- Attaque ransomware contrée chez Fraikin. Toutes les agences du spécialiste de la location et de l’entretien de véhicules industriels ont subi l’attaque d’un ransomware au début de la semaine dernière, explique Fraikin dans un communiqué. Les activités de l’entreprise ne sont toutefois pas revenues à la normale. « Certaines applications sont momentanément indisponibles pour les clients. D’autres opérations comme la facturation, les opérations du quotidien en agence, la fourniture de données diverses, etc. sont plus ou moins perturbées », indique Fraikin, qui a du isoler tous ses serveurs pour contrecarrer la progression du ransomware. Les données de l’entreprise, de ses clients, de ses partenaires auraient été préservées. « Aucune [donnée] n’a été touchée, volée, détruite ni corrompue par ce virus », assure la société.
- Top départ à la conférence Microsoft Build. La firme de Redmond organise en ligne sa conférence Build du 25 au 27 mai 2021. Parmi les toutes premières annonces, des améliorations dans Azure Communications Services (enregistrement d'appels, librairie UI et SDK pour apps natives Windows). Egalement au menu : l'ajout dans la barre de recherche Windows des données issues de Dynamics et SQL Server ou encore d'apps tierces comme Salesforce.
- Atos en panique à cause d'un mystérieux actionnaire. En informant l'AMF du franchissement du seuil des 5% du capital d'Atos, Finsur Corp a semé le trouble. Enregistrée dans l'Etat du Delaware mais également inscrite au greffe du Tribunal d'Orléans en 2019, avant radiation, cette société intrigue les hauts dirigeants de la SSII qui s'inquiètent d'un risque de manipulation de cours. Une annonce qui est intervenue alors que les actionnaires ont, lors de la dernière assemblée générale, rejeté les comptes de l'entreprise et que les commissaires aux comptes ont émis plusieurs réserves. Finsur Corp est depuis repassé sous la barre des 5%.