

Selon Gartner, les revenus mondiaux du SaaS vont progresser de 18% en 2009

Selon le cabinet d'études Gartner, les revenus du marché mondial de la fourniture de logiciels en SaaS devrait atteindre 7,5 Md$ cette année. Si cette prévision se confirme, ils enregistreraient alors une hausse de 17,7% comparée à l'an dernier. Les applications de gestion de contenu, de communication et de collaboration (e-learning, conférence web, travail collaboratif, messagerie...) en mode hébergé s'avèrent être le moteur principal du secteur. Elles représentent à elles seules 34,2% de son chiffre d'affaires, soit 2,5 Md$, et devraient en outre bénéficier d'une croissance de 20%. Deuxième segment en valeur avec 2,2 Md$ de revenus attendus en 2009, celui de la GRC devrait progresser de 21,8%. Poids lourd, lui aussi, du marché mondial du SaaS, le segment de l'ERP ne devrait toutefois enregistrer qu'une hausse de ses revenus de 5% à 1,2 Md$. A l'inverse, Gartner prévoit une hausse de 41% pour les revenus des logiciels de création de contenu numérique qui ne devraient atteindre que 62 M$ d'ici la fin de l'année. Fabrice Alessi (...)

(09/11/2009 17:15:42)

Un volume de fusions/acquisitions supérieur à 2008 en septembre, selon l'Index Afdel/Corum Group

En septembre 2009, le volume des opérations de fusions/acquisitions intervenues sur le secteur du logiciel et de l'IT au niveau mondial a été légèrement supérieur à celui de septembre 2008. Sur le troisième trimestre 2009, l'Index Afdel/Corum Group répertorie 739 transactions, dont 8 qualifiées de 'mega deals', contre 732 un an plus tôt, parmi lesquelles seulement 3 opérations très importantes. Le cabinet Corum Group, spécialisé dans les fusions/acquisitions dans l'IT, signale aussi une augmentation du nombre de cibles européennes qui "annonce le retour des acheteurs américains". Destiné aux adhérents de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels), cet index est établi à partir des transactions qui ont été rendues publiques. L'objectif est d'apporter aux éditeurs des indicateurs renseignant sur la vitalité des marchés qu'ils ciblent, la validité des modèles économiques, les orientations stratégiques des acteurs et les opportunités de croissance externe à étudier. Parmi les transactions importantes réalisées en septembre dernier, Corum Group rappelle la cession, par eBay de 65% de son service de téléphonie sur IP Skype à Silver Lake, pour 1,9 Md$, ainsi que le rachat d'Omniture, spécialiste des technologies d'analyse de sites Web, par Adobe pour 1,8 Md$. Dans le secteur des services IT, Dell s'est offert Perot, pour 3,9 Md$. Mais c'est Xerox qui a effectué l'acquisition la plus élevée de la période en rachetant ACS pour 6,4 Md$. Si ces transactions importantes tirent vers le haut la valeur moyenne des opérations (195 M$ contre 108 M$ au troisième trimestre 2008), la valeur médiane (58 M$ contre 32 M$ au troisième trimestre 2008) reflète une meilleure valorisation des marchés, précise Corum Group. Il s'agit, selon le cabinet, de « la plus forte hausse sur huit mois jamais enregistrée ». Les analystes signalent par ailleurs la chute relative des achats réalisés entièrement en numéraire (49% contre 56% au troisième trimestre 2008), une partie des paiements s'effectuant en actions. Sur les trois premiers trimestres de 2009, Microsoft, Oracle et IBM arrivent en tête des acheteurs, ayant respectivement procédé à 9, 7 et 5 rachats. Le domaine des logiciels d'infrastructure reste l'un des marchés les plus forts, souligne Corum Group, qui estime que la hausse devrait se poursuivre sur ce secteur au quatrième trimestre. Le cabinet signale aussi l'importance prise par le SaaS (software as a service) dont la croissance de la valorisation est deux fois supérieure à celle du secteur traditionnel. (...)

(06/11/2009 17:14:10)

Seule l'infogérance a progressé en 2009 sur le secteur des logiciels et services en France

Le chiffre d'affaires généré par le secteur des logiciels et services en France devrait reculer de 2 à 3% en 2009, à 42 milliards d'euros, a estimé Syntec Informatique ce matin, vendredi 6 novembre. Une situation relativement comparable à celles enregistrées par le secteur au Royaume-Uni (-2,5%) et en Allemagne (-3%), mais moins dégradée qu'au Pays-Bas (-5%), en Italie (-6%) et en Espagne (-7%). Dans l'Hexagone, le marché a relativement résisté si l'on considère la baisse de 7% constatée sur l'investissement, ce qui conduit la chambre syndicale de la profession à considérer que la « dépense IT n'est plus une variable d'ajustement en période de crise ». Recul de 6,5% pour le conseil en technologies Le retrait sur les activités Conseil et services informatiques (24 Md€) et Edition de logiciels (12 Md€) devrait s'établir à -2,5%. En revanche, le Conseil en technologies (6 Md€) encaisse un recul de 6,5%, principalement causé par les difficultés rencontrées par la R&D externalisée en raison de la crise subie par l'industrie automobile en début d'année. Dans ce domaine, seule l'informatique scientifique technique industrielle et embarquée a légèrement progressé (+1%). La baisse des activités Conseil et services informatiques a été limitée par la croissance des marchés de l'infogérance applicative (+4%) et de l'infogérance d'infrastructures (+2,5%). Ces hausses sont venues compenser la baisse des activités de développement et d'assistance technique (-6%), de projet et d'intégration (-3%) et de conseil (-6%). A noter que ce ralentissement n'a pas dopé la progression de l'offshore, même s'il reste « incontournable » dans la plupart des gros contrats, rappelle Syntec Informatique. Les revenus de la maintenance amortissent la chute Dans le secteur de l'édition de logiciels, la majorité des éditeurs a vu reculer très nettement le revenu issu de ses ventes de licences, heureusement compensé en partie par les revenus récurrents procurés par la maintenance. Dans ce paysage marqué par la baisse des investissements, Syntec Informatique souligne que le secteur des logiciels embarqués progresse de 3%. Pour 2010, prudent, le syndicat professionnel évalue une croissance située entre 0 et 2% pour le marché des logiciels et services en France. (...)

(05/11/2009 17:36:44)

L'Afdel adhère au CICF Informatique pour y renforcer le poids du logiciel

« Entrer dans les instances qui permettent de peser sur la convention collective Syntec-CICF afin d'y intégrer davantage les métiers du logiciel était l'une des préoccupations de l'Afdel », a rappelé hier Patrick Bertrand, président de l'association française des éditeurs de logiciels. C'est désormais en très bonne voie. A l'occasion de son assemblée générale annuelle, à Lyon, ce mercredi 4 novembre, l'Afdel a annoncé son adhésion à CICF Informatique, l'un des onze syndicats constitutifs de la Chambre de l'Ingénierie et du conseil de France. L'association professionnelle d'éditeurs, créée il y a quatre ans, pourra ainsi intégrer les instances paritaires (organisations syndicales et patronales) qui gèrent la Commission de la convention collective nationale 'applicable au personnel des bureaux d'études techniques, des cabinets d'ingénieurs-conseils et des sociétés de conseil du 15 décembre 1987', dite 'Syntec-CICF'. Faire entendre les besoins des éditeurs en matière de formation Dans ces instances, la fédération CICF dispose de 40% des sièges patronaux (soit 4 sièges), aux côtés de la Fédération Syntec (6 sièges), explique son président François Amblard. Elle y cogère également la Commission paritaire nationale de l'emploi et le Fafiec, c'est-à-dire le fonds d'assurance formation de l'ingénierie, de l'informatique, des études et du conseil. « Nous souhaitons participer à l'offre de formation de la branche via le Fafiec et faire comprendre qu'il faut affecter massivement des budgets vers les éditeurs de logiciels », a expliqué Patrick Bertrand en rappelant qu'en tant qu'association professionnelle, l'Afdel ne pouvait avoir jusqu'alors de relations avec les partenaires sociaux. Par son adhésion au CICF, l'Afdel va pouvoir bénéficier d'une représentativité dans ces instances syndicales. Elle proposera dans la foulée de nouveaux services à ses adhérents, notamment l'accès à des rencontres thématiques et une hot-line. Le syndicat CICF Informatique a été créé il y a trois ans au sein de la chambre syndicale CICF, elle-même fondée en 1912. Il couvre quatre lignes de métiers : le conseil en système d'information, l'ingénierie système, l'infogérance Web et l'édition de logiciels. Ses cinq commissions thématiques se répartissent les questions de communication, de gestion (juridique, référentiel des métiers...), de compétence (formation, recrutement...), d'économie (marchés, financement...) et de développement durable (Agenda 21 TIC, Green IT...). Rassemblant une centaine de membres, CICF Informatique pèse environ 8% du CICF. En 2009, il a participé à la refonte du référentiel des métiers des TIC. (...)

(04/11/2009 16:40:12)

Cisco et EMC alliés pour proposer des packages d'infrastructure de cloud

Cisco et EMC (avec sa filiale VMware) annoncent un partenariat autour du développement et de la vente de packages d'infrastructure pour le cloud computing. Celui-ci prend d'une part la forme d'une alliance appelée Virtual Computing Environment pour développer les nouveaux produits, d'autre part d'une filiale commune aux trois entreprises, du nom d'Acadia, pour la formation et l'accompagnement des clients et partenaires pour l'installation et l'utilisation des produits. Cisco et EMC, actionnaires majoritaires de cette dernière structure, seront accompagnés de VMware et Intel, actionnaires minoritaires. Les quatre entreprises doteront bientôt Acadia d'un CEO indépendant et d'environ 130 employés pour commencer. Cette structure va devoir accélérer les ventes et le déploiement des produits, puis d'en superviser la mise en production avant de transférer les projets aux clients ou aux partenaires. Le montant de l'investissement de chacun des partenaires dans Acadia n'a pas été dévoilé. Selon le cabinet McKinsey, le marché ciblé représenterait plus de 350 Md$ par an. Et pour Cisco, EMC et Intel, les dépenses en technologies de virtualisation pour le datacenter ou de cloud privé devraient représenter près de 85 Md$ dès 2015. Trois déclinaisons pour gérer entre 300 et 6000 machines virtuelles Les produits qui seront développés dans le cadre de cette alliance, les infrastructures Vblock Infrastructure, regrouperont dans des packages pré-intégrés, testés et validés, les offres de virtualisation, de gestion du réseau, d'infrastructure serveurs, de stockage, de sécurité et d'administration de systèmes des trois fournisseurs. Pour le haut de gamme, Vblock 2 saura gérer entre 3 000 et 6 000 machines virtuelles pour les grands comptes et les fournisseurs de service, avec l'UCS (Unified Computing System), le switch logiciel Nexus 1000v et les switches de SAN MDS de Cisco, le système de stockage Symmetrix V-Max d'EMC et la plateforme de virtualisation vSphere de VMware. Vblock 1, lui, s'adressera aux configurations moyennes de 800 à 3 000 machines virtuelles, avec une configuration produits semblables à celle de Vblock2 à ceci près que les systèmes de stockage milieu de gamme CLARiiON d'EMC remplacent son Symmetrix V-Max. Enfin, en entrée de gamme (300 à 800 machines virtuelles), Vblock 0 offira l'UCS et le Nexus 1000v de Cicso, l'Unified Storage d'EMC et l'environnement vSphere de VMware. Il s'adresse aux PME, au petits datacenters, au test et au développement pour les clients et les partenaires. D'autres Vblock devraient venir compléter cette liste pour répondre par exemple à certains besoins métiers. Toutes les déclinaisons de Vblock seront administrées par le gestionnaire d'infrastructure unifiée Ionix d'EMC et sécurisées par les produits RSA security d'EMC. Les Vblock seront compatibles avec le standard de sécurité de gestion de l'information ISO 27001. Un dispositif commun de partenaires intégrateurs, SSII et distributeurs Les packages devraient tous être disponibles ce trimestre chez les intégrateurs systèmes et chez les distributeurs des trois acteurs. Par ailleurs, les composants de chaque package peuvent évidemment être achetés directement chez EMC, Cisco et VMware ou dans leurs réseaux de partenaires respectifs. EMC, Cisco et VMware ont aussi investi dans un service avant-vente dédié, des services professionnels et un point d'entrée unique pour le support, constitués de personnel issu des trois entreprises. Acadia devrait commencer à installer les offres chez les clients au premier trimestre 2010. L'alliance Virtual Computing Environment compte déjà six partenaires intégrateurs : Accenture, Capgemini, CSC, Lockheed Martin, Tata Consulting Services et Wipro. Les partenaires service sont Savvis, Orange, SunGard et Terremark. Enfin, le réseau de distribution compte Bell Canada, CDW, Presidio, World Wide Technology, Dimension Data et Verizon Services, parmi d'autres. Certains analystes pensent que cette collaboration pourrait perturber les relations de chacune de ces trois entreprises avec les plus grands fournisseurs de datacenter. VMware travaille par exemple déjà avec IBM, HP, Dell, CA, NetApp et Sun. Le CEO de VMware, Paul Maritz, a minimisé cet impact : "Nous restons fidèles à nos engagements et nous ne nions la technologie de personne." (...)

(02/11/2009 16:20:34)

La gestion de patrimoine applicative dope la croissance de la TMA

Dans son étude 2009 du marché de la TMA (Tierce maintenance applicative), le cabinet Pierre Audoin Consultants a identifié une double révolution : la TMA s'élargit à la GPA (Gestion du patrimoine applicatif) et les deux marchés réunis réalisent une croissance record de 8% en 2009. « Le marché de la TMA évolue très fortement, souligne Frédéric Giron, directeur des études chez Pierre Audoin Consultants, les entreprises élargissent leurs prestations en intégrant la Gestion du patrimoine applicatif (GPA) et ce marché augmente en volume, de 8% sur 2009, alors que l'ensemble du marché des logiciels et services restera proche de zéro ». Il atteindra alors 2,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires contre 2 milliards en 2008 et 1,76 milliard en 2007. Une partie des prestations réalisées auparavant en interne par les entreprises en maîtrise d'oeuvre, est désormais confié aux prestataires de la TMA. Il s'agit de l'intégration, de l'audit, de la cartographie des parcs applicatifs regroupées sous la dénomination GPA. Dans ces nouveaux types de contrats de TMA, les clients donnent davantage de latitude et de plus en plus de marge de manoeuvre à leurs prestataires. Ils mettent néanmoins de plus en plus leurs prestataires sous pression, notamment dans les négociations tarifaires. De nouveaux gros contrats avec Michelin ou SFR La forte croissance de ce marché que PAC nomme désormais l'Application management (TMA et GPA) est également due aux nombreux renouvellements de contrats de TMA intervenus en 2009 et à la signature de plusieurs gros contrats comme Michelin (300 millions d'euros sur trois ans) ou SFR (30% d'économie attendus en trois ans). Les acteurs restent les mêmes, avec Atos, Logica, Cap, Sopra, IBM aux cinq premières places. Mention particulière pour Sopra qui réalise la plus forte progression. Ce marché se distingue donc avec une croissance en volume pour la partie TMA (avec des contrats pluri-annuels, encadrés par des contrats de services) et un élargissement de celle-ci aux prestations de GPA. Et la valeur se transfère sur ce dernier type de prestations. Pour 2010, PAC prévoit une croissance un peu plus faible de l'Application Management du fait de la pression sur les prix, la croissance restera forte en volume mais devrait ralentir en valeur. (...)

(29/10/2009 18:21:41)

Trimestriels : Bull enregistre -8% sur son CA mais attend un rebond

Bull publie les résultats de son troisième trimestre 2009. Ils montrent un chiffre d'affaires en recul de 8,1% à 221,2 millions d'euros (en recul de 7% à taux de change constant). Sur les neuf premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires baisse de 1,5% à 779,8 M€. Le PDG de Bull explique que ces chiffres du 3ème trimestre reflètent une saisonnalité plus forte cette année que les années précédentes. Il confirme en revanche sa prévision d'un exercice annuel qui serait positif, avec un bénéfice d'exploitation de 25 ME. Sur les neuf premiers mois de l'année, le CA se monte à 779,8 ME en retrait de 1,5% (de 0,3% à taux de change constant). Bull s'attend à un rebond de l'activité qui lui permettra au quatrième trimestre de sauver son année. Dans le détail, la partie « services et solutions », représente 47,9% du CA trimestriel en repli de 4,7% (les prises de commande baissent de 6,7% du fait du secteur télécoms), ce secteur est en croissance organique sur neuf mois de 2,4%. La partie « hardware et systems solutions », représentant 25,2% du CA trimestriel recule de 16,6% (prises de commande en baisse de 22,1% du fait de la crise et des reports de commandes), Bull attend une forte reprise au quatrième trimestre. L'activité « maintenance », forme 21% du CA, en recul de 0,9%, sur neuf mois cette activité aura baissé de 3,3%. Enfin, l'activité « produits tiers » qui ne représente que 6% du CA baisse de 17,3%, de 22,5% sur neuf mois. (...)

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