- Microsoft Teams natif dans Windows 11. La mise à jour du système d’exploitation de Microsoft est l’occasion de voir s’opérer certains changements et l’intégration native de la solution de collaboration en fait partie. Les utilisateurs qui testent déjà le dernier OS via le programme Windows Insider pourront essayer certaines fonctionnalités de Teams comme le chat. En pratique, Brandon LeBlanc, responsable du programme Windows Insider, explique dans un billet de blog que la façon de contacter quelqu'un est simplifiée au maximum, le chat devrait s’ouvrir exactement comme le menu Démarrer, « cliquez sur l'icône chat dans la barre des tâches ou faites le raccourci WIN + C ». L’objectif est de relier directement Teams (qui comprend aujourd'hui 145 millions d'utilisateurs quotidien) à la suite Office.
- Spendesk lève 100 M€ auprès du fonds d’investissement General Atlantic et boucle sa dixième levée de fonds depuis sa création en 2016. Expert en gestion des dépenses pour les entreprises, la start-up fournit une plateforme pour centraliser l’ensemble des frais engagés par les collaborateurs. La levée de fonds permettra par ailleurs de poursuivre sa politique de recrutement à l'international et accélérer le déploiement d’autres produits. La numérisation des processus financiers apporte son lot de modernisation et de normes concernant les logiciels de gestion de dépenses. La crise a par ailleurs poussé les entreprises vers cette digitalisation, profitant à Spendesk, avec un chiffre d’affaires qui a doublé en l’espace d’un an tout comme ses effectifs.
- Des puces Kalray sur les baies Viking. Kalray et le fournisseur de baies de stockage Viking, une entité de l’américain Sanmina, ont annoncé le développement d’une solution de stockage combinant le châssis VDS2249R du second et la carte accélératrice K200-LP du premier. Cette dernière repose sur le processeur MPPA Coolidge de troisième génération du fournisseur français. Baptisée Flashbox, cette baie NVMe accueille des puces Kalray, qui viennent épauler les habituels contrôleurs x86. La partie logiciels sera bien sûr adaptée comme sur les baies du britannique Bamboo Systems dont les châssis B1000N reposant sur des puces ARM sont déjà commercialisés.