Mobilité forcée ou télétravail pour 73 salariés de HP en région
Réduction des coûts oblige, HP pourrait abandonner certaines implantations , sans licencier pour autant. Il propose aux 73 salariés des cinq agences menacées de fermeture de télétravailler ou de rejoindre un autre site.
Parmi les neuf agences régionales dont dispose HP sur le territoire français, celles d'Aix-en-Provence, Bordeaux, Rennes, Rouen et Villepinte pourraient fermer leurs portes d'ici janvier 2009. Pour l'heure, il ne s'agit que de la concrétisation d'un projet de la direction de HP France dont les salariés ont été informés en juillet dernier. Il traduit localement la volonté du constructeur de réduire ses coûts immobiliers au niveau mondial pour consacrer les sommes épargnées à d'autres investissements, notamment des acquisitions.
Les fermetures n'entraîneront pas de licenciements
Ce projet de réduction de la voilure immobilière ne prévoit pas de licenciements. Selon la direction de HP France, ce volet n'aurait donc rien à voir avec l'annonce des 25 000 suppressions de postes du début de la semaine.
En effet, les 73 salariés des cinq agences menacées devraient avoir le choix de rester dans leurs régions respectives en tant que télétravailleurs ou de rejoindre les agences de Toulouse (pour ceux de Bordeaux), de Lyon ou de Nice (pour ceux d'Aix-en-Provence), de Nantes ou les Ulis (pour ceux de Rennes).