-Partiels perturbés par une panne serveur. Près de 4 000 étudiants de l’Université de Strasbourg ont été bloqués en plein partiel en raison d’une panne informatique. Alors qu'ils étaient contraints de passer leur examen à distance en raison de la pandémie, un serveur a lâché pendant les épreuves, rapportent nos confrères de France Bleu Strasbourg. « C'est la défaillance d'un serveur central qui est à l'origine de cette panne. Il n'est pas seulement là pour les plateformes de cours ou d'examens, mais aussi le réseau Internet et téléphone de la faculté », explique Michel Deneken, le président de l'université de Strasbourg. Pour les étudiants, le résultat est que les épreuves ont été annulées et reportées à une date ultérieure. La panne est depuis réparée, annonce l’établissement.
- 64 Md$ pour l’app store d’Apple en 2020. Selon CNBC, la croissance des ventes brutes sur l’app store d’Apple en 2020 aurait été de 28% passant de 50 Md$ à 64 Md$ en un an. Apple fait clairement partie des acteurs à qui profite la pandémie. Les confinements favorisant le téléchargement d’apps de sport, de jeu, de musique, de loisirs, etc. Apple ne divulgue pas ces chiffres, mais seulement le montant qu’elle reverse aux développeurs (70% des ventes pour tous les développeurs sauf les plus petits qui touchent 85%). CNBC s’est appuyé sur ces montants puis a effectué un rétrocalcul.
- TeamTNT, botnet spécialisé dans la compromission Docker et AWS. Les chercheurs en sécurité de Trend Micro ont détecté un botnet spécialisée dans le vol d'identifiants Docker et AWS. Cette cybermenace est reliée au groupe de cybercriminels TeamTNT qui s'était fait remarquer l'été dernier pour son malware de cryptomining ciblant les environnements de containers mal configurés. Dans le cas présent, TeamTNT s'attaque aux containers Docker mal configurés pour y faire tourner un malware de cryptominage et également voler des identifiants de serveurs AWS afin d'infecter des systèmes IT tiers. « Par rapport aux précédentes attaques similaires, la technique de développement de ce script était beaucoup plus affinée », a déclaré Alfredo Oliveira, chercheur senior en sécurité chez Trend Micro. « Il n'y avait plus de lignes de code interminables, et les échantillons étaient bien écrits et organisés par fonction avec des noms descriptifs. » Raison de plus donc, pour redoubler de vigilance.