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Développement
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(21/03/2011 10:10:36)
Développement : ALM 11 lancé, HP évoque l'étape suivante
HP a montré la semaine dernière à ses clients français les dernières évolutions de sa plateforme de gestion du cycle de vie des applications, ALM 11, qui inclut les offres Quality Center et Performance Center 11, héritées du rachat de Mercury en 2006. Ce lancement englobe en fait huit nouvelles versions de produits (*). Une livraison très attendue si l'on en juge par l'affluence des participants, près de 350 personnes à Paris, vendredi 18 mars, qui n'ont pas pu toutes trouver place assise pour assister à la présentation.
En préambule, Bruno Buffenoir, directeur HP Software France, a rappelé que l'arrivée d'une génération rompue à l'usage des nouvelles technologies amenait à repenser la manière dont sont construits les services pour cette communauté. La « Supply chain IT » consiste désormais à créer une chaîne continue et itérative capable d'intégrer les demandes des utilisateurs lorsqu'elles se présentent. « Il faut prendre en compte une logique de cycle de vie des applications avec des solutions qui permettent de travailler avec les métiers pour construire des cycles vertueux », assure-t-il. L'objectif est de pouvoir partager « très concrètement les informations dans l'ensemble du flux de la chaîne d'approvisionnement IT, non seulement dans l'ALM, mais aussi avec les autres composants, avec des objets que l'on utilise tout au long de la chaîne, des modèles applicatifs que l'on va pouvoir reprendre, des services à partager... » HP a également ouvert sa plateforme ALM 11 vers les différents environnements utilisés par les développeurs, en particulier Eclipse, Visual Studio et Collab.net.
Un référentiel unique pour l'ensemble des informations
Yrieix Garnier, directeur des opérations produits chez HP Software, et ancien de Mercury, a rappelé l'évolution importante de l'offre ces dernières années. « Il y a 5 ou 10 ans, notre coeur de métier se situait sur la partie Delivery, nous avons maintenant étendu nos solutions au cycle de vie complet des applications. » Avec une prise en compte des différents niveaux de ce cycle, en partant de la gestion du portefeuille de projets et des règles d'architecture à imposer sur les différents projets puis, après le delivery, la supervision, l'optimisation et la maintenance, jusqu'à la gestion du changement et à l'archivage des données en fin de vie de l'application. L'une des avancées principales qu'apporte ALM 11 est de pouvoir partager dans un référentiel unique l'ensemble des informations entre tous les acteurs du cycle de vie des applications.
Evoluant auprès des équipes R&D californiennes d'HP, Yrieix Garnier a par ailleurs évoqué les pistes explorées pour les prochaines versions d'ALM. Le premier axe de travail porte sur la capacité à pouvoir gérer l'ensemble des composants de l'application dans une solution unique. Il s'agira d'un processus d'application composite proposant une seule plateforme pour les différents niveaux situés derrière les processus métiers (définition et test, validation de la performance et fonctionnelle, validation de la couche composants et services).
A venir, une interface intuitive pour gérer les projets
Le deuxième axe de travail de la R&D porte sur l'agilité. « Etre plus réactif, cela engendre de la complexité. Il faut donc permettre davantage de collaboration entre les différents acteurs que sont les développeurs, les analystes métiers et les équipes de l'assurance qualité », expose le directeur des opérations produits. « Nous travaillons sur le niveau suivant, c'est-à-dire sur une interface entièrement nouvelle pour gérer les projets, avec un accent mis sur l'intuitivité. »
Illustration : Gérer le cycle de vie complet des applications (source HP)
(*) Outre ALM 11, Quality Center 11, Performance Center 11, Sprinter 11, LoadRunner 11, Functional Testing 11, Data Management 1.1 et Service Test 11.
Migration : Les utilisateurs de Quality Center Enterprise 10 pourront évoluer vers QC Enterprise 11, ceux de QC Premier 10 vers ALM 11 et ceux de Performance Center 9.5 vers Performance Center 11. [[page]]
A venir, une interface intuitive pour gérer les projets
Il s'agira d'une solution flexible quel que soit le type de méthode utilisée (itérative, Agile, V, Water-Scrum-Fall...), avec un support de l'intégration continue. Ce sont des fonctionnalités qui sont attendues par les utilisateurs, souligne Yrieix Garnier. Au-delà de la gestion des anomalies, des exigences, des tests et de la planification, déjà prises en compte, HP travaille à l'ajout des parties métiers, code et build. Ce qui permettra de savoir, lorsque l'on modifiera du code, quels seront les différents tests qui devront être exécutés. Le tout relié par une couche « d'intelligence » enrobant les différentes entités situées dans le référentiel, laisse miroiter la R&D d'HP.
Légende : En préparation dans les équipes de R&D de HP, une interface visant à renforcer la collaboration entre les différents acteurs d'un projet (une vision à trois ans susceptible d'être modifiée, avertit conventionnellement HP - cliquer ici pour agrandir l'image).
Processus de vérification du build
Le troisième axe de travail, poursuit Yrieix Garnier, c'est le DevOps, une problématique d'amélioration de la qualité des développements qui monte en puissance. C'est le passage du développement à l'opérationnel, de la préproduction à la production. Il y a là de nombreux domaines à creuser, souligne le directeur des opérations produits : « Comment faire correctement la transition entre les différents environnements, comment faire la vérification du build, avec une validation continue beaucoup plus proche de la réalité de nos utilisateurs ALM 11, pouvoir définir quelle est la typologie de mon application... » Lorsque l'on va vers un build journalier, on va pouvoir lancer automatiquement l'ensemble des scripts et l'édition des rapports.
Yrieix Garnier n'a pas oublié de rappeler la toute récente intervention du nouveau PDG d'HP, Léo Apotheker, et ses annonces autour du cloud public. La plateforme ALM aidera notamment à gérer les déploiements sur les clouds hybrides. Cette partie cloud est prise en compte sur tous les axes de travail de la R&D.
Selon certains experts, Android violerait la licence de Linux
Déjà soumis à la pression d'Oracle, qui le poursuit devant les tribunaux au motif qu'Android violerait les brevets et les droits d'auteur de Java, Google est face à un autre problème qui concerne Linux. Cette dernière affaire pose un problème distinct et n'a motivé jusqu'à présent aucune plainte. Mais un certain nombre d'observateurs qui suivent de près les questions de propriété intellectuelle ont publié des points de vue mettant en question l'utilisation du code Linux sous licence GPL version 2 dans Android.
Alors que le noyau Linux est open source et disponible gratuitement pour les développeurs, ceux qui utilisent et distribuent des logiciels dérivés sont tenus de respecter de strictes exigences de licence. Le litige éventuel est lié au concept de « copyleft » selon lequel le logiciel libre doit être redistribué selon des termes identiques à ceux de la licence originale. La question centrale porte sur « la bibliothèque qui relie Android et ses applications avec le noyau Linux sous-jacent, » écrit sur son blog Florian Mueller, à l'origine de la campagne NoSoftwarePatents.
« Google a copié 2,5 Mo de code représentant plus de 700 en têtes de fichiers du kernel de Linux avec un programme maison qui efface les commentaires du code source et d'autres éléments, et revendique habilement (dans un commentaire figurant au début de chaque fichier modifié) que le matériel retiré ne comporte « aucune information de droit d'auteur », comme l'explique le fondateur de NoSoftwarePatents. Ce dernier fait remarquer que, même si le GPL nécessite des traitements dérivés « pour être mis à disposition dans les mêmes conditions, » Google livre Android sous une série de licences qui inclut non seulement le GPL, mais aussi des licences Open Source moins strictes comme la licence Apache (la licence Apache n'a pas d'exigences de « copyleft ») et des programmes dont le code source est fermé.
Une question de propriété intellectuelle soulevée par un avocat
L'intérêt de Florian Mueller pour la question a été motivé par les préoccupations sur la propriété intellectuelle émises par l'avocat Edward Naughton dans un article paru dans le Huffington Post et par le point de vue du professeur de droit Raymond Nimmer. Ainsi, l'avocat explique que « Google a construit Android autour de Linux, lui-même un système d'exploitation Open Source sous licence GNU General Public License 2 (GPLv2). » Celui-ci précise que « la licence GPLv2 est de type « copyleft »: elle laisse à chacun la liberté de copier et de modifier le code Linux. Mais cette liberté est assortie de conditions, notamment l'exigence que tout code logiciel modifié et tous travaux « basés sur ce code » soient librement accessibles à tous. Le point essentiel de la GPLv2 est de rendre impossible à quiconque de s'approprier le code sous licence GPLv2, de le rendre privé et exclusif. »
Inspiré par ces remarques, Edward Naughton s'est intéressé à la manière dont Google utilise le code Linux dans Android. « Ce que j'ai trouvé m'a vraiment surpris : Google a adopté une approche très agressive pour développer une composante clé d'Android, la Bionic Library. Cette bibliothèque de type C est utilisée par tous les développeurs d'applications qui ont besoin d'accéder aux fonctions de base de Linux. Google a copié des centaines de fichiers de code Linux qui ne sont pas destinés à être utilisés tel quel par les développeurs, a « nettoyé » ces fichiers selon un procédé technique non-standard et contestable, pour ensuite déclarer que le code n'était plus soumis à la GPLv2, afin que les développeurs puisse l'utiliser sans être soumis aux exigences du « copyleft » qui s'appliquerait normalement au code sous licence GPLv2 emprunté au noyau Linux. »
Illustration principale : Florian Muelller, fondateur de NoSoftwarePatents
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L'avocat poursuit en disant avoir « de sérieux doutes sur le fait que l'approche de Google pour créer sa Bionic Library soit conforme aux lois sur le droit d'auteur en vigueur aux États-Unis. » Mais « ce qui est potentiellement plus intéressant encore, ce sont les conséquences, dans le cas où Google serait dans son droit. Si le procédé est jugé conforme, alors Google a trouvé un moyen d'éloigner Linux de la communauté Open Source et de le privatiser. » Cependant, comme le fait remarquer Florian Muller, si Google était poursuivi en justice et perdait son procès, l'écosystème de développement élaboré autour du système d'exploitation mobile Android serait menacé.
« Si Google est condamné, pratiquement toute la pile logicielle - et de nombreux composants privés de tierce-partie comme le jeu Angry Birds très populaire et le logiciel Adobe Flash Player - devraient être en réalité publiés sous licence GPL » écrit-il. « Or, un Android sous licence GPL irait totalement à l'encontre de la stratégie de Google. Tout le monde serait libre d'utiliser, de modifier et de redistribuer l'ensemble des logiciels concernés, les développeurs des applications concernées n'auraient plus la possibilité de gagner de l'argent, et les fabricants de terminaux tournant sous Android perdraient l'avantage de proposer des produits différenciés en y incluant des add-ons propriétaires. » À moins que Google « ne remplace le code détourné de Linux avec autre chose, l'éditeur risque un «effondrement de l'écosystème Android, » » écrit encore le fondateur de NoSoftwarePatents.
Google n'a pas encore fait de commentaire à ce sujet. Jusqu'à présent, les violations reprochées ne sont que des opinions et non des plaintes portées devant la justice. Mais dans un e-mail adressé à Network World, Florian Mueller écrit : « De mon point de vue, il y a des milliers de droits sur la propriété intellectuelle à faire valoir sur le kernel de Linux. Chaque détenteur de ces droits pourrait, pour de l'argent, pour la gloire, ou pour le principe du copyleft, être motivé pour les défendre. »
(...)(15/03/2011 15:25:30)Oracle livre son framework de développement mobile Java
Selon Duncan Mills, directeur senior de la gestion des produits Fusion chez Oracle, « le client mobile Application Development Framework (ADF) d'Oracle contient les éléments de base pour développer des applications qui pourront être déployées sur différentes plates-formes mobiles, sans avoir besoin d'écrire un code spécifique pour chacune d'elles. » Le client mobile avait été annoncé en octobre 2009, et Oracle en avait fait une démonstration technique en avril 2010.
Le client, une extension de l'ADF d'Oracle, est constitué de plusieurs composants, dont un navigateur pour visualiser l'application, une petite base de données pour stocker les data locales, et un moteur d'exécution Java, pour les appareils n'intégrant pas le Java. Le framework du client tourne dans une interface utilisateur standard, basée sur JSF (Java Server Faces). Celui-ci contient également un ensemble d'actions préconfigurées pour la synchronisation des données vers et depuis des serveurs back-end, ce qui permet aux développeurs de spécifier quelles données doivent être synchronisées avec les bases de données ou d'autres types de données.
Fonctionnement hors réseau
Le client a été adapté pour fonctionner avec Oracle Fusion Framework, mais peut également être utilisé avec d'autres services web. Cette solution est en mesure de conserver les données pour une utilisation de l'appareil hors connexion, et peut les transférer une fois que l'appareil mobile se reconnecte au réseau. « Le client fournit également des outils pour recueillir et transmettre des données générées par l'appareil lui-même, que ce soit via un appareil photo, un capteur GPS, un lecteur de codes-barres ou d'autres accessoires utilisés pour recueillir des données, » a précisé Duncan Mills.
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
Actuellement, ces clients mobiles ne sont disponibles que pour des appareils tournant sous les versions 5 et 6 de Windows Mobile, et BlackBerry de Research In Motion. C'est dire que le framework n'est pas encore compatible avec l'iPhone, ni avec les appareils sous Android ou sous Windows Phone 7. Mais L'équipe de développement d'Oracle envisage d'élargir son framework afin qu'il puisse également supporter ces dispositifs. « Pour l'instant, Oracle n'est pas en mesure d'annoncer quels appareils seront bientôt pris en charge » comme l'a indiqué le directeur d'Oracle. Celui-ci fait aussi remarquer que les fabricants d'appareils industriels continuent à vendre des produits tournant avec des versions précédentes de Windows Mobile, et que ces systèmes d'exploitation restent encore largement utilisés sur le marché.
Une solution déjà déployée avec PeopleSoft
Oracle a déployé le client mobile dans son application de gestion de stocks PeopleSoft Mobile, sortie la semaine dernière. Le coût du Client Mobile est de 5 dollars par utilisateur, mais peut être fixé également par appareil. Enfin, Oracle fournit une extension gratuite de son JDeveloper IDE (environnement de développement intégré) pour la conception d'applications utilisant ce client.
Illustration principale : Application Java pour les terminaux mobiles d'un assureur automobile
XenCloud Platform, un cloud privé Open Source
Pour les entreprises de tailles moyennes, la réalisation d'un cloud privé représente quelques difficultés techniques, mais se heurte aussi à des considérations budgétaires. La communauté Xen.org à l'origine de l'hyperviseur Xen travaille depuis quelques années à élaborer une plateforme logicielle Open Source pour créer facilement des clouds privés pour ce type d'entreprises. Aujourd'hui, la communauté a publié la version 1.0 de Xen Cloud Platform (XCP).
Ce dernier comprend une plateforme de virtualisation de serveurs Open Source, l'hyperviseur Xen, la prise en charge de la brique réseau et stockage, plusieurs outils d'administration (PRA, la sécurité, le contrôle des performances en temps réel, la prise en charge du multitenant, etc.) et une compatibilité avec les systèmes d'exploitation Windows et Linux. Pour les adeptes de l'Open Source de bout en bout, Xen.org annonce l'intégration de sa solution avec la version Bexar d'OpenStack (projet de cloud Open Source promu par RackSpace avec des briques technologiques de la NASA).
La version 1.0 de XCP est disponible en téléchargement à cette adresse.
(...)(11/03/2011 11:10:23)Les développeurs fans du Tweet Button, veulent aussi de meilleurs outils d'analyse
Lancé il y a environ 7 mois, le Tweet Button permet aux développeurs et aux éditeurs d'implémenter facilement l'échange et la redirection de tweets vers Twitter, directement depuis un site ou une application. « Twitter a fait un excellent travail avec ce bouton. Il permet d'ajouter facilement et sans connaissance technique, des boutons de tweets à une page. Les développeurs ont aussi la possibilité d'étendre les capacités du bouton et de créer des scénarios plus complexes, avec l'aide, d'ailleurs, d'une documentation très fournie, » a déclaré Peter Denton, co-fondateur et directeur marketing produits chez Mombo.com. Ce site analyse les messages Twitter échangés sur les films projetés dans les salles et délivre une note globale pour chacun. « C'est une solution simple et pratique, autant pour les utilisateurs que pour les développeurs. Le bouton permet de résoudre assez bien le problème limité auquel il est censé répondre, » commente Felipe Lavin, développeur front-end chez AyerViernes, une agence en stratégie et en design chilienne à l'origine de l'application de gestion d'hôtel Clerk.im.
Des progrès à faire
Cependant, développeurs et éditeurs pensent que le Tweet Button pourrait faire bien plus. Par exemple, en matière d'analyse des données générées par le bouton et auxquelles ils ont accès. Ceux-ci estiment qu'ils pourraient récolter des informations plus détaillées et en plus grand nombre, afin d'améliorer leurs statistiques de popularité, mais aussi la distribution de contenu vers leurs cibles. « J'aimerais pouvoir disposer de plus d'éléments sur la manière dont est utilisé le bouton Tweet sur les sites gérés par AyerViernes, travailler sur l'agrégation des données au niveau du site et analyser les données séparément pour chaque élément partagé, » a déclaré Felipe Lavin. Peter Denton apprécierait également que Twitter fournisse une cartographie plus approfondie des chemins par lesquels circulent les liens partagés au sein du réseau de Twitter. Des données plus détaillées permettraient par exemple à Mombo.com de mieux repositionner son contenu, un domaine dans lequel le Tweet Button se montre, selon lui, moins efficace que son prédécesseur, le Retweet Button de Tweetmeme. « Celui-ci faisait remonter plus de données analytiques et permettait une plus grande flexibilité dans l'utilisation des raccourcisseurs d'URL tiers, » comme l'a expliqué le co-fondateur de Mombo.com. Depuis, TweetMeme et Twitter se sont entendus pour remplacer progressivement le bouton Retweet par le bouton Tweet sur l'ensemble de l'Internet. « Plus Twitter fait remonter de données analytiques en natif, plus on améliore la circulation de son produit dans le réseau, » a ajouté Peter Denton.
Un tableau de bord avec plus de données
Nischal Shetty, un développeur qui utilise le bouton Tweet dans son application JustUnfollow et sur son blog, aimerait aussi disposer de plus de données d'analyse, idéalement via un tableau de bord Twitter centralisé. « Actuellement, le Tweet Button n'offre rien de ce genre, si ce n'est qu'il affiche le décompte du nombre de fois où une URL a été partagée sur Twitter, » a-t-il déclaré. De son côté, Kieran Hendra, ingénieur système chez Affle et auteur de l'application de messagerie mobile iMessenger Pinch, apprécie la touche Tweet, mais constate que le rendu et les fonctionnalités restent très insuffisants sur les dispositifs mobiles, une critique émise par de nombreux développeurs sur les forums de discussion en ligne. « Quand le bouton est utilisé pour partager un tweet, on est redirigé vers une page Twitter inadaptée à l'écran mobile et il faut zoomer pour obtenir une meilleure lisibilité, » a déclaré Kieran Hendra.,
(...)(10/03/2011 16:17:25)SAP précise ses plans pour des applications métiers in-memory
En informatique in-memory, les données sont déplacées hors de l'espace de stockage traditionnel pour être exécutées dans la mémoire vive. Ce qui permet des gains en performances pour la lecture des données. Le moteur de SAP chargé de gérer le traitement des données en mémoire vive a été conçu par Hasso Plattner, le co-fondateur du géant informatique, et se trouve au coeur de l'HANA (High-Performance Analytic Appliance) livré par SAP l'an dernier.
« Parmi les applications in-memory que SAP a prévu de commercialiser cette année, on trouve un outil destiné à aider les services opérationnels et marketing à travailler ensemble plus efficacement, » selon SAP. « Un autre logiciel doit permettre aux personnes travaillant dans le secteur financier d'analyser les créances d'un client et déterminer, en fonction d'éléments actuels et de l'historique du compte, quel type d'escompte ils peuvent accorder. Une troisième application aura pour objet de fournir des analyses pour les compteurs intelligents, » détaille SAP. L'entreprise envisage également de remodeler ses applications de Trade Promotion Management(Gestion des promotions Commerciales) et son application Cash and Liquidity Management pour la gestion des liquidités et de la trésorerie en leur appliquant la technologie in-memory. Surtout, ces annonces viennent dans la continuité de projets déjà annoncés par SAP, comme ce logiciel d'analyse spécialisé destiné à fonctionner avec un client ERP, duquel il pourra extraire des données en temps réel. L'entreprise avait annoncé la sortie d'une première version de son logiciel de planification des effectifs Strategic Workforce Planning, à la fin de l'année dernière.
SAP n'a pas l'intention de positionner son moteur in-memory pour inciter les clients à un remplacement complet de leur base de données principale, en général un produit Oracle proposé par la plupart des revendeurs SAP. Mais cela pourrait changer à mesure que la technologie s'améliore. Pour l'instant, la stratégie de SAP en matière d'applications in-memory consiste à proposer à la vente des produits que les clients semblent désireux d'acquérir, comme cela a été le cas avec les produits de BI (business intelligence) dont les ventes sont restées soutenues pendant toute la période de récession mondiale.
Illustration principale : Hasso Plattner, co-fondateur de SAP (...)(10/03/2011 11:02:09)Cloud computing : Les 10 tendances clefs selon IDC
Dans cette étude, le cabinet d'études IDC insiste particulièrement sur les questions de sécurité. Selon Eric Domage, directeur de recherche pour les produits et services de sécurité européenne chez IDC, "La sécurité est un inhibiteur à long terme pour l'adoption du cloud. Les entreprises y vont malgré les questions de sécurité, le défi est pour elles de garder le contrôle sur les données ». Pour sa part, David Bradshaw, directeur de recherche pour le SaaS et les services européens de cloud chez IDC scrute l'impact chez les différents : "les entreprises clientes cherchent des moyens par le cloud d'accroître leur flexibilité tout en réduisant leurs coûts, tandis que de nombreux fournisseurs, notamment les éditeurs de logiciels, se battent pour placer leurs offres cloud sur le marché avant qu'il ne soit trop tard."
Le top 10 des prévisions d'IDC pour le marché européen des logiciels de cloud en 2011forme le classement suivant :
1. Les éditeurs de logiciels devront intensifier leurs efforts pour devenir des acteurs du cloud en Europe.
2. Le SaaS va transformer les directeurs IT en gestionnaires de processus et d' approvisionnement.
3. L'essor du cloud local permettra d'accélérer l'adoption du SaaS en Europe centrale et méridionale.
4. Des modèles économiques de grossistes en cloud vont apparaîtrent.
5. Le traitement des données en gros volume deviendra un cas d'utilisation clés pour la BI en cloud.
6. Le cloud basé sur des plate-formes de réseaux sociaux va devenir de plus en plus important.
7. Les questions de sécurité, de conformité, de SLA, et d'emplacement des données ne seront pas résolues en 2011.
8. La sécurité du Cloud fait disparaître plus de barrières que prévu.
9. La gouvernance du cloud gagnera en importance, mais cette question n'entravera pas la croissance.
10. L'aspect infrastructure va gagner en importance.
Mac OS X : Apple propose un patch pour corriger 27 bugs critiques dans Java
Selon Apple, certains de ces bugs peuvent être exploités pour exécuter du code en dehors de la sandbox Java, autorisant ainsi des pirates à détourner des Mac. La firme de Cupertino n'a pas précisé combien de vulnérabilités pourraient être exploitées pour exécuter du code malveillant, une façon de dire que les failles doivent bien être considérées comme critiques.
Mac OS X 10.5, alias Leopard, reçoit ainsi une mise à jour pour remiser 16 vulnérabilités dans Java SE 6 et 11 dans Java SE 5. La mise à jour pour le récent Mac OS X 10.6, alias Snow Leopard, vient corriger 16 bugs dans Java SE 6. Cette dernière comble en effet les mêmes défauts qu'Oracle a corrigé le 15 février 2011 avec sa rustine 1.6.0_24 pour Java. Cette mise à jour Java est la première pour Apple depuis la mi-octobre 2010.
Plus de Java en standard dans Mac OS X 10.7
Peu de temps avant que Apple ne livre cette rustine pour remplacer une machine virtuelle Java devenue "obsolète" sur Mac OS X, certains développeurs disaient désespérer du retard de la firme de Cupertino et envisageaient désormais de travailler avec les outils Open Source du projet OPenJDK d'Oracle pour exploiter Java SE 7. D'autant qu'Apple a depuis annoncé son intention de stopper ses propres développements de Java sur Mac et l'abandonnerait même pour les futures versions de son OS. La société s'est toutefois engagée à maintenir le support de Java dans Leopard et Snow Leopard.
« La machine virtuelle Java pour Mac OS X 10.6 Snow Leopard et Mac OS X 10.5
Leopard, continuera d'être soutenue et maintenue durant la durée de vie de ces produits » a indiqué Apple en octobre dernier sur son site web destiné aux développeurs. Cette annonce laisse toutefois entendre qu'Apple ne proposera pas en standard de runtime Java avec Mac OS X 10.7, la prochaine mise à jour du système connu sous le nom de code Lion et attendu cet été. Des informations rapportées par le site AppleInsider le mois dernier confirment que Java est bien absent de Lion. Les experts restent toutefois divisés quant à savoir si la disparition de Java dans Mac OS X améliorera la sécurité du système d'exploitation.
Les mises à jour Java (de 78 à 120 Mo) proposées cette semaine peuvent être téléchargées sur le site d'Apple ou installées à l'aide de l'utilitaire de mise à jour intégré au système d'exploitation.
VMware acquiert WaveMaker, un facilitateur de création d'applications Java
WaveMaker est basé sur le framework Spring de SpringSource que VMware a acquis il y a un an et demi. Il s'agit d'un outil graphique qui donne aux utilisateurs la possibilité de glisser-déposer des éléments pour créer une application web. Ils peuvent ainsi déployer leurs applications directement dans un cloud privé ou vers une variété de plates-formes, y compris Amazon, Rackspace, OpSource et Eucalyptus. Le logiciel fonctionne sur Windows, Mac OS, Red Hat et Ubuntu. Il prend également en charge les bases de données, notamment MySQL Server et Microsoft SQL.
Les utilisateurs de WaveMaker sont généralement des salariés qui ne sont pas des développeurs, mais qui veulent construire une application web. L'une des applications les plus courantes est de créer une page de e-commerce donnant la possibilité d'acheter un produit via une carte de crédit a déclaré Mark Brewer, vice-président de l'activité Spring de VMware. Mais il existe d'autres usages. Les magasins Macy's utilisent cette solution pour construire une application interne rassemblant une variété de données issues de plusieurs départements comme les ressources humaines ou les finances.
Simplifier et intégrer
Cette opération, dont les termes financiers n'ont pas été dévoilés, doit encourager les utilisateurs à consommer plus de services de cloud computing. Mark Brewer explique « si nous souhaitons propulser nos clients dans le cloud et qu'ils créent des applications, nous devons simplifier ce processus et rendre facile la programmation d'une application ».
L'éditeur prévoit de continuer à offrir WaveMaker sous licence Open Source, précise le dirigeant. Il commercialisera le support, la formation et le conseil. De plus, VMware envisage d'ajouter WaveMaker à son service Code2Cloud afin que les clients puissent utiliser ce logiciel comme un service plutôt que de le télécharger. Code2Cloud est un service hébergé de gestion de cycle de vie applicatif qui permet notamment aux développeurs de contrôler et de suivre les bogues et les tests sur les applications. Cette intégration devrait être effective dans les deux prochains mois.
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