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(27/05/2011 14:10:01)

What's Next : Le monde Java pense à l'avenir sans Oracle

Le Grand Rex à Paris a été choisi comme lieu de rendez-vous de la communauté Java pour l'évènement What's Next. Créée à l'initiative de Zenika, spécialiste en technologies Open Source et méthodes agiles, de nombreux participants sont venus écouter, apprendre et comprendre l'intérêt de ce langage pour d'autres acteurs. Parmi ces derniers, on peut citer Microsoft, Alfonso Castro, en charge de l'interopérabilité chez Microsoft indique « nous souhaitons attirer les développeurs Java vers notre plateforme cloud Windows Azure. Des travaux ont été réalisés pour créer des API et des SDK Java en collaboration avec Eclipse qui nous permet sur Windows Server de faire du portage de code Java » et d'ajouter « des réalisations concrètes de ces partenariats existent comme les solutions de Bonitasoft ». La main tendue par Microsoft a également été relayée par Niel Gafter, récente recrue de la firme de Redmond qui a passé 15 ans chez Sun et reste un membre reconnu de la fondation Apache.

Autre acteur qui cherche à séduire la communauté, Spring Source, propriété de VMware. Adrian Colyer, CTO de Spring et grand ordonnateur de la plateforme CloudFoundry, dans son intervention inaugurale sur les applications en entreprises, a exhorté les développeurs à prendre en compte les différentes évolutions, les différents terminaux, les interactions entre applications, les passerelles avec l'univers des réseaux sociaux, etc... « les développeurs ont besoin d'aller plus vite mais aussi de cible leur intérêt » et d'ajouter « nous proposons la création de modules spécifiques comme Spring Mobile, Spring Social, Spring Data ».

Des websockets au RIA


Le spectre des intervenants à l'évènement était large. Pour preuve, la présence de la société Kaazing en la personne de Bryan Drisdale, directeur technique de la zone EMEA. Elle est spécialisée sur les websockets, il s'agit d'un standard du web, intégré dans HTML5, qui vise à développer un canal de communication bidirectionnel et full-duplex sur un socket TCP pour les navigateurs et les serveurs web. L'objectif pour Bryan Drisdale est « d'avoir une meilleure expérience utilisateur en proposant un dialogue en temps réel, ce protocole donne une faible latence pour l'éxécution des applications java ». Souvent mis en concurrence avec http, les websockets disposent elles aussi d'un protocole sécurisé, nommé web sockets secure qui gère l'authentification et le chiffrement des données échangées. Bryan Drisdale a résumé l'intérêt pour ce type de communication notamment dans une optique de cloud, « les web sockets sont le TCP pour le cloud » et d'indiquer que Kaazing travaille pour intégrer cette technologie au sein de terminaux tels que les compteurs intelligents ou les équipements RFID.

Du général au particulier, il n'y a qu'un pas quand on discute avec Michael Chaize, évangéliste de la plateforme Flash chez Adobe. Son leitmotiv est l'expérience utilisateur, « beaucoup de projet s'interroge sur l'aspect technique, mais la bonne question est quel est votre problème » et de citer des projets comme celui du Crédit Agricole NICE qui comprend une partie RIA (Rich Internet Application) pour faire converger l'interface utilisateur des sites clients et des agences. Ce programme a été développé en Java. Un autre axe important pour la communauté Java et pour Adobe est, la mobilité à travers les smartphones et les tablettes. L'expérience utilisateur est très importante sur ce genre de terminaux, qui a un impact fort sur la prise de décision. Michael Chaize précise qu'Adobe a noué des partenariats avec Spring Source par exemple pour optimiser les flux de données pour faire du temps réel.

Au final, la conférence qui s'est tenue sur 2 jours a été riche d'enseignement pour la communauté Java qui a balayé le champ des possibles. On en aurait presque oublié le grand absent de cette manifestation, Oracle...

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(27/05/2011 10:14:37)

IDC se penche sur l'impact du cloud sur les partenaires opérateurs

Premier enseignement de l'étude d'IDC France, les éditeurs sont les plus impactés et les plus moteurs en matière de cloud computing. On s'en doutait, 29% des répondants le confirment. Derrière, arrivent : les hébergeurs (19%), les telcos (15%), les SSII (14%), les clients finaux (11%). Bons derniers, on s'en doutait également : les revendeurs avec 6% de réponses dans cette étude.

L'adhésion au modèle du cloud computing est donc fort disparate, estime Didier Krainc, le directeur général d'IDC France.  Il en résulte quatre grands types d'approches des acteurs de l'IT : la migration d'une offre pré-existante transformée en une offre SaaS, PaaS ou IaaS ; la création ex-nihilo d'une telle offre ; la mise en place de datacenters (et d'offres d'hébergement) ; le développement d'offres de conseil et d'accompagnement autour du cloud.

Les différents acteurs en piste vont profiter différemment du cloud computing. A court terme (moins de 36 mois), les éditeurs sont 22% à  espérer un transfert de CA, d'une activité ancienne à une autre en mode cloud, 32% à espérer une croissance de leur CA, 2% seulement à redouter une perte. Les VARs, toujours à court terme, sont dans les deux cas 28%.

Forte croissance attendue au-delà de 3 ans


A plus long terme, au-delà de 36 mois, 12% des ISV et 12% des éditeurs s'attendent à un transfert de revenus d'une activité ancienne à une activité en cloud, 59% des ISV et 63% des VAR prédisent une croissance de leurs revenus. 2% des ISV et 4% des VARs s'attendent à une perte. Manifestement, les trois années à venir s'annoncent comme étant une période de transition.

Le développement du cloud computing se heurte à des obstacles. Un bon tiers des répondants déplorent un manque de visibilité du marché. Plus concrètement, ils insistent sur le manque de compétences (57% d'entre eux), le besoin de réorganiser leurs entreprises, les engagements nécessaires en matière de sécurité et de qualité de services, le niveau nécessaire des partenariats.

(*) Enquête menée du 28 mars au 11 avril dernier, auprès d'un échantillon de 167 entreprises du secteur IT. Ces entreprises (plus de 10 salariés) représentent 1,5 milliard d'euros de chiffre d'affaires. 52% d'entre elles sont des éditeurs, 48% des SSII ou des VARs.

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(06/01/2011 15:30:23)

Dossier : Virtualisation de serveurs, comment gérer la complexité ?

La virtualisation est un succès. Elle a permis dans un premier temps aux entreprises de consolider le parc de serveurs avec à la clé un réel gain sur les achats de matériels et une réduction sur les espaces et la consommation d'énergie. Résultat : le nombre de machines virtuelles (VM) s'est multiplié anarchiquement dans les entreprises entrainant ainsi plus de complexité dans le système d'information et une explosion des coûts de management due à une sous administration de ces environnements virtuels.  Face à ce constat, l'industrie IT monte au créneau pour apporter des solutions pas toujours simples à décrypter...

>> Sommaire du dossier

1ere partie : La virtualisation des serveurs a-t-elle complexifié le système d'information ?

2eme partie : Le défi des solutions pour industrialiser la gestion des machines virtuelles

3eme partie : Interview Thomas Luquet et Sylvaine Dekeyrel de NEC France



Crédit photo : D.R. (...)

(26/05/2011 17:18:14)

Les ventes mondiales de serveurs grimpent : +12 % en valeur au 1er trimestre, selon IDC

Les fabricants de serveurs ont vu leur chiffre d'affaires progresser de 12,1% dans le monde, à 11,929 milliards de dollars, au premier trimestre de cette année (10,639 Md$ entre janvier et mars 2010), selon les estimations d'IDC. C'est le cinquième trimestre de croissance consécutif, la demande pour les serveurs continuant à augmenter au niveau mondial. En volume, les livraisons ont atteint 1,9 million de serveurs (+2,5%). Le cabinet d'études fait remarquer que, jusqu'à présent, il n'est arrivé qu'une seule fois qu'il soit sorti autant de serveurs des usines en cette période de l'année.

La progression a profité aux trois catégories représentées : les systèmes x86 (+8,7% en valeur sur la période), les machines Unix (+28,3%) et les mainframes (+14,2%). IDC souligne que c'est la première fois en huit trimestres que les trois catégories enregistrent toutes une progression par rapport à l'année précédente.

Hébergeurs et entreprises recherchent la puissance

Les achats viennent des hébergeurs et des entreprises, mais également des PME. En revanche, la demande venant du secteur public a baissé. Pour Matt Eastwood, vice-président, responsable des études pour les plateformes d'entreprise chez IDC, il apparaît évident que les systèmes hétérogènes conservent une place importante chez les clients qui doivent prendre en charge un large éventail de traitements dans leurs datacenters. Il rappelle au passage qu'IDC avait prévu que le renouvellement technologique passerait des serveurs x86 vers des systèmes apportant davantage de puissance.

Oracle repart à la hausse avec les serveurs Sun

Pour la première fois en trois ans et demi, les ventes de serveurs Sun ont augmenté. Les revenus de cette activité étaient déjà en baisse avant qu'Oracle ne décide de racheter le constructeur, il y a un peu plus de deux ans. Et ils ont continué à dégringoler tant que fut incertain le sort qu'allait réserver à ces gammes Larry Ellison, le PDG d'Oracle. Mais l'acquéreur de Sun a mis les bouchées doubles l'an dernier pour convaincre les clients qu'il allait continuer à investir dans le matériel Sun. Il semble que ces efforts se soient finalement révélés payants. Oracle aura réalisé 773 millions de dollars avec ses ventes de serveurs sur le trimestre écoulé, contre 681 M$ l'an dernier à même époque, selon les estimations d'IDC. C'est la première fois que le cabinet d'études signale une hausse dans les ventes de serveurs Sun depuis le troisième trimestre de l'année 2007, note l'analyste Matt Eastwood.

Illustration : l'un des modèles de la gamme Cisco UCS[[page]]

Bien sûr, Oracle ne peut pas s'attribuer tous les lauriers de cette embellie puisque le marché des serveurs a bien progressé dans son ensemble. La croissance du marché en valeur a également profité à HP et IBM, autres fournisseurs de serveurs haut de gamme.

D'ailleurs, HP reste le numéro un du secteur en valeur avec une part de marché qui se maintient autour de 31,5% (31,8% au premier trimestre 2010). Mais IBM le talonne désormais de plus près avec une meilleure progression : 29,2% contre 26,9% l'an dernier.

Fujitsu subit un contrecoup, Cisco fait une jolie percée

Dell a également vu ses ventes progresser. Il conserve sa troisième place avec 15,6% de part (contre 16% l'an dernier). En fait, seul Fujitsu s'en tire moins bien. Les ventes de serveurs du constructeur ont baissé de presque 16% en un an, ce qui le fait passer de la quatrième à la cinquième position, derrière Oracle. Le groupe japonais n'a pas souhaité dire si cela pouvait être lié à l'important séisme subi par le pays le 11 mars dernier, indique Matt Eastwood. La catastrophe est intervenue à la fin du trimestre et de nombreuses ventes s'effectuent souvent dans les deux dernières semaines de ce mois, note l'analyste d'IDC.

Au classement du cabinet d'études figure également Cisco Systems, entré sur ce marché en 2009 avec sa gamme Unified Computing System qui combine serveurs et équipements réseaux. Le constructeur américain détient 1,6% du marché sur ce premier trimestre. Il a fait une jolie entrée sur les serveurs x86, remarque Matt Eastwood, en vendant des configurations plus chères conçues pour les projets de virtualisation.

Illustration : l'un des modèles de la gamme Cisco UCS

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(26/05/2011 15:16:06)

Libcloud, projet prioritaire de la Fondation Apache pour un cloud unifié

Libcloud offre une interface unique à plus de 20 services de cloud, parmi lesquels figurent Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud), Rackspace Cloud, les services cloud de Terremark, IBM Cloud, le fournisseur de services GoGrid et le service Linode tournant sous Xen.

L'interface s'appuie sur une bibliothèque Python capable de répondre à de nombreux types d'utilisations, comme l'interopérabilité avec des services de stockage ou des solutions d'équilibrage de charge. Les développeurs peuvent demander à leurs programmes de faire des appels à la bibliothèque au lieu de coder pour chaque service cloud. Grâce à ces instructions, un programme peut basculer d'un fournisseur cloud à un autre sans avoir besoin de modifier le code sous-jacent. Elle peut également fournir une alternative pour déplacer facilement une charge de travail vers une solution de stockage, dans le cas où le service principal était mis hors connexion, quelle qu'en soit la raison.

C'est en 2009 que la bibliothèque Libcloud a été intégrée à l'incubateur Apache. Le code de base a été fourni par les développeurs du vendeur de logiciels pour le cloud, Cloudkick, racheté depuis par Rackspace. Les développeurs d'IBM, de Linode, et autres y ont apportée par la suite de substantielles améliorations. Hissée officiellement au statut de projet prioritaire de la fondation Apache, Libcloud sera supervisée par un comité de gestion de projet (PMC) chargé de guider le développement du code au sein de la communauté et du lancement des produits. La bibliothèque est disponible sous licence Apache Software version 2.0.

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(26/05/2011 10:24:25)

QFabric : Un switch Juniper taillé pour le cloud

Depuis plusieurs mois, les principaux équipementiers (Brocade, Cisco ou encore HP) ont dévoilé leurs fabric Ethernet ou matrices de commutation Ethernet. Juniper Networks n'est pas en reste avec les solutions issues de son projet Stratus démarré en 2006. Le résultat de ces années de recherche (100 millions de dollars d'investissement) porte désormais le nom de QFabric (Quantum Fabric) : un switch logique unique avec une intelligence distribuée et fédérée afin d'éviter les multiples opérations de lecture et autres traitements. Une topologie réseau ou chaque noeud est relié à tous les autres via un ou plusieurs commutateurs, ce qui permet de gérer des centaines de serveurs comme s'ils étaient connectés à un switch unique (voir illustration ci-dessous). Et pour assurer une compatibilité avec les anciens équipements (voir migration plus bas) pas question de Trill, une technologie en cours de standardisation pour interconnecter un grand nombre de liens en évitant la structure arborescente classique héritée du protocole Spanning tree.



Répondre à des besoins en hausse constante

Robyn Denholm, CFO de la compagnie californienne, qualifie cette plate-forme de « rupture aussi importante que l'arrivée du télégraphe, il y a 171 ans. L'accès à l'information n'importe où, n'importe quand est devenu la norme. (...) Et aujourd'hui, il y a déjà plus de terminaux mobiles connectés que de PC. Nous sommes obligés d'anticiper ces évolutions pour fournir les équipements adéquats ». Pour développer ses équipements, Juniper consacre ainsi pas moins de 20% de son chiffre d'affaires (4,1 milliards de dollars en 2010) à la R&D. Les trois piliers de QFabric (QF/Node, QF/InterConnect, QF/Director), Junos (l'os maison), Junos Space (la couche applicative) et Junos Pulse (fonctions de connectivité, de sécurité et d'accélération applicative) sont aujourd'hui les briques clefs des solutions de l'équipementier.

Le réseau, maillon faible du datacenter

Pour Alex Gray, directeur général en charge du groupe plateforme et systèmes chez Juniper, « les composants des datacenters (processeurs, virtualisation, stockage...) ont énormément progressé ces dernières années. Ce qui n'a pas suivi, c'est clairement le réseau. Aujourd'hui les clients construisent leur cloud pour aller vers une solution plus évolutive et le réseau est la fondation de cette architecture ». Discours classique chez les équipementiers, les fournisseurs de serveurs ou de solutions de stockage ou de virtualisation. Chacun veut tirer vers soi la couverture cloud computing. Pour revenir au réseau, Alex Gray estime que « le réseau est devenu trop complexe avec la multiplication des ports et des interactions. La structure arborescente dans un datacenter est une catastrophe, notamment avec les machines virtuelles et la multiplication des couches qui finissent par augmenter les temps de latence ».

La solution, Juniper l'a déjà exposée en février dernier avec un programme de migration en trois étapes puisqu'il est impossible de repartir de zéro. Les clients pourraient migrer progressivement vers la solution globale, même s'ils utilisent des équipements d'un autre fournisseur. Comme ils sont standardisés (via des interfaces Ethernet ou Fiber Channel), les modules de QFabric pourront être déployés en tandem avec l'infrastructure existante.

Déjà un client en France

Andy Ingram, directeur général en charge de l'activité datacenter chez Juniper, nous avoue avec réticence qu'un contrat a été signé avec un grand groupe français pour construire un cloud public reposant sur la technologie QFabric. « Les premiers utilisateurs de notre plate-forme QFabric sont ceux qui doivent résoudre un sérieux challenge dans leur centre de calcul. Les bourses, les places financières, toutes les entreprises qui veulent aller plus vite  avec une infrastructure massive sont des clients potentiels. Une fois leur datacenter virtualisé, ils ne veulent plus gérer plusieurs réseaux. Avec VMware, pourquoi utiliser 5/6 connexions réseau physiques. Notre QFabric supporte Ethernet, FCoE, iSCSI et le FC en natif. Le principal frein reste que le marché du réseau est très conservateur, mais la convergence des réseaux est en marche (voir dossier LMI sur le sujet). »

Illustration : La direction générale de Juniper Networks (crédit : S.L.)

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(26/05/2011 10:13:48)

Orange mise sur ses partenaires pour développer son offre cloud

Baptisée flexible computing, la nouvelle offre cloud / IaaS d'Orange, vendue en indirect, comprend deux possibilités. D'une part, une offre de revente d'Iaas. D'autre part, une offre où le partenaire (un éditeur ou une SSII principalement) va bâtir son offre de cloud, en s'appuyant sur les infrastructures de France Télécom Orange. A ces deux types d'offres correspondent deux types de contrats de partenariat.

L'essentiel est dans le terme flexible. Orange souhaite obtenir le plus de propositions possibles de la part de ses partenaires et le plus de partenaires différents. Son offre comprend elle-même plusieurs étages : flexible computing premium, flexible computing santé. Le secteur de la santé est en effet jugé propice à ce type d'offres. Et les premiers exemples en témoignent.

Des offres déjà proposées par 20 partenaires


Ces offres sont en préparation depuis un an. Le 25 mai est la date de leur officialisation. Elles sont déjà proposées par des partenaires. Une vingtaine. Parmi eux, des éditeurs (comme Be-iTech et  Voluntis), une SSII (Open), un VAD (Amosdec) et un hébergeur (Plenium).

Be-iTech est un éditeur savoyard. Il propose un logiciel de gestion de visites médicales, MyVisiten, utilisé par les professionnels de santé à leur cabinet ou en déplacement. Ce logiciel est hébergé par Orange et le professionnel de santé peut renseigner ou accéder aux informations par le réseau Orange. Voluntis est un autre spécialiste de la santé, avec sa plate forme medassport, agréée Asip santé. Celle-ci permet d'héberger des documents du dossier médical patient, le DMP. Elle est hébergée par Orange.

La révolution du paiement à l'usage

Open, présent à l'évènement Orange, est la 1ère SSII à intégrer flexible computing comme une brique dans ses propres offres. Ses clients pourront faire héberger leurs infrastructures et leurs services chez Orange, par l'intermédiaire de la SSII avec un PRA. Open insiste également,  par la voix de son co-président Guy Mamou-Mani, sur l'importance du cloud pour elle et pour une SSII en général. « Nous avons affaire à une vraie révolution, une transformation complète du business model, avec un paiement à l'usage, comme un forfait téléphonique, ce qui change du calcul jour/homme, habituel  dans notre métier, et permettra de mieux le valoriser. »

Quant à Amosdec, il s'agit d'un tout autre partenariat. Ce VAD, partenaire de premier plan de VMware (et racheté il y a  une semaine par le géant américain Avnet) a su constituer un réseau de revendeurs aptes à commercialiser des offres de cloud de VMware. Ils vont également être incités à proposer l'IaaS d'Orange. Autre exemple, celui de Plenium, hébergeur parisien qui propose de traiter le SI des PME en temps partagé et va utiliser dans ce cadre l'Iaas d'Orange.

L'opérateur espère, en multipliant ces types de partenariats, augmenter son chiffre d'affaires dans le cloud. Il vise 500 millions d'euros de chiffre d'affaires dans ce secteur en 2015. Les revendeurs traités par la DVI, au nombre de 1 500 actuellement, connaissent déjà les offres télécoms. Flexible computing leur permet d'accéder à un autre monde. « D'opérateur télécoms, nous sommes devenus aussi un opérateur informatique », souligne Laurent Kocher, directeur entreprises France. « Cette nouvelle offre en témoigne ».
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(07/03/2011 10:24:58)

Dossier cloud computing : Où sont les standards ?

Depuis deux ans, on assiste à une déferlante du cloud computing qui veut, rappelons-le, qu'un client  ne soit plus propriétaire de son infrastructure, mais locataire d'un service rendu par un fournisseur. Et, le client paye ce qu'il consomme. Les solutions et les offres de cloud se multiplient chez les fournisseurs. C'est même devenu la priorité pour les DSI, selon les différentes études menées par les principaux cabinets Forrester, IDC et Gartner. Une priorité, certainement ... mais toujours très complexe, car les DSI se posent de nombreuses questions sur la pérennité et la sécurité des offres, les standards à retenir et l'interopérabilité des différents clouds.

>> Sommaire du dossier

Cloud computing : Son manque d'interopérabilité freine-t-il son adoption ?

IaaS : L'Open Source, avenir du cloud computing?

PaaS : Pas d'interopérabilité entre les plateformes...


SaaS : Des applications pas toujours riches en API pour assurer une interopérabilité


Interview d'Alphonso Castro, directeur de la stratégie interopérabilité chez Microsoft France.

Crédit photo : D.R.
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(25/05/2011 14:38:52)

Cray intègre GPU/CPU dans ses supercalculateurs

Le Cray XK6, qui vient d'être présenté, montre un environnement de programmation reposant sur une combinaison x86/GPU (processeur classique/graphique). « L'intégration des GPU avec nos systèmes provient de la demande des clients » précise Barry Gras, vice-président des produits Cray. Il a admis que l'entreprise n'a pas été la première à intégrer ces capacités - IBM a longtemps utilisé cette technologie pour ses propres systèmes - mais ce procédé est le plus à même et le moins coûteux pour proposer des capacités de calcul en exascale. Le modèle actuel XK6 prépare le terrain pour ce type de calcul souligne le dirigeant.

Les GPU ne sont pas destinés pour le rendu des graphiques sur l'écran, mais sont utilisés pour le traitement des grands volumes de données. En étant spécialisé, ils sont plus rapides et plus efficaces que les puces x86.

Arriver à 50 petaflops


Les équipements présentés comprendront des GPU Nvidia Tesla 20, ainsi que des processeurs AMD Opteron Série 6200 (nom de code «Interlagos») et le système d'interconnexion Gemini de Cray. Le constructeur indique qu'il peut assembler des machines XK6  jusqu'à une puissance de traitement de 50 petaflops (à titre de comparaison, les équipements en tête du classement des supercalculateurs sont capables de traiter chacun entre 2,4 et 2,5 petaflops).

La société a également annoncé le premier client de XK6, le centre de supercalcul à Manno en Suisse. Il va moderniser son système Cray XE6m, appelé « Piz Palu » vers une configuration XK6. Le centre utilise le supercalculateur dans plusieurs domaines comme les prévisions climatiques.
Les clients disposant de systèmes XT4, XT5, XT6 ou XE6 pourront migrer vers XK6 en remplaçant les lames actuelles par des modules XK6.

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