Du 2 au 4 février 2011, l'AMRAE (Association pour le management des risques et des assurances de l'entreprise) a organisé ses 19èmes rencontres à Deauville. Ces rencontres étudient tous les types de risques et leur couverture par des assurances, notamment (mais pas seulement) ceux lié à l'informatique ou aux TIC d'une manière générale. La fréquentation de ces rencontres a particulièrement réjoui les responsables de l'AMRAE : avec plus de 1900 participants, les Rencontres ont rassemblé 10% de plus de personnes que l'an passé. L'AMRAE ne regroupe pourtant que 776 professionnels de la gestion de risques représentant 430 entreprises françaises publiques et privées (dont 37 des 40 entreprises du CAC 40).
Des ateliers très fréquentés
Les risques directement informatiques n'ont cependant pas été ceux étudiés dans les ateliers les plus fréquentés puisque le « Top 5 » comporte Solvency II (réforme réglementaire européenne du monde de l'assurance dans la lignée du Bâle II du monde bancaire), la cartographie des risques, la réassurance, démontrer la valeur ajoutée de la gestion des risques et le portrait du gestionnaire de risques. Malgré tout, la gestion des risques suppose des outils informatiques d'analyse et de reporting. Solvency II repose particulièrement sur de tels outils, comme son alter-ego bancaire Bâle II.
Plusieurs ateliers, en dehors du « Top 5 » intéressaient les DSI : « Partenariat Public Privé : transfert des risques sur les opérateurs », « Inde : quelles expositions aux risques » (pour ceux ayant recours à l'off-shore), « E-réputation : veiller, mesurer et protéger la réputation de son entreprise » sur Internet et « Le risk manager face à la cybercriminalité ».
Des ateliers très fréquentés
Les risques directement informatiques n'ont cependant pas été ceux étudiés dans les ateliers les plus fréquentés puisque le « Top 5 » comporte Solvency II (réforme réglementaire européenne du monde de l'assurance dans la lignée du Bâle II du monde bancaire), la cartographie des risques, la réassurance, démontrer la valeur ajoutée de la gestion des risques et le portrait du gestionnaire de risques. Malgré tout, la gestion des risques suppose des outils informatiques d'analyse et de reporting. Solvency II repose particulièrement sur de tels outils, comme son alter-ego bancaire Bâle II.
Plusieurs ateliers, en dehors du « Top 5 » intéressaient les DSI : « Partenariat Public Privé : transfert des risques sur les opérateurs », « Inde : quelles expositions aux risques » (pour ceux ayant recours à l'off-shore), « E-réputation : veiller, mesurer et protéger la réputation de son entreprise » sur Internet et « Le risk manager face à la cybercriminalité ».