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(08/09/2006 17:51:36)
Nec aurait cédé Packard Bell à l'ex-patron d'e-machines
Lap Shun (John) Hui, l'ex-propriétaire américain d'e-machines, un constructeur de PC économiques revendu l'an passé à Gateway, aurait racheté la holding néerlandaise propriétaire de Packard Bell (Packard Bell BV), l'un des principaux constructeurs européens de PC grand public. Jusqu'alors propriété de NEC, Packard Bell était officiellement à vendre depuis le mois de juin, son actionnaire souhaitant se concentrer sur le marché professionnel, mais aussi se débarrasser d'une filiale aux résultats financiers peu glorieux (Packard Bell aurait réalisé un CA de 1,5 MdE pour sa dernière année fiscale, clôturée en mars, ainsi qu'un léger bénéfice). En juin déjà, John Hui était évoqué par la presse japonaise comme le probable repreneur de Packard Bell, une reprise qui pourrait avoir coûté moins de 90 M$ (voir notre article de l'époque). Le millionnaire contrôle déjà près de 10% du capital de Gateway et a récemment proposé au constructeur américain de reprendre son réseau de magasins américains pour 450 M$, une offre que le constructeur a jusqu'alors déclinée. Packard Bell, qui a son principal site français à Angers, dans l'ancienne usine de Bull, emploie près de 500 salariés en France (sur un total de près de 750 dans le monde), un chiffre sensiblement en baisse par rapport au début des années 2000. Il est vrai qu'une partie de la production a récemment été délocalisée en République Tchèque au prix d'un plan social qui a frappé près de 180 personnes en 2005. La vente à John Hui devrait être présentée au CE de Packard Bell France ce vendredi et devrait être finalisée d'ici fin septembre. (...)
(08/09/2006 17:50:08)L'April partenaire du premier Master consacré au Libre
L'April (l'Association pour la promotion et la recherche en informatique libre) s'implique dans le premier Master en ingénierie du logiciel libre (I2L) lancée par L'Université du littoral-Côte d'Opale (Calais) pour cette rentrée scolaire. Plusieurs membres de l'association ont contribué à élaborer le contenu du module d'enseignement « environnement libre » et vont y intervenir, dont Frédéric Couchet, délégué général et fondateur de l'April, Jérémie Zimmermann et Loïc Dayot, membres du conseil d'administration. Ce module sera consacré à enseigner les dimensions juridiques et légales du logiciel libre et ses modèles économiques. Il abordera aussi le libre dans les collectivités territoriales, avec les projets réussis et les difficultés rencontrées. Insertion professionnelle plus rapide « Le partenariat confirme l'importance des actions de l'April, dans la diffusion de l'informatique libre », estime Benoît Sibaud, son président. Plus généralement, c'est l'existence même de cette première formation entièrement dédiée au libre qui constitue la vraie reconnaissance. « Jusqu'à présent, l'enseignement du libre était limitée à des modules dans les cursus de formation. La création de ce master constitue la preuve d'une vraie attente du marché concernant le monde du logiciel libre », ajoute Benoît Sibaud. Elle va d'ailleurs favoriser l'insertion professionnelle des jeunes ingénieurs qui souhaitent travailler dans ce domaine. « Le fait d'expliquer aux étudiants les principes des licences logicielles, de l'environnement économique et juridique du libre ainsi que la communication au sein des communautés et des équipes de développement leur permettra de s'adapter très vite à leurs futures fonctions professionnelles ». (...)
(08/09/2006 17:45:04)« Pas de surenchère salariale chez Sii »
Comme ses concurrentes, Sii ne ralentit pas ses campagnes de recrutement. La SSII (1714 collaborateurs) prévoit d'embaucher 300 personnes (un tiers de jeunes diplômés et deux tiers d'ingénieurs expérimentés) pour ses 9 agences françaises d'ici à la fin de l'année, après en avoir embauché une centaine au cours de l'été. Elle recrute essentiellement sur projet car les prestations d'assistance technique en régie représentent 70 à 80% de son activité. Elle confirme que le marché est tendu, notamment sur certains profils comme les « ingénieurs développement embarqué temps réel », très demandés dans l'industrie automobile et aéronautique. Mais ses difficultés à recruter viennent aussi de la tendance croissante à la surenchère qui sévit sur le marché, aux niveau des rémunérations offertes aux candidats par les SSII. « Nous connaissons des sociétés qui ont couramment ce type de pratiques. Mais nous nous inquiétons de voir que certaines autres qui ne le faisaient pas, commencent aussi à faire flamber les rémunérations », explique Virginie Lacoste, directrice du recrutement chez Sii. Comment se traduit cette flambée ? « En province, nous ne dépassons pas 31 KE de salaire brut annuel pour un jeune diplômé, alors que certains leur proposent 36 KE, un tarif où nous ne pourrions pas faire de marge. En région parisienne, nous montons jusqu'à 33 à 34 KE pour des premiers emplois, lorsque des concurrents proposent 38/40 KE ». Face à cette situation, la SSII est très claire. Elle perd des candidats, mais il n'est pas question de participer à cette surenchère, même si elle ne peut se positionner sur tous les projets. « Nous allons conserver nos marges et à terme cette attitude sera payante. Nous ferons ponctuellement peut-être moins de volume d'affaires par client, mais notre cohérence et notre stabilité se verront. Nous ne perdrons pas nos clients », poursuit Virginie Lacoste. La spirale à la hausse des salaires a par ailleurs des limites déjà perceptibles. « Certains candidats se voient remercier des SSII qui les ont recrutés à de gros salaires sur profils et non sur projets. Soit parce que les projets ne tombent pas, soit parce que les tarifs imposés par les clients restent bas et que les marges des SSII sont par conséquent trop faibles. Certains de nos collaborateurs sont d'ailleurs revenus chez nous après avoir démissionné et passé quelques temps ailleurs ». (...)
(08/09/2006 17:43:38)EclipseWorld : Mike Milinkovich dévoile sa recette secrète
Si tous les gars du monde voulaient bien se donner la main... Tout le monde connaît le refrain, apparemment Mike Milinkovich, directeur exécutif de la Fondation Eclipse, connaît la musique. Dans son discours à la conférence EclipseWorld 2006 (qui s'achève aujourd'hui à Cambridge, Massachusetts), Mike Milinkovich a dévoilé la « recette secrète » d'Eclipse pour bâtir une plate-forme de développement universelle. Et de citer un chiffre de plusieurs dizaines de millions de téléchargements pour prouver le succès. L'ingrédient de base de la recette serait l'équilibre. Se positionnant par rapport au projet NetBeans soutenu et dirigé par Sun, Mike Milinkovich insiste sur le fait qu'Eclipse met à égalité tous ses participants. Chacun concevant des outils puis développant un écosystème de produits commerciaux au-dessus de la plate-forme. Autre ingrédient nécessaire : la régularité des cycles de mise sur le marché (projet Callisto cette année, puis Europa en 2007, visaient justement à harmoniser la sortie d'une dizaine de technologies Eclipse). « Je crois qu'Eclipse a découvert, peut-être inventé, a-t-il dit, la sauce secrète pour rassembler des entreprises qui veulent développer de l'Open Source. Mon rêve pour Eclipse est que ça devienne une institution qui dure bien après mon propre départ. » Sachant que Jupiter possède plus de 60 lunes, même sans compter Callisto et Europa, on sent en effet que Mike Milinkovich voit loin. Les différents stades de l'adoption de l'Open Source Passant à une autre métaphore, Mike Milinkovich a estimé que le processus Eclipse relevait d'un modèle darwinien, les membres d'Eclipse développant des extensions sous forme de plug-in, certains connaissant le succès, d'autres sombrant dans l'oubli. Parlant plus généralement de l'Open Source, Mike Milinkovich a décrit plusieurs stades au sein des entreprises. D'abord le stade du déni : « tout le monde ici connaît des entreprises niant l'impact que l'Open Source peut avoir », a-t-il dit, ajoutant qu'il ne visait pas seulement Microsoft... Puis vient le stade du débutant, qui commence à utiliser l'Open Source. Le stade collaboratif, où l'utilisateur commence à redonner à la communauté. Un stade de « champion », qui demande une implication dans de multiples projets. Un stade stratégique, lorsque l'activité de l'entreprise est construite autour de l'Open Source. Et enfin un stade agressif, quand l'entreprise cherche à obtenir un avantage compétitif maximal grâce à l'Open Source. Prochaine échéance : juin 2007 Mike Milinkovich a ensuite cédé la place aux participants des divers projets dont la finalisation est attendue en juin 2007 (projet Europa). WTP 2.0 (Web tools platform), qui se focalise sur les outils pour développer des applications Web, sera conforme à la version 5 de Java Enterprise Edition et supportera la Java persistence architecture, moyen de stocker les objets Java dans des bases relationnelles. WTP 2.0 incorporera également le projet Ajax Tools Framework, pour concevoir des interfaces à l'ergonomie riche. A noter qu'une bêta de Eclipse Rich Ajax Platform, ensemble d'outils à greffer à l'environnement de développement Eclipse pour faciliter la création d'interfaces Ajax, sera disponible dans une quinzaine de jours. En ouverture de ces trois jours de conférence, Mike Milinkovich avait insisté sur le fait qu'Eclipse pouvait très bien servir de plate-forme de client riche Java. (...)
(08/09/2006 17:48:18)Bruxelles critiqué pour retarder le lancement européen de Vista
Quatre députés européens estiment que les dispositions prises par la Commission européenne à l'encontre de Microsoft « mettent en danger la capacité des entreprises européennes à être concurrentielles à l'échelle mondiale. » Les députés britanniques Chris Heaton-Harris, Sharon Bowles, et Peter Skinner, rejoints par le Polonais Michal Kaminsli, s'inquiètent du retard que les contraintes posées à Microsoft par Bruxelles pourraient causer au lancement du successeur de Windows XP, Vista, en Europe. Ces parlementaires se font notamment l'écho de récentes déclarations de Microsoft au gendarme des bourses américain, la Securities and Exchange Commission (SEC). Selon celle-ci, l'appel déposé par l'éditeur contre la décision de la Commission européenne de mars 2004 de sanctionner un abus de position dominante rend incertain le contexte légal du vieux continent. Et de conclure que « ces incertitudes pourraient conduire au report du lancement de Windows et d'autres produits. » De son côté, la Commission ne voit pas la moindre incertitude. Selon elle, les règles européennes de la concurrence sont claires. C'est à Microsoft de les respecter, pas à Bruxelles de donner son « feu vert » au lancement de Vista ou d'un autre produit de l'éditeur de Redmond. Réagissez sur notre blog. (...)
(08/09/2006 17:48:14)Les grandes oreilles de HP écoutent aussi les journalistes
Après avoir fait espionner les membres de son conseil d'administration - avec suffisamment de discrétion pour que les journaux s'emparent de l'affaire - HP est impliqué dans une nouvelle intrigue de surveillance. Cette fois, les barbouzes recrutés par le constructeur se sont procuré les enregistrements de conversations téléphoniques tenues par neuf journalistes. En réponse à une requête du procureur général de Californie, HP a communiqué la liste des journalistes espionnés et se déclare "consterné que les enregistrements aient été obtenus sans leur consentement". Comme pour l'espionnage des membres du conseil d'administration, la vile man?uvre visait à faire la lumière sur de multiples fuites à la presse d'informations confidentielles. Les "enquêteurs" de HP auraient eu recours à des procédés d'ingénierie sociale pour mettre la main sur les enregistrements de journalistes, notamment du Wall Street Journal et de Cnet.com, qui avaient publié des informations confidentielles révélées par des membres du groupe. Les fuites parues dans le WSJ faisaient ainsi état de l'éviction de Carly Fiorina, la précédente PDG. (...)
(11/09/2006 11:45:59)Autodesk rachète le français Robobat
Autodesk va acheter l'éditeur français Robobat pour 33 M$ en numéraire. Robobat est spécialisé dans le développement de logiciels de calcul et de dessin pour le génie civil et le bâtiment. Autodesk entend utiliser les logiciels de Robobat pour compléter son offre pour les industries de la construction et du bâtiment, représentée aujourd'hui par AutoCAD et Revit Structure. Ce rachat constitue l'étape ultime d'un partenariat de longue date. Dans un communiqué, les deux éditeurs soulignent notamment que « le logiciel de calcul sur les structures développé par Robobat, Robot Millenium, a été intégré à Autodesk Revit Structure. » Une fois le rachat finalisé, Autodesk prévoit d'intégrer plus étroitement encore les deux offres. Et à ceux qui s'inquièteraient des conséquences de ce rapprochement, Jay Bhatt, vice-président d'Autodesk, assure qu'il continuera « à soutenir les standards ouverts d'échanges de données. » Le volet social de l'accord n'a pas été communiqué. Sur son site Web, Robobat, qui est implanté à Grenoble, indique employer 50 personnes en France et une centaine dans le monde. (...)
(08/09/2006 17:51:20)Microsoft publie les add-on PDF et XPS à Office 2007
Microsoft finit par publier les extensions gratuites permettant de sauvegarder un document Office 2007 au format PDF et XPS (XML Paper Specification - concurrent du PDF chez Microsoft). Trois formules sont disponibles gratuitement (et en français): "Enregistrer en PDF", "Enregistrer en XPS" et "Enregistrer en PDF et XPS" A l'origine, Microsoft avait prévu d'intégrer en natif la possibilité de sauvegarder en PDF des documents de son prochain Office 2007. Mais l'éditeur avait abandonné l'idée après avoir essuyé un refus d'Adobe, propriétaire du format. Microsoft avait alors décidé d'écarter les fonctionnalités du logiciel, pour les proposer sous forme d'options (add-on) gratuites. Gratuité qui ne satisfaisait pas Adobe. Ce dernier avait menacé l'éditeur de Redmond de procès, avant d'y renoncer rapidement. Microsoft inaugure ici les add-on, au c?ur de la polémique. (...)
(08/09/2006 17:42:59)Microsoft et Cisco connectent leurs outils de contrôle d'accès
Les outils de contrôle d'accès au réseau de Cisco (NAC - Network Admission Control) et Microsoft (NAP - Network Access Protection) -respectivement n°1 et 2 du marché - vont intéropérer. Les deux sociétés ont profité de la conférence Security Standard pour dévoiler le projet d'une architecture commune ainsi qu'un guide d'implémentation technique du programme. L'interopérabilité des technologies ne sera toutefois effective qu'à la sortie de Longhorn (prévue mi-2007). D'ici là, la feuille de route devrait comporter une version bêta dès la fin de l'année. Ce projet, basé notamment sur le développement d'API commune -fruit d'un partenariat de plus deux ans- devrait permettre aux utilisateurs Cisco ou Microsoft de combiner les deux technologies, indifféremment. Une bonne nouvelle pour les entreprises utilisant le NAC de Cisco, et qui avaient prévu de passer à Longhorn, côté serveur, et à Vista, côté desktop. Ce partenariat comprend notamment le développement d'un agent Cisco, installé sur le périphérique mobile sous Vista (ordinateur portable, par exemple) devant se connecter au réseau de l'entreprise. Techniquement, le client a d'abord la charge de s'identifier au réseau pour envoyer un diagnostic de sécurité (telle que la dernière mise à jour appliquée ou la conformité à un moment donné). Cet état est alors récupéré par le serveur Cisco (Secure Access Control Server - ACS), qui répercute les données au serveur de Microsoft (Network Policy Server). Ce dernier vérifie enfin la conformité des données avec ses règles et privilèges, acceptant ou non l'entrée sur le réseau. Un défi pour le marché Cet alliance des deux leaders du marché NAC risque de modifier le paysage concurrentiel, sur un marché qui débute seulement sa croissance. Le marché des solutions de contrôle d'accès devrait atteindre presque 4 Md$ d'ici à 2008, selon une récente étude Infonetics. Pour Gartner, les premiers déploiements massifs - c'est-à-dire des grands comptes- des spécifications communes NAP/ NAC ne seront opérationnels qu'à partir du premier trimestre 2008. Et à partir de cette période, "les concurrents de Cisco devront faire montre d'un niveau équivalent d'interopérabilité avec Microsoft, tout en ouvrant leur approche NAC au support d'environnements hétérogènes". Les éditeurs NAC indépendants, de leur côté, devront rivaliser d'ingénierie, Cisco et Microsoft ayant décidé de poursuivre la commercialisation de leurs solutions séparément. Pour Gartner, ils devront "pousser leurs développements en dehors de ceux alors proposés par l'environnement Cisco / Microsoft". Un défi en soi. (...)
(08/09/2006 12:38:56)Cognos licencie 6% de ses effectifs sur fond de bons résultats
Cognos s'apprête à se délester d'environ 6% de ses effectifs à travers le monde, alors même que le groupe canadien annonce qu'il dépassera les objectifs qu'il s'était fixés pour le compte du deuxième trimestre 2007. L'éditeur de business intelligence se séparera de 210 salariés afin de doper la rentabilité opérationnelle. Principales cibles : les postes d'encadrement et ceux "n'engendrant pas de revenu". Cognos espère réaliser une économie de 13 M$ sur la fin de l'exercice en cours puis de 28 M$ par an à l'issue de cette réorganisation. Parallèlement, ce spécialiste du décisionnel devrait recruter de 20 à 25 personnes pour renforcer le secteur des ventes qui compte actuellement 366 salariés. L'annonce de cette restructuration intervient à l'heure où l'éditeur fait état de résultats trimestriels qui devraient dépasser les prévisions. Les revenus devraient ainsi atteindre 228 M$, soit le haut de la fourchette communiquée à la fin du mois de juin. De même, le bénéfice par action devrait dépasser les 16 à 20 cents précédemment annoncés. (...)
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