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(08/12/2011 09:44:54)
L'Arcep rassure les collectivités territoriales sur le très haut débit
L'Arcep a réuni le Graco (Groupe d'échange entre le régulateur des télécoms, les collectivités territoriales et les opérateurs) ce 6 décembre. Son président a souligné les trois aspects, juridique, économique et financier, qui permettent aux collectivités territoriales le déploiement de réseaux très haut débit. L'occasion de rappeler son rôle et son bilan et d'épingler les critiques (« affirmer, comme cela a été dit récemment, que l'Autorité prend ses décisions sans consulter les collectivités territoriales ou les élus, procède d'une réelle méconnaissance de la réalité »).
Par ailleurs, début 2012, l'Arcep rendra public un modèle de coût pour le déploiement par les collectivités territoriales de leurs réseaux très haut débit. Le régulateur a également donné aux participants une cartographie des réseaux déployés et des projets à venir ainsi qu'un bilan de l'activité du Graco en 2011.
Open Data : le site data.gouv.fr est officiellement ouvert (MAJ)
Annoncé par François Fillon, la semaine dernière, lors des Assises du numérique, le gouvernement a décidé de donner aux internautes français un libre accès à l'ensemble des données publiques de l'administration, via le portail data.gouv.fr officiellement lancé ce lundi 5 décembre. Ce site regroupe toutes les données de l'Insee sur le recensement des 36 000 communes de France, mais aussi des informations sur le budget de l'Etat, l'environnement, la sécurité routière, les dépenses de santé, etc. Plus de 352 000 jeux de données publiques sont accessibles gratuitement. Techniquement, la plateforme a été développée, selon les Echos, par Logica et utilise le moteur de recherche Exalead, propriété de Dassault Système.
Annoncé au printemps dernier par le Premier ministre François Fillon, ce portail, fruit du travail d'Etalab, a pour but de mettre à disposition des citoyens l'ensemble des données publiques de l'Etat et de ses établissements publics administratifs. Les postes de dépenses du budget général de l'Etat, la mesure de la qualité de l'environnement ou la géolocalisation des accidents de la route sont quelques exemples d'informations mises en ligne sur ce site. Toutes ces données peuvent être consultées en ligne ou bien téléchargées.
Stimuler la création d'applications
Philippe Cros, coordinateur open data du Ministère de l'Agriculture, précise sur le site « si les retombées économiques à venir de data.gouv.fr sont certaines, elles restent aujourd'hui difficilement estimables. » L'objectif de cette initiative, outre le principe de transparence, est de faciliter la création d'applications notamment mobile intégrant ces données publiques. Eric Besson, ministre de l'Industrie et en charge de l'économie numérique avait lancé cet été des appels à projet au niveau européen sur ce sujet.
Philippe Cros donne comme exemple l'INAO (Institut National des Appellations d'Origine) met en ligne sur data.gouv.fr la liste des communes sur lesquelles se trouvent des appellations d'origine (du vin, du fromage, des volailles, etc.). « Il est évident que des applications pour mobiles feront très vite apparaître par couplage avec le GPS intégré quelles richesses gustatives offre le territoire dans lequel le citoyen en déplacement se trouve » conclut le coordinateur.
Un réseau de type Renater pour la santé en préparation
Renater est un réseau très haut débit, fonctionnant pour le monde universitaire et celui de la recherche, il leur permet de réaliser des connexions et liaisons entre adhérents et à l'international. Sur ce modèle, un « Renater de la santé » va voir le jour à l'initiative d'acteurs privés. Il devrait relier les centres hospitaliers et les professionnels de santé entre eux et leur permettre d'accéder à des ressources logicielles et applicatives. L'idée est de leur éviter d'investir.
L'initiative est due au comité cloud de Syntec Numérique et à Interop'Santé, l'un et l'autre présidés par Gérard Domas. L'annonce a été faite lors des 3èmes Assises de technologies numériques de santé.
L'Agence IT de l'Union européenne prend pied en Suisse
Le Conseil fédéral a annoncé avoir approuvé la reprise du règlement de l'UE instaurant l'Agence IT. Cette agence sera chargée de gérer, en lieu et place de la Commission européenne, le système d'information sur les visas (VIS), la banque de données EURODAC pour la comparaison des empreintes digitales des requérants d'asile et des immigrants illégaux, et le futur système d'information Schengen de deuxième génération (SIS II). L'objectif est de créer des synergies entre les Etats membres de l'espace Schengen-Dublin et entre les systèmes d'information, et de gagner en efficacité en termes de gestion opérationnelle et de développement.
Haute disponibilité et très sécurisé
L'agence, dont les activités devraient débuter le 1er décembre 2012, aura pour principale mission d'assurer l'exploitation du système d'exploitation sur les visas, de la banque de données EURODAC et du SIS II. Elle devra veiller à ce que les autorités habilitées à se connecter à ces systèmes puissent le faire à tout moment ainsi qu'à un échange de données sans problèmes. En outre, c'est elle qui assurera la sécurité des systèmes.
ICTjournal.ch
La Haute-Garonne recherche une trentaine d'informaticiens
La fonction publique territoriale de la Haute-Garonne annonce l'ouverture d'un concours externe en vue de recruter une trentaine d'ingénieurs territoriaux, dans la spécialité informatique et systèmes d'information. Ce concours est co-organisé avec les centres de gestion du Lot, du Tarn-et-Garonne, de la Haute-Vienne, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres, de la Gironde, de Lot-et-Garonne, des Pyrénées-Atlantiques, de l'Aude, du Gard, de l'Hérault et de la Lozère au titre de l'année 2012. Cependant, les épreuves écrites d'admissibilité se dérouleront le mercredi 20 juin 2012 en Haute-Garonne.
Retrait en ligne des dossiers à partir du 17 janvier
Les dossiers de candidature peuvent être retirés sur pré-inscription via internet du 17 janvier au 15 février 2012, sur le site www.cdg31.fr. Un retrait par voie postale pourra également s'effectuer du 17 janvier au 8 février 2012.
La date limite de dépôt des dossiers de candidature est fixée au 23 février 2012, de 8 h 30 à 12 heures et de 14 heures à 17 heures au centre de gestion de la Haute-Garonne, 590, rue Buissonnière, BP 37666, 31676 Labège Cedex.
Tout renseignement complémentaire, notamment les conditions de candidature, pourra être communiqué sur simple demande écrite adressée au président de l'organisme ou consultable sur le site du centre de gestion.
(...)
Deux responsables aux questions numériques pour la campagne de François Hollande
Organigramme de campagne ? « Shadow cabinet » ? Quel que soit le terme retenu, François Hollande a précisé le nom des responsables thématiques qui l'entourent. Pour les sujets qui nous intéressent, on retiendra deux noms, celui de Fleur Pellerin, conseillère référendaire à la Cour des Comptes, chargée du numérique et celui plus connu d'Alain Rousset, le Président de la région Aquitaine, pour l'industrie.
Alain Rousset est par ailleurs président de l'ARF, l'Association des régions de France qui a développé une important réflexion autour du numérique et surtout du financement des investissements régionaux (les Régions étant plus particulièrement chargées du développement économique). Deux noms ne figurent pas dans cet organigramme, ceux de Christian Paul, chargé depuis des années du numérique au PS et celui d'Yves Rome, le Président de l'Avicca, dont les positions sur le très haut débit sont marquantes.
François Hollande a donc sélectionné deux responsables. Le pouvoir actuel a longtemps séparé les deux fonctions ministérielles, avant de les réunir dans un seul ministère celui de l'industrie et de l'économie numérique. Rappelons également que quel que soit le schéma retenu tous les départements ministériels ou presque gardent des responsabilités importantes : la e-education dans le ministère du même nom, les multiples sujets informatiques dans celui de la santé (e-santé et informatisation des hôpitaux), sans oublier la réduction des coûts et la mutualisation (des achats ou des développements) ou les e-usages qui concernent chaque ministère. Quant au sujet, ô combien décisif, des infrastructures haut débit, ou celui plus médiatique de l'Internet, ils remontent au plus haut niveau de la décision publique.
L'Etat lance un appel d'offres sur la maintenance des logiciels libres
La Direction des Systèmes d'Information et de Communication du Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l'Immigration vient de publier un appel d'offres visant à trouver un prestataire assurant la maintenance des logiciels libres employés par l'Etat. Le marché public sera un accord cadre dont le montant estimé est de deux millions d'euros sur trois ans, ce montant étant sans engagement. Une prolongation d'un an est envisagée.
Les réponses devront parvenir au service acheteur avant le 9 janvier 2012. Il n'y aura qu'un seul allocataire au marché, éventuellement un groupement solidaire ou un groupement conjoint. La notification est prévue pour le 30 mars 2012.
Une dizaine de domaines sont à couvrir :
1 - Systèmes d'Exploitation et logiciels de base associés : Debian et CentOS, outil de virtualisation tel que KVM
2 - Serveurs de présentation et d'application : Apache, Tomcat, JonAS, CMS
3 - Langages et les frameworks de développement : JAVA, PHP, XML, Perl, Eclipse, Struts
4 - SGBD : PostgreSQL, MySQL
5 - Bureautique : OpenOffice
6 - Outils réseaux et supervision et exploitation : Ethereal, Jmeter, Nagios
7 - Outils de sécurité : Tripwire, OpenSSL
8 - Services d'annuaire et de messagerie : OpenLDAP, Sendmail
9 - Portails et gestion documentaire, knowledge management : Nuxeo, Ezpublish, Alfresco
10 - Indexation et recherche : Lucene, Zettair
La quasi-totalité des administrations centrales est concernée :
- les services du Premier Ministre ;
- la Cour des Comptes ;
- le Ministère des Affaires étrangères et européennes ;
- le Ministère de la Défense et des Anciens Combattants ;
- le Ministère de l'Ecologie, du développement durable, des transports et du logement ;
- le Ministère de la Justice et des Libertés ;
- le Ministère de l'Intérieur, de l'Outre-mer, des Collectivités territoriales et de l'Immigration ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Santé) ;
- le Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé (secteur Travail) ;
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative (secteur Education Nationale);
- le Ministère de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie Associative ( secteur Jeunesse et vie Associative) ;
- le Ministère de l'Agriculture, de l'alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l'aménagement du territoire ;
- le Ministère de la Culture et de la Communication ;
- le Ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale
- le Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche ;
- le Ministère de la Ville ;
- le Ministère des Sports.
La Gendarmerie Nationale s'équipe pour inspecter les terminaux mobiles
La Gendarmerie Nationale possède des missions de police judiciaire sur la plus grande partie du territoire national. Dans ce cadre, elle se retrouve de plus en plus confrontée à des terminaux mobiles : téléphones, smartphones, terminaux GPS...
Pour aider les gendarmes dans les enquêtes criminelles, la Gendarmerie Nationale a décidé de s'équiper d'une solution permettant d'extraire des données logiques et physiques de la majorité des terminaux mobiles : contacts, historique des appels, vidéos, textes, photos... y compris les données effacées.
Le choix de l'UFED de Cellebrite
Après un an de tests, la maréchaussée a décidé de s'équiper d'UFED (Universal Forensic Extraction Device) de Cellebrite. Les détails du contrat n'ont pas été révélés. Plusieurs centaines d'appareils seront livrés.
Selon le constructeur, l'appareil est capable d'extraire les données de plus de 4000 modèles de terminaux mobiles sous iOS, Android, Blackberry, Symbian ou PalmOS. Il est également capable de récupérer des données effacées par l'utilisateur. L'extraction serait conforme aux exigences judiciaires en matière de preuve et pourrait être réalisée sur le lieu même d'un crime.
L'Europe veut se doter d'une plateforme technologique sur le HPC
Beaucoup d'acteurs industriels comme Allinea, ARM, Bull, CAPS entreprise, Eurotech, Partec, STMicroelectronics et Xyratex se sont associés à des organismes de recherches comme le BSC (Barcelona SuperComputer), le CEA, le CINECA, le Fraunhofer, Forschungszentrum Jülich et le LRZ HPC pour créer une plateforme technologique européenne.
L'objectif de l'ETP (European Technology Platform), selon les partenaires, est de définir les priorités de recherche en Europe pour développer une technologie européenne dans l'ensemble de la chaîne de valeur du HPC. Avec cette collaboration, ils souhaitent par ailleurs « renforcer la compétitivité européenne en matière de HPC, une capacité essentielle pour la recherche future et de l'innovation ». La gestion du parallélisme extrême dans des architectures HPC et la réduction de la consommation d'énergie sera deux domaines clés du programme européen.
Dans le cadre de l'initiative, le consortium qui se met en place sera ouvert à toutes les entreprises ou les personnes qui ont des activités européennes de R&D relatives au HPC. Un plan de recherches sera également présenté à la Commission européenne pour trouver des financements supplémentaires.
Cette opération rappelle l'initiative de la Chine de vouloir construire des supercalculateurs avec des puces chinoises.
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