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(16/04/2012 12:16:19)

VMware réplique aux vendeurs de plateformes clouds Open Source

En réaction aux annonces faites ces derniers jours autour de systèmes d'exploitation de cloud en Open Source, VMware a riposté sur son blog la semaine dernière en rappelant à ses clients sa position de leader sur le marché dans les déploiements de clouds privés. Le spécialiste de la virtualisation s'en prend aussi à demi-mots aux plates-formes de cloud comme OpenStack, CloudStack et Eucalyptus, ouvrant une sorte de débat mettant face à face ces solutions et les offres propriétaires. « Alors que les acteurs du monde Open Source "jouent des coudes" pour se positionner sur le marché, le réseau de fournisseurs des solutions VMware, qui proposent une compatibilité entre le cloud public et les infrastructures sur site tournant sous VMware, a dépassé la centaine de partenaires. » Le billet publié sur le blog de l'entreprise assimile les vendeurs Open Source aux soeurs du conte de Cendrillon. « Alors que les vilaines soeurs se disputaient, les clients poursuivaient leur activité, optant pour la Cendrillon VMware », raconte l'auteur du billet, Mathew Lodge, directeur des plates-formes cloud chez VMware. Pour lui, 100 partenaires et 350 000 clients utilisateurs des produits VMware, c'est « d'un tout autre ordre de grandeur ».

La semaine dernière, Citrix a annoncé sa décision de faire passer son offre CloudStack sous licence Open Source, optant pour l'Apache Software Foundation. Ce choix met sa plate-forme en concurrence avec OpenStack, dont la cinquième version (nom de code Essex) vient juste d'être annoncée. Après coup, les responsables de Citrix ont minimisé la rivalité entre CloudStack et OpenStack, essayant plutôt de focaliser le débat contre VMware et d'autres offres propriétaires. « La bataille entre le monde open source et le monde propriétaire est ouverte et c'est l'open source qui va gagner », aurait récemment déclaré Peder Ulander, vice-président marketing produit au sein du Cloud Platforms Group de Citrix.

La plus grande communauté de clouds publics

Aujourd'hui, c'est au tour de VMware de riposter. L'éditeur écrit que sa famille de partenaires proposant du cloud public, et dont les offres sont relayées dans 24 pays, « forme de fait la plus grande communauté au monde de clouds publics compatibles. » Ajoutant que « l'offre vCloud, soutenue par 5 vendeurs il y a 18 mois, en comptait deux fois plus un an plus tard. Aujourd'hui, elle a franchi le cap de des 100 vendeurs, » comme le précise VMWare.

Cependant, les concurrents continuent de critiquer VMware et l'accusent notamment de verrouiller ses clients dans son écosystème propriétaire. Mathew Lodge conteste ces critiques. « Pour nous, l'ouverture signifie que les clients ont la possibilité de choisir l'endroit où ils veulent faire tourner leurs clouds », a t-il déclaré dans une interview. « Le fait d'avoir 100 vendeurs dans l'écosystème vCloud offre clairement aux clients plus de choix que n'importe quel autre fournisseur, et nous essayons de rendre la migration des charges de travail et des données aussi facile que possible. »

Les API standards, combinées avec le vCloud Connector, rendent facile la migration des données entre les clouds privés tournant sous VMware et les clouds publics des partenaires de l'éditeur. « Les fournisseurs doivent prouver qu'ils sont capables de télécharger des données depuis et vers le cloud en utilisant le vCloud Connector afin de devenir partenaire de l'écosystème », a expliqué Mathew Lodge. « L'ouverture n'a rien à voir avec la façon dont le logiciel est écrit. Ce qui compte, c'est ce que vos clients ont la possibilité de faire », a t-il ajouté.[[page]]

Pas si simple de migrer depuis AWS, estime VMware

Mais les supporters de l'Open Source considèrent que les offres de VMware ne donnent pas vraiment aux clients la liberté de choix. « On peut choisir, du moment qu'on utilise vCloud, estime Sameer Dholakia, vice-président groupe et directeur général de Cloud Platforms chez Citrix. « Dans notre monde, nous croyons qu'Open signifie Open Source ». C'est, selon lui, l'une des raisons qui a amené Citrix à passer sa plateforme CloudStack sous licence Apache. Il estime par ailleurs que parler de « clouds privés » à propos des 350 000 clients utilisant la technologie de virtualisation de serveurs de VMware est un fort abus de langage.

L'un des autres arguments des fournisseurs de clouds Open Source -en particulier de CloudStack et d'Eucalyptus- est leur compatibilité avec Amazon Web Services. Mathew Lodge, de VMware, considère pour sa part qu'en dépit du fait qu'AWS a récemment signé un partenariat pour améliorer la compatibilité de ses API avec Eucalyptus, ce n'est pas aussi simple de faire migrer des charges de travail depuis l'environnement AWS que l'écosystème VMware le permet. « C'est très difficile d'avoir une stratégie de cloud hybride lorsqu'il n'y a pas de façon aisée d'aller du cloud public au privé », exprime-t-il en évoquant AWS. Sur sa plateforme PaaS CloudFoundry, VMware a une approche différente. Cette solution Open Source, sortie il y a un an, accepte le code externe venant d'une communauté de développeurs, avec pour principale avantage de pouvoir fonctionner sur différentes infrastructures.

(...)

(16/04/2012 11:05:31)

IBM complète ses solutions analytiques avec Varicent Software

Le portefeuille de solutions d'analyse de données d'IBM s'enrichit d'un axe complémentaire. Avec le rachat de l'éditeur canadien Varicent Software, il s'agit cette fois de logiciels de gérer la performance des équipes commerciales : gestion des territoires, des quotas et de la rémunération des vendeurs. L'acquisition a été annoncée vendredi dernier, mais les termes de la transaction n'ont pas été dévoilés.

Basée à Toronto, Varicent est une société privée fondée en 2003. Elle compte 180 entreprises clientes, parmi lesquelles des banques, des compagnies d'assurance, des chaînes de boutiques, des fournisseurs de solutions IT et de services de télécommunications. On trouve parmi les sociétés ayant utilisé ses produits des groupes comme Hertz et Office Depot. L'éditeur propose deux versions de son offre, l'une destinée aux entreprises ayant entre 50 à 250 commerciaux, l'autre s'adressant aux groupes comptant plus de 250 commerciaux. Ses produits sont disponibles en mode cloud ou en version traditionnelle à installer sur site.

Des packages logiciels assignés à des applications ciblées

Varicent Software rassemble et compile des informations gérées sur différents systèmes informatiques (finance, gestion commerciale, ressources humaines...) pour analyser les ventes et disposer d'éléments pour organiser les activités. Son logiciel sera versé au portefeuille Smarter Analytics d'IBM où il s'ajoutera aux solutions d'Algorithmics, de Clarity Systems, d'OpenPages, de Cognos et de SPSS. Pour se constituer une expertise dans le domaine de l'analyse de données, IBM rappelle qu'il a racheté 28 sociétés depuis 2005, ce qui lui a permis de se constituer un écosystème de 27 000 partenaires.

Les solutions sont combinées pour proposer des packages 
couvrant des applications spécifiques comme les Smarter Analytics Signature Solutions destinées à la détection des fraudes, par exemple, ou encore à l'optimisation de la gestion financière ou de la relation client. IBM a aussi récemment annoncé les Smart Analytics Systems associant une plateforme matérielle avec des logiciels analytiques, de la BI (business intelligence) et des systèmes de traitement d'importants volumes de transactions. 

Big Blue prévoit de générer 16 milliards de dollars d'ici 2015 dans la commercialisation de systèmes d'analyse de données et de services associés. Il dit réunir à ce jour près de 9 000 consultants et équipes opérationnelles se consacrant à ces systèmes. S'y ajoutent 400 chercheurs travaillant dans ce domaine, qui garantissent au groupe américain plusieurs centaines de brevets par an.

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(16/04/2012 09:28:31)

Concours Open App : 1 400 idées d'apps mobiles pour le Transilien

Le jury du concours Open App, lancé par la SNCF, a déjà retenu 100 propositions. Sur fond d'initiative Open Data, les usagers du réseau de trains de banlieue Transilien peuvent soumettre des idées d'applications mobiles qui pourraient être réalisées à partir des données que la SNCF rend publiques. Le "jeu" prend fin le 4 mai 2012. L'idée qui, pour l'heure, recueille le plus de votes de la part des internautes est intitulée "Brèves de gares". La fonctionnalité doit permettre à tous les voyageurs Transilien de capturer des moments de leur trajet, en vidéo, et de les poster pour les partager avec les autres usagers, qui voteront pour leur préférée. Tous les mois, la SNCF s'engage à diffuser sur son site celle qui aura recueilli le plus de suffrages.

Deuxième sur le podium, l'application "Tranquillité". Créée principalement pour les personnes qui ne veulent pas se retrouver seules dans une rame de train, elle doit aider à retrouver le wagon le plus rempli pour faire son trajet à plusieurs. Le Top 3 des outils préférés par les internautes est complété par "Transifoule". Son objectif : aider à réguler le trafic des trains et des gares en signalant les rames bondées. Ainsi, les voyageurs savent à quelle heure prendre le train le moins fréquenté.

Utiliser son mobile comme un passe Navigo

Parmi les autres idées intéressantes soumises récemment, l"application qui fait office de Navigo". Reposant sur la technologie sans contact, elle permettrait aux voyageurs de n'avoir qu'à utiliser leur portable pour franchir les portillons de contrôle. Pratique aussi, le module "CestMaFaute by Transilien". Avec cette application, le voyageur en retard à cause de son train reçoit sur son portable un justificatif transmis par la SNCF, à présenter à son patron, ou à son professeur.

A ce jour, plus de 1 400 idées ont été reçues parmi lesquelles le jury en a retenu une centaine. Les internautes peuvent voter pour leur préférées sur le site consacré au concours. L'événement est lancé dans le cadre de l'"Open data" de la SNCF, qui consiste à rendre publiques les données confidentielles du transporteur, pour permettre au plus grand nombre de développer des outils pour smartphones.

Les propositions peuvent être postées sur le site de l'événement : Openapp.transilien.com. Le gagnant du concours remportera un an de train en première classe, sur tout le réseau SNCF.

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(16/04/2012 09:35:49)

Les équipes marketing personnalisent l'e-mail avec MailInBlack

L'éditeur MailinBlack, connu pour ses logiciels antispam lance une nouvelle activité, dans la gestion des emails, sans notion de sécurité. Il a lancé deux produits : MailinBlack Footprint et Accueil Numérique qui permettent de personnaliser les signatures des e-mails (accompagnées de messages marketing) et de gérer l'accueil des nouveaux correspondants.

Cette gestion de la communication à partir des emails appelle une nouvelle forme de revente. « Nous passons par un large panel d'agences de communication, nous explique Damien Neyret, directeur délégué de la société : des agences de communication, de web agency, des spécialistes de la e-reputation, qui vont agir en apporteurs d'affaires et en conseil ».

Cette nouvelle activité devrait représenter 50% du chiffre d'affaires de l'éditeur dès cette année et amener un nouveau canal de distribution, en plus de celui qui revend les antispams (une centaine de revendeurs, dont trente actifs).

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(13/04/2012 14:29:11)

Intel sortira ce trimestre ses puces serveur à transistor 3D

Intel livrera ses premières puces serveur Xeon intégrant des transistors 3D au cours de ce trimestre. L'arrivée de ces puces risque, selon les analystes, d'intensifier la bataille entre Intel et son rival AMD sur le marché du hardware pour le cloud. Les nouvelles puces Xeon sont basées sur la microarchitecture Ivy Bridge à venir et sont destinées à équiper en premier lieu les microserveurs, comme l'a indiqué Intel. Ces serveurs émergents présentent l'avantage d'être des matériels à basse consommation, intégrant des composants partagés conçus principalement pour les serveurs web et les applications cloud.

Les nouvelles puces remplaceront les Xeon E3 existantes, basées sur la microarchitecture Sandy Bridge, qu'Intel avait sortie en mars 2011 pour lancer le microserveur. La popularité de ces types de machines, encore à leurs débuts, devrait augmenter en même temps que les services web et cloud des datacenters. Actuellement, Intel domine le secteur des centres de calcul et les puces du fondeur sont utilisées dans la majorité des serveurs livrés aujourd'hui. Mais le fabricant a beaucoup investi dans les microserveurs afin de proposer une alternative basse-consommation aux systèmes traditionnels, en racks, blades ou en tours, qui doivent supporter des charges de travail toujours plus intenses, notamment pour gérer les bases de données.

Des puces 37% plus rapides 32 nm à transistors 2D

Selon Intel, à quantité d'énergie consommée égale, les nouvelles puces Xeon pour microserveurs surpasseront les puces précédentes. Ces améliorations sont dûes en grande partie aux transistors 3D qui entrent dans le nouveau procédé de fabrication à 22 nanomètres du fondeur. Intel indique que les transistors 3D consommeront un peu moins de la moitié de l'énergie tout en étant 37% plus rapides que les puces existantes fabriquées selon le processus à 32 nm mettant en oeuvre des transistors 2D. La technologie des transistors 3D Tri-Gate remplace l'agencement plat à deux dimensions par une structure en trois dimensions réalisée à partir du substrat de silicium. Le site technologique Anandtech affirme que les performances du processeur Ivy Bridge seront 5 à 15% supérieures à celles du chip Sandy Bridge.

La stratégie d'Intel pour étendre sa présence dans le secteur des microserveurs s'appuyait aussi sur un partenariat avec le fabriquant de serveurs ultra-denses SeaMicro. Mais celui-ci a été absordé par AMD fin février pour la somme de 334 millions de dollars. Pour riposter à cette acquisition, considérée comme un revers pour Intel, le fondeur a annoncé qu'il développerait sa propre technologie I/O et sa propre puce pour améliorer les performances des microserveurs. « Ces appareils seront de plus en plus pertinents pour répondre aux contraintes physiques et économiques auxquelles sont confrontées les datacenters », a déclaré Dan Olds, analyste principal pour le Gabriel Consulting Group. « Si l'on regarde du côté du calcul haute performance, on voit tout de suite que la principale limitation concerne le facteur énergétique. Il est inévitable que cette contrainte devienne un élément de premier plan», a encore déclaré l'analyste.

Intel et AMD se font activement concurrence sur ce marché du microserveur pour répondre à ces limitations. Le premier occupe le terrain des performances, quand le deuxième mise largement sur le prix, estime Dan Olds.

Puce Atom à basse consommation au 2e trimestre

Récemment, AMD a lancé ses puces Opteron 3200 pour microserveurs qui, selon lui, offre un coût par coeur peu élevé. Les AMD 3200 sont vendus entre 99 et 129 dollars, alors que le prix des processeurs E3 d'Intel démarre à 189 dollars. Selon les analystes, AMD devrait aussi remplacer les puces Intel actuellement utilisées dans les serveurs SeaMicro avec des puces Opteron. « Les nouvelles puces d'Intel sont plus performantes, mais l'adoption des microserveurs pourrait finalement dépendre de l'application finale », a déclaré Dean McCarron, analyste principal chez Mercury Research. « Pour les entreprises qui ont besoin d'évolutivité, le prix est peut-être un élément moins important », selon lui.

« Différents modèles de microserveurs viennent juste d'arriver sur le marché. La concurrence entre Intel et AMD est intense pour gagner sa place dans les mega centres de calcul où sont déployés des milliers de serveurs destinés à traiter les applications cloud, un domaine où la demande est très forte », a déclaré Dean McCarron. Intel a également dit qu'il livrerait bientôt sa puce Atom basse consommation pour les microserveurs au deuxième semestre 2012. La puce 64 bit consommera 6 watts et offrira toutes les fonctionnalités clés des serveurs, notamment la virtualisation et la mémoire ECC. La puce sera fabriquée selon le processus de gravure à 32 nanomètres et ne comprendra donc pas de transistors 3D.

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(13/04/2012 12:56:45)

Oracle va livrer 88 correctifs dont certains très urgents

Oracle s'apprête à fournir mardi une mise à jour de 88 correctifs de sécurité pour intervenir sur des vulnérabilités affectant un large éventail de produits. Cette livraison programmée est plus importante que celle du dernier trimestre qui rectifiait alors 78 problèmes.

Sur son site, l'éditeur met ses clients en garde. En raison de la menace provoquée par une attaquée réussie, il recommande vivement que les correctifs  apportés par ce « Critical Patch Update » soient appliqués aussi rapidement que possible.

Celui-ci comprend d'abord six rustines pour la base de données Oracle, trois des failles concernées pouvant être exploitées à distance sans nom d'utilisateur ni mot de passe. Suivant le système de notation CVSS qui évalue la dangerosité d'une vulnérabilité, la note la plus élevée pour ces bugs monte jusqu'à 9 sur une échelle de 10(*).

La note CVSS monte à 10 pour la JVM JRockit

Onze autres patches sont destinés à différents produits de la gamme Fusion Middleware, dont neuf pour des failles exploitables à distance sans authentification. Dans ce groupe de correctifs, la note CVSS la plus élevée monte à 10 et concerne la machine virtuelle Java JRockit. Les autres logiciels affectés comportent BI Publisher, Oracle Application Server 10g, Identity Manager, JDeveloper, Outside In Technology et WebCenter Forms Recognition.

La mise à jour de mardi comprend aussi six patches pour Oracle Enterprise Manager Grid Control, quatre pour la suite de gestion intégrée (l'ERP) E-Business Suite, cinq pour la Supply Chain Suite, quinze pour différentes applications de PeopleSoft Enterprise, dix-sept pour la solution Financial Services, deux pour Industry Applications et une, enfin, pour le logiciel de gestion de projets Primavera. Il y a également des rustines pour Siebel Life Sciences, Flexcube Direct Bankin et Universal Banking, Agile et Autovue.

La liste de correctifs annoncée par Oracle se poursuit avec quinze rectificatifs pour les produits Sun, incluant le serveur d'application GlassFish, le système d'exploitation Solaris et la base de données Open Source MySQL.

(*) Les notes du système CVSS (Common Vulnerability Scoring System) vont de 0 à 10 (10 correspondant à un danger très élevé).

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(13/04/2012 10:58:52)

Google étend au monde son app de flux d'actualités

Google a annoncé hier la disponibilité de son application Google Currents (ou Google Flux en Français) à l'international, dans une cinquantaine de pays, alors que celle-ci avait été lancée en décembre dernier aux Etats-Unis. Cette application, disponible pour Android et pour iOS, permet de faire apparaître des articles fournis par des sites d'informations sous une forme plus confortable à la lecture sur un terminal mobile, tel un flipboard.

Des medias comme The Guardian en Grande-Bretagne, LaStampa en Italie, le Financial Times Deutschland en Allemagne, ABC News en Australie et l'Hindustan Times en Inde ont fait leur entrée dans Google Flux. Il n'est pour le moment fait aucune mention d'une publication en Français.

Une mise à jour dynamique à l'ouverture de l'application a été intégrée à cette nouvelle version pour que le lecteur dispose en continu des dernières informations, par ailleurs consultables hors-ligne. Autre nouveauté de cette version internationale : la possibilité de faire appel à Google traduction pour obtenir en un clic une version traduite d'un article dans une des 38 langues supportées.

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(13/04/2012 10:48:47)

Pour refondre son informatique de gestion, Remy Cointreau a fait appel à Equitime

Rémy Cointreau fabrique et distribue des vins et spiritueux sous des marques comme Rémy Martin, Louis XIII, Cointreau, Passoa, Metaxa, Mount Gay Rum, St-Rémy, Piper-Heidsieck, Charles Heidsieck... Son activité se répartie équitablement entre les zones Europe, Asie et Amériques. En France, il dispose de 1 621 salariés répartis entre ses sites de Cognac, Angers et Paris.

En 2010, dans le cadre de la refonte de son informatique de gestion datant d'une quinzaine d'années, le groupe a fait le choix d'adopter pour chaque module une solution spécifique couvrant au mieux ses besoins. Parmi les chantiers à réaliser, celle de la gestion des temps était une priorité.

Six mois de tests avant validation finale

Un groupe de travail RH/Informatique a alors constitué un cahier des charges. La SSII Logica a été chargée de présenter plusieurs solutions du marché. Sélectionnée parmi 4 éditeurs, la solution AgileTime d'Equitime a été retenue et déployée en version bêta durant six mois avant de donner entière satisfaction.

Désormais, l'ensemble des personnels disposent d'un portail de gestion des temps intégrant un workflow de traitement, par exemple pour les demandes de congés. A terme, il est envisagé que les managers puissent traiter de telles demandes à partir de leurs smartphones.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé. (...)

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