Alors que les rumeurs font de Logitech la prochaine acquisition de Microsoft, les investisseurs s'emballent. La valeur du titre Logitech s'envole ainsi sur les différentes places boursières de la planète (+8% sur le Nasdaq, +7,9% à Stuttgart, +7,3% sur Virt-x). Pourtant, ni Microsoft, ni sa potentielle cible n'ont confirmé les bruits de couloir. Daniel Borel, l'un des co-fondateurs du groupe prétendument visé par le géant du logiciel - et principal actionnaire avec 6% des parts - indique même qu'il n'est pas disposé à céder ses titres : « Vendriez-vous votre enfant ? Je n'ai aucune raison de vendre. Je détiens seulement 6%, je ne serai donc pas capable d'empêcher la cession de Logitech », a-t-il déclaré à Reuters.