Le centre hospitalier de Lavaur, dans le Tarn, comporte 18 structures de multiples spécialités. Depuis onze ans, le personnel est doté d'une messagerie Microsoft Exchange classique. Mais si, à l'époque, les spams ne constituaient pas une gêne majeure, il en est devenu tout autrement avec le temps. Ainsi, près de 40 messages non-désirés arrivaient en moyenne chaque jour sur chaque compte.

Outre la perte de productivité individuelle induite, cet afflux de spam commençait à consommer une part non négligeable de bande passante et de l'espace de stockage des comptes de messagerie.

Des solutions inadaptés aux spams français

Dans un premier temps, le CH de Lavaur déploie des solutions sur site émanant d'éditeurs anglo-saxons. Ces solutions trouvent rapidement leurs limites. En effet, installées sur site, elles ne résolvent pas le problème de la consommation des ressources locales. Surtout, l'identification des spams francophones de plus en plus sophistiqués était médiocre. La direction informatique a donc recherché une solution externe qui éliminerait le problème en amont de l'entrée sur le réseau et qui tiendrait compte des évolutions dans le perfectionnement des spams.

L'établissement a finalement retenu la solution Vade Retro Center en mode SaaS. L'épuration à 99,9% ne provoque que peu de faux positifs mais les utilisateurs peuvent malgré tout aller vérifier les mails écartés de la distribution directe. Le coût du projet n'a pas été mentionné.