Selon une étude menée à l'initiative de l'éditeur de solution de sécurité des données Absolute Software auprès de 300 DSI en France, Allemagne et Grande Bretagne, 15% des entreprises interdiraient à leurs employés de connecter des terminaux personnels au système d'information. Le chiffre serait même de 21% en France. 18% (28% en France) n'ont à l'inverse aucune politique explicite en la matière.
L'interdiction est sans doute considérée comme la solution aux difficultés à gérer la sécurité de ces terminaux hétérogènes et non-contrôlés par nature. Mais cette solution est sans doute illusoire tant la pression des utilisateurs est forte pour utiliser les outils jugés les plus pratiques à leur disposition pour accéder aux systèmes d'information quand et où ils le veulent.
Une évolution devenue inéluctable
49% des répondants admettent d'ailleurs qu'ouvrir le système d'information aux terminaux personnels sera obligatoire dans l'avenir pour répondre aux attentes des clients de leur entreprise.
Une des manières de réagir est de déléguer la responsabilité des conséquences des usages de ces terminaux aux utilisateurs. 31% des répondants le font explicitement, 41% considèrent que les utilisateurs sont par principe responsables de leurs propres outils, notamment en termes de pertes ou de détournements de données ayant transité par ces terminaux.
L'interdiction est sans doute considérée comme la solution aux difficultés à gérer la sécurité de ces terminaux hétérogènes et non-contrôlés par nature. Mais cette solution est sans doute illusoire tant la pression des utilisateurs est forte pour utiliser les outils jugés les plus pratiques à leur disposition pour accéder aux systèmes d'information quand et où ils le veulent.
Une évolution devenue inéluctable
49% des répondants admettent d'ailleurs qu'ouvrir le système d'information aux terminaux personnels sera obligatoire dans l'avenir pour répondre aux attentes des clients de leur entreprise.
Une des manières de réagir est de déléguer la responsabilité des conséquences des usages de ces terminaux aux utilisateurs. 31% des répondants le font explicitement, 41% considèrent que les utilisateurs sont par principe responsables de leurs propres outils, notamment en termes de pertes ou de détournements de données ayant transité par ces terminaux.