Flux RSS

Périphériques

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1086 documents trouvés, affichage des résultats 211 à 220.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/01/2010 10:29:13)

Comment concilier développement de l'impression et informatique verte ?

« En apparence, concède Bernard Decugis président du Snessi, nous sommes en train de scier la branche sur laquelle nous sommes assis». En parlant de Green IT, les fabricants d'imprimantes parlent en effet de réduire la consommation de papier, de rationaliser les circuits d'impression, bref ils semblent vouloir diminuer leur business, alors qu'ils ont besoin, comme toute l'industrie IT de vendre davantage. Le Livre Vert du Snessi montre bien que les fabricants d'imprimantes ont des arguments financiers à faire valoir à leurs clients pour vendre dans une démarche Green IT. Le Snessi et Bernard Decugis insistent sur deux points : la conception même des imprimantes (l'éco-conception) et les bonnes pratiques possibles du côté des utilisateurs pour montrer la pertinence de leur démarche verte. Loin d'être une tocade, une concession à l'air du temps, leur démarche Green IT vient de loin. D'abord, les adhérents du Snessi font passer leur démarche verte par la production. Les imprimantes consomment moins, elles peuvent se mettre en mode veille (ce qui réduit la consommation), elles sont moins lourdes (30 à 50% de poids réduit en 7 ans), les produits toxiques et dangereux sont supprimés dans la fabrication, l'encre et les gels sont transformés. Un dispositif spécial existe pour faciliter les usages pour les handicapés (accès depuis un fauteuil roulant). Voilà quelques exemples d'éco-conception. (*) Canon, Brother, Conibi, Epson, Infotec, Konica Minolta, Kyocera, Océ, Oki, Rex-Rotary, Ricoh, Riso, Samsung, Sharp, Toshiba, Xerox. [[page]] Rappelons que les usines elles mêmes sont devenues très green. La plupart des constructeurs d'imprimantes sont japonais, où les usines sont depuis 20 ans impliquées dans les principes verts : usines zéro déchets, récupération de l'eau, bilans carbone systématiques, utilisation de matières premières propres, transports propres, rapports annuels comportant une partie verte. En aval, les fabricants d'imprimantes ont intégré les principes green dans leurs démarches commerciales. Leurs clients peuvent gagner 1% sur leurs dépenses en adoptant le Green IT pour les systèmes d'impression. Cette politique passe par une série de bonnes pratiques : utiliser le recto-verso, privilégier le noir et blanc, accepter tous les papiers recyclés. Les adhérents du Snessi proposent même aux directions générales des diagnostics « TCO green ». L'utilisateur est réticent, le processus de décision éclaté Ce double travail de fond, sur la production et sur l'utilisation, se heurte pourtant à un obstacle de taille : l'utilisateur est réticent à tirer partie de ces facilités. Le Snessi suggère alors des indicateurs de coûts permettant de vérifier par utilisateur les processus et les dépenses. Il faut parfois aller encore plus loin. Le problème est souvent une question de décision, la politique d'impression d'une entreprise étant dispersée entre la direction achats (qui gère les copies), la dsi (qui éventuellement traite de la circulation de documents et de Ged), les services généraux (qui gèrent les matériels). Un chef de projet impression autonome ou rattachée à l'une de ces directions avec plein pouvoir sur toute l'impression pourrait impulser une politique de réduction des coûts à partir de principes green. Plusieurs fabricants misent également sur les services et parfois l'externalisation. Le Snessi est bien face à un défi. La démarche verte n'est pas adoptée aussi rapidement que prévu. Diminuer le papier ? C'est le contraire qui se produit tout naturellement. Malgré l'explosion des flux numériques, de plus en plus de copies sortent des imprimantes. Avec un gâchis naturel estimé à 16% des pages imprimées qui sont jetées sans être utilisées. Par ailleurs, faute de s'adresser au top management de l'entreprise, la démarche green IT dans les systèmes d'impression aura du mal à déboucher. Le monde Informatique et CIO organisent une conférence Green IT et éco-responsabilité des entreprises le 9 février 2010 à Paris. Suivez le lien pour plus d'informations et vous inscrire. (...)

(15/12/2009 12:42:31)

Le très haut débit mobile 4G arrive en Suède

L'opérateur nordique TeliaSonera a donné lundi 14 décembre, à Stockholm, le coup d'envoi du premier réseau mobile haut débit de quatrième génération (4G). Cette technologie, appelée à remplacer progressivement le réseau 3G actuel, offre des vitesses de transmission pouvant aller jusqu'à 100 Mbits/s, soit dix fois plus que les réseaux existants actuellement sur le marché. Réalisé en collaboration avec l'équipementier Ericsson, le premier réseau commercial 4G est basé sur la technologie LTE (Long Terme Evolution). Ce standard, pour lequel la Commission européenne prévoit d'investir 18 millions d'euros en 2010, doit favoriser par ses débits élevés le développement de nombreux usages liés à la téléphonie mobile, comme la télévision mobile, la visioconférence, le téléchargement de données ou l'envoi et la réception de mail à pièces jointes. Une offre limitée à Stockholm pour commencer "La nouvelle ère du haut débit mobile est ouverte aujourd'hui. Avec la LTE, appelée aussi 4G, l'expérience du haut débit sur mobile va atteindre des niveaux inégalés jusqu'à présent", a déclaré Carl-Hendric Svanberg, PDG d'Ericsson. "La vitesse de la LTE apporte un accès haut débit avec une fluidité absolue". Dès à présent, les habitants de Stockholm clients chez TeliaSonera peuvent accéder à la LTE via des offres commerciales incluant des clés 4G fournies par le fabricant sud-coréen Samsung. En France, la 4G fera l'objet d'expérimentation poussée dès 2010. L'opérateur Bouygues Telecom a récemment annoncé un partenariat avec l'équipementier en télécommunications franco-américain Alcatel-Lucent pour tester le réseau 4G dans certains sites de l'ouest de la France. (...)

(07/12/2009 09:32:20)

Le marché mondial des imprimantes baisse encore selon IDC

Au 3ème trimestre 2009, il s'est vendu 27,11 millions d'imprimantes dans le monde, contre 31,75 au même trimestre de l'année précédente. La baisse est de 15%. En revanche, nuance IDC, par rapport au 2ème trimestre 2009, la progression est de 11,6%. L'Europe baisse de 12% par rapport au 3ème trimestre 2008, de 10% par rapport au 2ème trimestre 2009, donc un peu moins que l'ensemble du monde. Par type d'imprimantes, IDC observe moins de différences que par le passé. La croissance sur ce marché est due principalement au segment des MFP qui représentent 63% du marché et 17 millions d'unités vendues. Le MFP couleur progresse de 1,3% entre le Q3 2008 et le Q3 2009, alors qu'au 2ème trimestre ce segment affichait une baisse de 6%. Certains segments comme les lasers progressent toutefois En fait, note IDC, tous les segments ont progressé de manière séquentielle : les jet d'encre, monochrome et couleur, les imprimantes laser, comme les PMF. Les imprimantes laser monochrome et multifonctions restent en tête du peloton avec une croissance de 14% par rapport au deuxième trimestre. Le marché du laser MFP reste le segment le plus important en valeur avec 2,8 milliards de dollars, même si les ventes ne représentent que 11% du marché. Côté constructeurs, HP reste n°1, malgré une double baisse, en nombre d'unités vendues de 4%, en valeur de 23%. HP représente 41% des ventes mondiales. Derrière, Canon garde le sourire avec une progression de 2% et 19% de parts de marché. Epson, à la troisième place, se situe à -5% et à 14% de parts de marché. Brother, comme HP, affiche une forte baisse de 17% avec 6% des parts, le cinquième, Samsung, est à +2% avec 5% des parts. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >