Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 10151 à 10160.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(06/10/2009 19:09:23)
Le marché des semiconducteurs reste morose selon Gartner
Le Gartner, avec son indice Dataquest Semiconductor Inventory (DASI), étudie le marché des semiconducteurs en évaluant leur niveau de stocks. Verdict : au troisième trimestre ce niveau de stocks a baissé. Il est passé d'un niveau d'excès de stocks dit « sévère » à un niveau « prudence ». En clair, le niveau des stocks a baissé, mais pas suffisamment pour annoncer une reprise de ce marché et derrière lui, du marché des PC. L'indice du Gartner ne devrait pas se stabiliser avant 2010, où le cabinet prévoit une reprise de ce marché. Une prévision assez fiable dans la mesure où les niveaux de stocks sont évalués à chaque étape de la production. L'absence de rupture de stocks, la fluidité dans les approvisionnements, l'absence de stocks anormaux donc de méventes sont les indices d'une situation stable. Ce n'est pas le cas. Du moins pas encore, analyse le Gartner. (...)
(06/10/2009 18:58:38)Convergence fixe-mobile, un marché de à 900 millions d'euros en 2013 selon l'Idate
Une étude réalisée par l'Idate dresse un état des lieux des services de convergence fixe mobile à destination des entreprises, à travers l'analyse des catalogues d'offres des principaux opérateurs de cinq pays d'Europe de l'Ouest - France, Allemagne, Espagne, Italie et Royaume-Uni. L'enquête effectuée en 2008 fournit un certain nombre d'indicateurs sur les marchés de la convergence fixe mobile et de la VoIP en entreprise. Des offres larges et disparates L'étude des catalogues d'offres des opérateurs montre une grande diversité des services placés sous la bannière de la convergence fixe mobile. Ils peuvent différer soit au sein d'un même opérateur qui couvre plusieurs pays et qui n'a pas la même stratégie selon les marchés, soit dans un même pays où les opérateurs se positionnent différemment pour des raisons stratégiques, techniques et économiques. Ce schéma représente les briques de construction des offres de convergence fixe mobile, en fonction des segments de marché. Ces opérateurs peuvent en effet intégrer dans leur catalogue, un ou plusieurs types de services de convergence : - convergence de tarifs : un même plan tarifaire pour les fixes et les mobiles. - convergence de services : un même ensemble de services accessibles depuis le fixe ou le mobile avec une optimisation des coûts de communications. - convergence de terminaux : un terminal mobile dual-mode avec des fonctionnalités avancées, en communications fixes et mobiles. Les offres de convergence fixe mobile constituent un outil permettant aux opérateurs : - la rétention du client, en prenant en charge tous ses accès fixes et mobiles, voire les services voix et données. - la capacité à regagner la confiance des clients partis à la concurrence. - la diminution de l'effet d'érosion de l'ARPU (chiffre d'affaires moyen par client) des services de téléphonie fixes et mobiles. - la possibilité de proposer des prestations d'intégration, d'exploitation et de maintenance afin de valoriser l'ARPU. C'est surtout le cas pour les opérateurs intégrés offrant une large palette de services associés à leur coeur de métier de fournisseur de solutions télécoms. Les revenus générés dans les cinq principaux pays d'Europe de l'Ouest sur des offres de convergence fixe mobile pourraient atteindre 900 millions EUR en 2013. Ces offres permettront donc aux opérateurs d'avoir un léger effet positif sur la baisse de l'ARPU constatée ces dernières années. Mais ce marché sera handicapé par les surcoûts - investissements en équipements et coûts d'exploitation - que peuvent représenter ces offres pour l'entreprise, au regard des bénéfices. En temps de crise, la rationalisation des investissements n'incite pas à adopter ce type de services. La position de mono-fournisseur peut constituer un frein Si l'entreprise peut percevoir un réel avantage dans une vision mono-fournisseur télécom (une seule facture, un seul interlocuteur pour les services voix et données, un seul centre de support), il n'en demeure pas moins que les négociations pour le renouvellement des solutions seront plus délicates. Changer d'opérateur sera très difficile lorsque l'entreprise est mono-fournisseur. Cette vision est encore renforcée chez les grands comptes : il existe bien souvent une volonté d'avoir plusieurs fournisseurs pour les différentes solutions télécoms de l'entreprise. (...)
(06/10/2009 11:56:26)Le site de la CAF victime de phishing
Les internautes qui consultent le site de la Caisse d'allocation familiale sont accueillis par un message d'alerte qui a de quoi les inquiéter. « Attention ! Des courriels vous invitant à donner vos coordonnées personnelles sur le caf.fr circulent actuellement. Si vous recevez un message en ce sens, n'y répondez surtout pas et détruisez-le immédiatement. En aucun cas, votre caisse d'Allocations familiales ne vous demandera de lui communiquer votre numéro de carte bancaire via Internet. » La Caf prévient ainsi ses allocataires contre une nouvelle forme de phishing. Un courrier électronique circule ainsi en ce moment qui reprend le logo et le style de la CAF -avec une orthographe et une syntaxe néanmoins déficientes- pour proposer le versement d'une régularisation fantôme de leurs droits de 325,54 euros. Ce mail dirige les internautes vers un faux site aux couleurs de la Caisse pour les inciter à communiquer leurs coordonnées bancaires avant de les renvoyer une fois la transaction finie sur le vrai site de la CAF. Selon la CAF de Vendée citée par Ouest France et où plus de 200 allocataires ont reçu ce courrier, ce n'est pas le système de la CAF qui a été piraté. Selon le quotidien régional, les arnaqueurs auraient récupéré les adresses électroniques à partir d'une autre base de données externe. L'attaque semble provenir d'un site hongrois, qui se défend cependant en affirmant avoir été piraté. (...)
(06/10/2009 11:46:16)Windows Mobile 6.5 tente de se refaire une image (MAJ)
Avec Windows Mobile 6.5, Microsoft va-t-il réussir à réanimer son système d'exploitation pour smartphones ? Pour sa journée marathon à Paris et Issy les Moulineaux, Steve Ballmer, PDG de Microsoft, a présenté, avec Nicolas Petit directeur de la division Mobiles en France, sa plateforme pour smartphones. Ringardisée par l'ergonomie soignée des concurrents animés par Google Android ou iPhone OS, cette plateforme n'a pas connu d'évolution significative depuis plusieurs années. Si cette version 6.5 apporte son lot de nouveautés et d'améliorations ergonomiques, il ne s'agit pas vraiment d'une mise à jour majeure. Cette dernière est attendue un peu plus tard avec la livraison de Windows Mobile 7.0. Toutefois pour répondre aux demandes des utilisateurs et des constructeurs de terminaux, le géant de Redmond livre un produit mieux adapté aux smartphones tatctiles. Retravaillée avec une page d'accueil mieux structurée sous forme de menus déroulant ou selon la fantaisie des constructeurs de terminaux, l'interface se veut également plus fluide et ne demande plus l'usage du stylet pour accéder à certaines fonctions. L'héritage des antiques PDA de type PocketPC se fait toutefois encore sentir quand on désire accéder aux préférences ou à certains services comme le gestionnaire de réseau. Derrière un bel habillage, Windows Mobile 6.5 n'arrive toujours pas à cacher son grand âge. La gestion de la mémoire par exemple était un des points noirs de la précédente version : l'accumulation d'applications en tâche de fond rendaient les smartphones Windows extrêmement lent. Espérons que Microsoft ait résolu ce problème très agaçant à l'usage. Il n'est pas certains que la multiplication des widgets et des flux XML améliorent la réactivité de ces terminaux mobiles. Pour doper la vivacité de Windows Mobile, les constructeurs de mobiles peuvent toutefois ajouter plus de mémoire et compter sur les processeurs de plus en plus performants comme le Snapdragon de Qualcomm cadencé à 1 GHz. Les nouveautés les plus intéressantes de Windows Mobile 6.5 sont peut être à chercher du coté de la plateforme de téléchargement de logiciels maison Marketplace et du service My Phone. La première comme la seconde ne font toutefois que copier tardivement les initiatives d'Apple avec son Appstore et son offre MobileMe. Principales différences, l'Appstore compte aujourd'hui 85 000 applications alors que MobileMe est facturé 109 $ par an avec un espace de stockage de 20 Go. Microsoft va bientôt proposer 18 000 logiciels sur MarketPlace et, bonne surprise, le service My Phone, qui permet de synchroniser et de sauvegarder en ligne les données (contacts, photos, etc.) de son téléphone, est lui gratuit. Astucieux, ce service permet également de partager des photos sur Facebook ou de paramétrer très rapidement un nouveau termina animé par Windows Mobile 6.5. Obsédé comme beaucoup d'autres par le succès des réseaux sociaux, Microsoft propose une version adpatée de Messeneger qui permet de fusionner des données issues de facebook ou de Twitter. Enfin, juste après Google qui vient d'annoncer que la fonction push de Gmail était disponible gratuitement pour les plateformes iPhone, Windows Mobile et Nokia Symbian, Microsoft propose le push gratuit avec un compte Hotmail. Comme tous les smartphones up-to-date, les terminaux Windows Mobile 6.5 embarquent un navigateur Web. Ici, il s'agit bien sûr de IE8 livré avec une version light d'Adobe Flash. Les formulaires Ajax sont également supportés pour afficher les tableaux de bord d'un compte bancaire ne ligne ou les service de réservation d'un voyagiste. Pour imposer sa plateforme 6.5, Microsoft s'est assuré la participation de plusieurs fabricants : Acer (gamme E), LG (avec son GM750), Samsung (la série Omnia), Sony Ericsson (Xperia X2), HTC (Touch 2), ou encore Toshiba (TG01 Windows Phone). En France, SFR, Orange et Bouygues Télécom annoncent déjà la disponibilité ces terminaux mobiles. Nous reviendrons donc sur cette plateforme avec le test de ces nouveaux smartphones. (...)
(06/10/2009 11:12:26)Avec Native Client au coeur de Chrome, Google fait un pas de plus vers un futur OS
En annonçant Chrome OS, son futur OS pour netbooks et smartphones connectés en permanence au Web, Google avait fait couler beaucoup d'encre. Pourtant, rien de concret n'a suivi cette annonce. L'arrivée de Native Client directement dans Chrome - à l'occasion de la sortie il y a quelques jours de la toute dernière version 4.0.220.1 - pourrait changer la donne. Cette technologie Open Source permet d'exécuter du code x86 en mode natif dans des applications Web au lieu de les retranscrire en JavaScript ou en Flash. Jusqu'à présent, les développeurs - et les utilisateurs intéressés - devaient installer Native Client sous forme d'un module dédié dans leur navigateur (Firefox, Chrome, Safari ou Opera). Native Client n'est pour l'instant pas activé par défaut dans Chrome mais par l'entrée d'une ligne de commande spécifique. En théorie donc, le module reste réservé aux développeurs voulant tirer partie de toute la puissance des processeurs pour leurs applications Web. Mais certains fabricants chinois parlent déjà de lancer des netbooks avec une version de Chrome OS installée dès la fin du mois. Google se refuse pour l'instant à tout commentaire et maintient sa sortie prévue de Chrome OS pour la seconde moitié de 2010. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |