Avec ses 1400 collaborateurs, le PMU (Pari Mutuel Urbain) ne se contente plus d'être l'opérateur des paris hippiques. Il détient désormais environ 10% du chiffre d'affaires des paris et jeux en ligne en France (paris sportifs, poker...). PMU.fr génère ainsi 928 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, en forte croissance, sur un total de 9,54 milliards d'euros pour l'ensemble du PMU.
Cette révolution sur la nature même de l'activité de l'entreprise a évidemment impliqué de nombreux chantiers informatiques. Parmi ceux-là, il était nécessaire de mettre en conformité le SI avec les exigences de l'Arjel (Autorité de Régulation des Jeux En Ligne). L'agrément de cette autorité est en effet nécessaire pour opérer légalement des jeux en ligne.
L'Arjel exige notamment une traçabilité parfaite des opérations de jeux et paris, grâce à un système dénommé le « frontal ». Ce système collecte, valide, formate et scelle numériquement dans un coffre-fort électronique les données issues des logiciels de jeux.
Il fallait que la construction du « frontal » puisse être réalisée rapidement en 2010 afin de respecter le cahier des charges de l'Arjel, tout retard d'agrément entraînant une perte de chiffre d'affaires. La société de service spécialisée en gestion des preuves et sécurisation des SI, i-Tracing, a assisté le PMU dans son projet en l'aidant à le réaliser en huit mois. Le budget du projet n'a pas été dévoilé.
Gestion transversale des métiers avec PSNext
Le pilotage des projets de refonte, la gestion des ressources et des portefeuilles de projets nécessitaient également une mise à jour des outils du PMU. En 2000, le PMU avait choisi la version 6 de PSN, de Sciforma. Après remise en concurrence, l'opérateur de paris avait choisi la version 8. Enfin, PSNext a été choisie en 2010 après un nouvel appel d'offres. Ces outils sont partagés entre services techniques et directions métiers.
La version PSNext apporte au PMU la capacité de gérer, de manière collaborative et transverses métiers-techniques, des livrables avec les documents de description attachés, ce qui modifie considérablement les méthodes de travail. La simulation des plans de charge permet également de justifier ou non les éventuelles demandes de ressources supplémentaires. Le coût de déploiement de ce produit n'a pas été non plus communiqué.
Cette révolution sur la nature même de l'activité de l'entreprise a évidemment impliqué de nombreux chantiers informatiques. Parmi ceux-là, il était nécessaire de mettre en conformité le SI avec les exigences de l'Arjel (Autorité de Régulation des Jeux En Ligne). L'agrément de cette autorité est en effet nécessaire pour opérer légalement des jeux en ligne.
L'Arjel exige notamment une traçabilité parfaite des opérations de jeux et paris, grâce à un système dénommé le « frontal ». Ce système collecte, valide, formate et scelle numériquement dans un coffre-fort électronique les données issues des logiciels de jeux.
Il fallait que la construction du « frontal » puisse être réalisée rapidement en 2010 afin de respecter le cahier des charges de l'Arjel, tout retard d'agrément entraînant une perte de chiffre d'affaires. La société de service spécialisée en gestion des preuves et sécurisation des SI, i-Tracing, a assisté le PMU dans son projet en l'aidant à le réaliser en huit mois. Le budget du projet n'a pas été dévoilé.
Gestion transversale des métiers avec PSNext
Le pilotage des projets de refonte, la gestion des ressources et des portefeuilles de projets nécessitaient également une mise à jour des outils du PMU. En 2000, le PMU avait choisi la version 6 de PSN, de Sciforma. Après remise en concurrence, l'opérateur de paris avait choisi la version 8. Enfin, PSNext a été choisie en 2010 après un nouvel appel d'offres. Ces outils sont partagés entre services techniques et directions métiers.
La version PSNext apporte au PMU la capacité de gérer, de manière collaborative et transverses métiers-techniques, des livrables avec les documents de description attachés, ce qui modifie considérablement les méthodes de travail. La simulation des plans de charge permet également de justifier ou non les éventuelles demandes de ressources supplémentaires. Le coût de déploiement de ce produit n'a pas été non plus communiqué.