Ces trois outils exigent des connaissances en codage et en programmation (Appistry nettement plus que les autres). Savoir comment fonctionne chaque plateforme prend en effet un certain temps. Le plus simple à comprendre est Control Editor, de l'éditeur Tap In, parce que son interface graphique est accessible et ergonomique.
I. Les points forts des trois outils
1. La vue disponible dans Tap In
La vue d'ensemble des processus automatisés est excellente sur l'outil Control Editor de Tap In.
2. Les modèles de Rightscale
Rightscale fournit des modèles de systèmes en grille très puissants, diversifiés et les plus utiles des outils testés.
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3. L'évolutivité de Rightscale
En termes de performances, lors des montées en charge, RightScale arrive en tête. Il est suivi de près par Tap In.
4. L'interface web d'Appistry
Appistry propose une interface utilisateur belle et sophistiquée pour un usage en mode web.
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5. L'interopérabilité des outils
Appistry et Tap In assurent une très bonne interopérabilité avec les plateformes de clouds publics.
II. Les points faibles des outils
1. Trop de code à programmer
Appistry nécessite un travail de codage trop important.
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2. Une compétence forte en codage et scripting
Tous les produits testés nécessitent des bases de codage en Ruby ou dans d'autres langages.
3. Des configurations complexes
L'outil Rightgrid de RIghtScale demande un travail de configuration complexe.
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4. L'adaptabilité
RightScale supporte tous les clouds, à condition que ce soit des clouds EC2 d'Amazon ...
5. Une tarification en mode puzzle
La grille des prix d'Appistry ressemble est un peu nébuleux