Pour accompagner son développement, HumanCraft, une start-up basée à Paris (16ème arrondissement) et spécialisée dans le conseil et dans l’intégration de systèmes informatiques cherche à recruter 40 personnes d’ici la fin de l’année. Les profils recherchés sont en grande majorité des développeurs de front et de back end (Fullstack .Net/ JS, PHP/JS, PHP, Scrum Master, DevOps). Des offres concernent également des data managers, des data analysts, des ingénieurs en sécurité et des spécialistes dans le domaine des intrusions. Pour choisir ses nouvelles recrues, HumanCraft a mis en place un processus de sélection rigoureux, reposant sur quatre points clés. « Les candidats sont d’abord évalués sur leur personnalité », a souligné Martial Floucaud de La Pénardille, co-fondateur et directeur général de l’entreprise. Ils sont ensuite sélectionnés via des tests techniques avant de passer des entretiens collectifs, puis individuels », a-t-il ajouté.
Formation interne et interventions chez 42
Après leur intégration au sein de l’entreprise, les collaborateurs d’HumanCraft travaillent dans un environnement organisationnel atypique, basé sur le management participatif. « Notre organisation est orientée sur la reconnaissance du travail de chacun », précise le dirigeant. « Afin que chacun puisse évoluer en fonction de son investissement dans l’entreprise, nous utilisons différents leviers : les interventions du collaborateur chez ses clients, sa capacité à fédérer autour de lui des éléments moteurs et à proposer des améliorations dans notre organisation ».
En retour, l’entreprise récompense ses collaborateurs en leur attribuant des points qui leur permettront d’assister à des évènements internationaux (comme DevOpsCon) ou de suivre une formation de leur choix. Pour faire face aux tensions qui règnent actuellement sur les profils de développeurs, HumanCraft privilégie les actions de formation en interne. Ses interventions à l’école 42 fondée par Xavier Niel lui ont également permis de rencontrer des étudiants qui composent actuellement la moitié de ses équipes de codeurs.