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(13/10/2009 16:13:39)

Pourquoi faut-il synchroniser les sorties des logiciels libres : interview du père d'Ubuntu

Lors de son discours à l'Open World Forum, Mark Shuttleworth, fondateur de Canonical, qui édite Ubuntu, l'une des distributions Linux les plus populaires, avait prôné une sortie synchronisée des logiciels libres, tous les deux ans, de façon à simplifier les tests d'intégration et à assurer les utilisateurs des plateformes stables, avec un support à long terme. Suite à ce discours unique dans le monde du Libre, nous avons pu passer quelques minutes avec cet ancien développeur Debian devenu millionnaire (avec la vente de Thawte à Verisign, en 1999), afin de préciser comment il espère aboutir à cette coordination des développements. L'interview est à lire et à commenter sur le blog Ingénierie logicielle. (...)

(12/10/2009 16:49:34)

OpenWorld 2009 : Oracle et Sun s'auto-félicitent d'un rachat qui reste à valider

C'est ensemble que le président de Sun, Scott McNealy et le CEO d'Oracle, Larry Ellison sont montés sur scène pour ouvrir la conférence OpenWorld 2009 d'Oracle, dimanche soir. Le duo a tenu à rassurer l'assistance en répétant que, malgré le rachat de Sun par Oracle, toutes les technologies du premier allaient perdurer : depuis le langage Java jusqu'à l'OS Solaris en passant par les processeurs Sparc et la technologie de stockage de Sun. « Oracle compte dépenser davantage d'argent dans les développements de Sparc que Sun ne le fait actuellement », a même précisé Scott McNealy. Alors que Larry Ellison, de son côté, a tenu à répondre à IBM qui répand la rumeur de l'abandon de certaines offres de Sun, et en particulier, du catalogue matériel. « Nous sommes impatients d'entrer sur le marché des systèmes face à IBM et la combinaison de Sun avec Oracle est tout à fait équipée pour. » Le CEO d'Oracle a même promis 10 M$ à toute entreprise dont les applications sur base de données ne tourneraient pas au moins deux fois plus vite sur une infrastructure Sun. Puis, Larry Ellison a ajouté, sans plaisanter, que Solaris était aujourd'hui le système leader en entreprise et pour l'exécution d'une base Oracle. « Nous ne vendrons pas l'activité matérielle et nous pensons que Sparc est une technologie fantastique », a-t-il ajouté. Sur scène, James Gosling, l'un des pères du langage Java Oracle a aussi promis d'augmenter ses investissements dans MySQL, la base Open Source de Sun. Il a rappelé que, alors que tout le monde pensait qu'il allait le 'tuer', il avait continué de supporter le moteur transactionnel Innobase de MySQL. Pour évoquer Java, morceau de choix du package hérité de Sun, Scott McNealy a appelé sur scène celui que l'on considère comme l'un des pères du langage, James Gosling, vice-président de Sun. Pour lui, « le mix produits d'Oracle intègre bel et bien Java et l'éditeur a déjà participé à de nombreuses Java Specification Requests (JSR) ». Les JSR sont les procédés au travers desquels les modifications de la plateforme sont soumises à la Communauté Open Source. Oracle aurait néanmoins été quelque peu submergé par le volume d'activité du monde Java. « Il y a en moyenne 15 millions de téléchargements de la JRE (Java Runtime Edition) par semaine », a rappelé James Gosling. Enfin John Fowler, vice-président des systèmes chez Sun a clos le bal des auto-congratulations. « Mon équipe est très heureuse à l'idée de travailler aussi près d'Oracle car nous avons déjà travaillé ensemble durant plusieurs décennies ». Il s'est aussi félicité des récents tests de performance de la plateforme Sun-Oracle et de l'introduction récente de l'Exadata Database Machine Version 2 qui combine du matériel Sun avec une base et un système d'administration de stockage Oracle. Reste qu'Oracle, tout comme Sun, devront encore attendre la validation de l'acquisition par la Commission Européenne qui étudie toujours le dossier. (...)

(07/10/2009 16:41:15)

Le pôle de compétitivité System@tic adhère au Syntec Informatique

Le pôle de compétitivité System@tic Paris-Region, qui rassemble quelque 400 acteurs dans le secteur de la conception et de l'intégration de systèmes embarqués, vient d'adhérer à la chambre professionnelle Syntec Informatique. Les deux organisations collaborent déjà depuis 2006 sur la stratégie de développement de l'industrie française de l'embarqué. Avec trois autres pôles, la DGE et le CEA, ils ont notamment travaillé à la 'Common Technical Baseline for Embedded Systems', un référentiel commun européen destiné à faciliter les échanges au sein de l'écosystème de l'embarqué. Ce référentiel fournit notamment une cartographie des acteurs du marché, suivant leur spécificité. Il déroule aussi le vocabulaire utilisé autour des métiers et des compétences. System@tic Paris-Region, qui compte de nombreuses PME parmi ses membres, a accueilli il y a deux ans le groupe thématique Logiciel libre impliqué sur les problématiques de l'embarqué. Avec Syntec Informatique, le pôle prévoit notamment de poursuivre sa collaboration dans les domaines du Green IT et de l'e-Santé. (...)

(07/10/2009 16:20:18)

Michel Cosnard de l'Inria et Andrew Herbert de Microsoft Research évoquent le futur de leur collaboration

Microsoft Research et l'Inria ont reconduit pour 4 ans leur partenariat de recherche signé il y a 4 ans. La cérémonie a eu lieu dans les locaux du nouveau siège de Microsoft France à Issy-les-Moulineaux en la présence de Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche et de Steve Ballmer, Président et CEO de Microsoft. Mais ce sont Michel Cosnard, PDG de l'Inria et Andrew Herbert, directeur général de Microsoft Research à Cambridge au Royaume-Uni, qui ont paraphé les documents officiels. Ils ont ensuite consacré quelques minutes au MondeInformatique.fr pour commenter leur collaboration et donner quelques pistes sur leurs travaux futurs. Lire l'entretien avec Michel Cosnard de l'Inria et Andrew Herbert de Microsoft Research (...)

(07/10/2009 12:36:08)

Microsoft et l'Inria renouvellent leur partenariat autour de la recherche

Hier, mardi 6 octobre, le géant Microsoft et l'Institut national de recherche en informatique et automatique (Inria) ont renouvelé pour quatre ans leur partenariat autour de la recherche en logiciel. Steve Ballmer en personne, Président et CEO de Microsoft, a consacré plus d'une heure de son emploi du temps très chargé de la journée, à parrainer cette signature. Valérie Pécresse, Ministre de la Recherche et de l'Enseignement supérieur a également tenu à être présente. Les deux VIP entouraient Michel Cosnard, PDG de l'Inria et Andrew Herbert, directeur général de Microsoft Research à Cambridge au Royaume-Uni. Cette collaboration, officialisée il y a quatre ans entre le géant du logiciel et l'institut de recherche français, s'est focalisée sur deux domaines de travail que sont les méthodes formelles pour la qualité et la sécurité logicielle, et les outils et méthodes informatiques au service des sciences. Dans un entretien accordé au MondeInformatique.fr, Michel Cosnard et Andrew Herbert, ont évoqué entre autres l'intention des deux partenaires de poursuivre prochainement une troisième voie : les environnements pour les architectures multicoeurs. Ballmer : « j'ai rencontré certains de mes héros dans ce laboratoire ! » Pour Steve Ballmer, ce partenariat est « bon pour Microsoft, bon pour l'Inria, mais aussi bon pour l'avancée des sciences informatiques et pour l'innovation. » Il a souhaité rappeler combien la recherche était essentielle chez Microsoft. « C'est la raison pour laquelle nous investissons 9 Md$ annuels en R&D - et 600 M$ rien qu'en Europe. Ce qui peut paraître beaucoup en ces temps difficiles, mais est indispensable. C'est la preuve de notre engagement vis à vis de la recherche, mais aussi de l'innovation. » Puis le successeur de Bill Gates a évoqué l'émotion très personnelle qu'il avait éprouvée à la création de ce centre de recherche : « Les mathématiques ont été mon sujet d'études à l'université. Et dans ce laboratoire commun, j'ai rencontré certains de mes héros ! » Quant à Valérie Pécresse, elle a rappelé sans complexe au patron du numéro un mondial du logiciel qu'il devenait de plus en plus intéressant d'investir dans la recherche en France puisque le crédit impôt recherche avait triplé depuis la création du centre commun. « Il est encore plus intéressant d'investir dans l'Inria qu'il y a 4 ans, et je voulais vous le dire. » Mais la ministre a aussi ajouté qu'une telle « politique fiscale n'aurait pas de sens, si la France n'avait pas aussi un environnement de recherche du plus haut niveau. « Vous avez choisi un pays dynamique où l'informatique est une des trois priorités de la recherche. » Comme prévu, tous les résultats sont à la disposition de la communauté scientifique Sans surprise, les protagonistes se sont félicités de la réussite de leur partenariat. Plusieurs projets se sont déjà concrétisés parmi lesquels le dictionnaire numérique DDMF de fonctions mathématiques et un système de vérification des preuves pour les programmes TLA+ en environnements distribués. 118 articles ont déjà été publiés sur les deux thématiques traitées par le centre Inria/Microsoft durant ces quatre dernières années. « Les six projets sur lesquels des résultats ont déjà été obtenus ont tous été publiés et mis à la disposition de la communauté scientifique, comme prévu », a aussi tenu à préciser Michel Cosnard. Enfin, comme l'a ajouté Andrew Herbert dans son discours précédant la signature officielle, de nombreux jeunes chercheurs ont été formés dans le cadre de cette collaboration. Le centre commun réunit une vingtaine de chercheurs de Microsoft et de l'Inria qui travaillent avec une cinquantaine d'autres chercheurs issus du CNRS, de l'Ecole Normale Supérieure, de Polytechnique, de l'Université Paris Sud, etc. En revanche, ni Microsoft ni l'Inria n'ont précisé les montants qui seraient investis dans cette seconde période de leur partenariat. (...)

(07/10/2009 09:00:35)

Adobe Max : coup de projecteur sur les projets R&D d'Adobe

Séquence traditionnellement très attendue des Adobe Max, le moment des « sneak peeks » n'a pas non plus déçu cette année. C'est à cette occasion qu'Adobe montre à ses utilisateurs ce que certains de ses employés ont mis au point, souvent en-dehors de tout processus d'entreprise, d'ailleurs. D'où une mise en garde souvent répétée : il s'agit d'applications ou de fonctions qui pourraient ne jamais se retrouver dans un produit. Mais la réaction du public présent est chaque année la même : vivement que ces logiciels soient utilisables ! De fait, certaines démonstrations avaient de quoi laisser pantois. Les « sneak peeks » ont en outre bénéficié d'une thématique qui avait déjà chauffé le public. Placée sous le signe de la Guerre des étoiles, la séquence était présentée par Mark Hamill (le Luke Skywalker original), et nombre d'ingénieurs Adobe venus présenter leurs inventions sur scène avaient fait l'effort de se costumer, en Han Solo, princesse Leia, voire en Chewbacca (photo ci-dessus)... Et ce sous le regard impénétrable d'un Stormtrooper (guerrier de l'Empire), gardien du temps de parole. La modification du code visible pendant l'exécution de l'application Parmi les projets les plus remarquables, beaucoup étaient liés à la programmation. Le public rassemblé pour cet Adobe Max à Los Angeles a ainsi pu voir un outil pour exécuter sur le serveur le code d'un jeu Flash pour mobile, un framework pour simplifier le développement d'applications AIR (s'exécutant grâce au Flash Player) pour les mobiles, ainsi qu'un outil bluffant, donnant la possibilité, lors du développement d'une application Flex, de mettre l'application sur pause, de modifier le code source, puis de reprendre l'exécution en constatant immédiatement les changements. La conception de pages Web a aussi eu droit à quelques avancées apparemment très attendues, à entendre la réaction du public. Un collaborateur d'Adobe a ainsi présenté une fonction pour Fireworks, l'outil de prototypage de pages Web, d'annulation hiérarchisée. La démonstration n'ayant pas fonctionné (le seul bug de tous ces « sneak peeks »), le développeur a expliqué qu'il s'agit de donner la possibilité d'annuler une ou plusieurs actions sur un ou plusieurs éléments de façon sélective, et non pas seulement chronologique. Plus fort, une fonction de copier-coller pour insérer des animations Flash directement sur des pages HTML 5 dans Dreamweaver. La retouche d'image intelligente dans Photoshop Les adeptes de Photoshop - et tous ceux qui ont un jour sué sang et eau pour retoucher une photographie - se sont ensuite extasiés sur des fonctions « context aware » pour Photoshop permettant de recréer le fond d'une photo lorsqu'on enlève un élément. La démonstration de Dan Goldman a fonctionné pour des objets, des traces typiques des vieilles photos scannées, des animaux... Une fois recouverts par l'outil de « spot healing », ils ont dans la plupart des cas disparu de l'image comme s'ils n'avaient jamais été là. La démonstration a également fonctionné avec l'outil de sélection de zone. Cette fois, c'est un arbre qui a été entouré et a disparu, Photoshop ayant recréé le ciel à sa place. Les flux Twitter échangés lors de la conférence ont débordé de commentaires dithyrambiques, du simple « stupéfiant » au « j'en reste bouche bée ». Ce type d'amélioration a largement ses chances de voir le jour dans une prochaine version du logiciel d'Adobe. On n'en dira pas autant du projet probablement le plus ambitieux, Rome. Cette application AIR de Greg Rewis rassemble en effet en un seul outil l'essentiel des fonctions de la Creative Suite 4 d'Adobe pour la publication de PDF, de pages Web, d'applications Flash... D'une interface très épurée, l'application développe des menus et des sous-menus contextuels au passage de la souris. Ainsi, Greg Rewis a pu importer un fichier PSD (natif Photoshop), et son outil a repéré les couches composant l'image, et présenté tous les menus nécessaires pour les modifier. L'application s'est aussi montrée capable d'importer une vidéo FLV, de l'intégrer comme on peut le faire dans Dreamweaver, ou encore de positionner du texte comme dans InDesign, ou de créer des enchaînements comme dans Illustrator... Cela représente 20 000 lignes de code ActionScript, a précisé Greg Rewis. Nul doute que si Adobe se décide à commercialiser ce projet, il faudra que l'éditeur travaille son positionnement par rapport à la CS4 aux petits oignons. (...)

(07/10/2009 09:00:31)

Adobe Max : Flash positionné comme une interface professionnelle

« Le problème avec les applications d'entreprise, c'est qu'elles ressemblent à des applications d'entreprise. Mais cela n'est pas une fatalité. » En ce deuxième jour de la conférence utilisateurs Adobe à Los Angeles, le produit vedette a encore été Flash. La technologie d'animations et de vidéos qu'Adobe s'est appropriée en rachetant Macromedia (on l'oublierait presque, tellement le discours de l'éditeur tourne tout entier autour d'elle) n'est pas là que pour faire joli sur des pages Web. Adobe veut partir de son assise indiscutable sur les postes clients (94% des PC disposeraient de la dernière version du Flash Player) pour convaincre les entreprises que Flash est l'outil idéal pour visualiser et interagir avec des données. D'où cette remarque de Ben Forta, évangéliste plateforme chez Adobe, sur l'ergonomie habituelle des applications d'entreprise. Plusieurs exemples d'applications utilisant Flash pour leur interface ont été donnés, à commencer par l'impressionnant système de suivi en temps réel des camions de livraison de FedEx. Adam Mollenkopf, responsable du projet chez le transporteur, est monté sur scène, devant 4 à 5 000 personnes, pour montrer les différentes possibilités de son application, basée sur Flex, le framework d'Adobe pour connecter des services de données à des interfaces Flash, et sur ArcGis Flex API, un service fourni par Esri, éditeur de logiciels de cartographie, pour connecter Flex à ses propres cartes géographiques et routières (cf. photo ci-dessus). Des données en temps réel, dans un format graphique Sur la gauche de l'écran, la carte indique le nombre et la position des véhicules FedEx. Au fur et à mesure des zooms effectués sur la carte, les informations sont de plus en plus détaillées. Un panneau d'information, à droite, indique notamment les heures de livraison prévues et les éventuels délais à prévoir en fonction de la localisation obtenue par GPS et de la vitesse du véhicule. D'autres informations sont exploitées, comme les sondes de température pour les camions frigorifiques ; le tout en temps réel et de façon très graphique. Pour Adam Mollenkopf, cette présentation est nécessaire pour gérer de façon efficace un tel flot de données. FedEx a également exploité Flash pour donner des informations de suivi de livraison à ses clients : ces derniers peuvent télécharger une application AIR (le client autonome riche d'Adobe) qui se connecte au serveur de FedEx, et alerte l'utilisateur lors des différentes étapes de la livraison. Plus tard dans la journée, Thomas Gonzalez, directeur général de Brightpoint Consulting, est revenu sur les différents services de visualisation de données capables de se connecter avec Flex. Grand utilisateur des composants d'Ilog, Thomas Gonzalez s'est dit frustré de ne pas pouvoir personnaliser les types de graphiques possibles en fonction de la nature des données. Peu à l'aise avec le projet Open Source Flare, il a fini par créer son propre framework graphique en Open Source : Axiis. Son site montre une collection déjà impressionnante d'exemples de graphiques très originaux. Flash pour de la réalité augmentée Plus original encore, Kevin Lynch, directeur technique d'Adobe, a donné mardi un aperçu d'interfaces de réalité augmentée réalisées avec Flash, pour le Web : un clip du chanteur et guitariste John Mayer dont l'internaute devient un élément moteur, mais aussi une application moins ludique mais franchement pratique, de la poste américaine (USPS, United States Postal Services), le Virtual Box Simulator. Ce service, en production, permet de sélectionner, depuis chez soi, le type de carton correspondant à l'objet qu'on souhaite envoyer. Le service s'active en présentant un code visuel (à imprimer depuis le site d'USPS) face à sa webcam. Apparaît alors à l'écran un carton superposé à l'image que renvoie la webcam, comme s'il s'agissait d'un hologramme. L'internaute peut alors placer l'objet à envoyer dans le champ de la webcam, pour voir à l'écran si la taille de carton convient, et faire défiler les différents emballages possibles jusqu'à trouver le bon. (...)

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