Les chercheurs n'ont pas révélé les noms des 41 applications en question.Â
Comme ces applis sont surtout vulnérables lorsqu'on les utilise avec une connexion non-sécurisée, les auteurs de l'étude ont poursuivi leurs recherches avec un sondage de 745 personnes, pour voir s'ils connaissaient les risques d'utilisation de connexions internet publiques (donc non-sécurisées ou non-protégée) comme dans un hotspot WiFi public. L'étude révéle que même si la plupart des sondés se disait calée en informatique, 47,5% des participants qui ne travaillaient pas dans l'informatique n'étaient pas capables de faire la différence entre une connexion sécurisée ou non.