Windows 10 reste très utilisé. A quelques mois de la fin du support de Windows 10, l’OS de Microsoft n’a jamais été aussi populaire. Selon StatCounter, la part de marché de Windows 10 a augmenté à 62,7 % par rapport au mois précédent, tandis que la part de Windows 11 est retombée à 34,12 % (contre 34,94 % en novembre 2024). Dans certaines régions, ce saut est flagrant, ainsi aux US, la part de Windows 10 est passée de 58% en octobre à 67% en décembre. Ce regain pour Windows 10 peut s’expliquer de plusieurs façons. La première est que certains utilisateurs ont testé Windows 11 et n’ont pas apprécié l’expérience au point de revenir à la version précédente. Autre explication, les problèmes à répétition de la dernière mise à jour de Windows 11 échaudent ceux qui ont des velléités de tenter l’aventure. Sans parler des exigences matérielles nécessaires pour faire tourner le dernier OS de Microsoft.

IBM s’accorde avec GlobalFoundries. Les deux sociétés ont décidé de mettre fin leur différend. Global Foundries était accusé par big blue d’avoir rompu un contrat, tandis qu’IBM était assigné pour usage illégal de secrets commerciaux du fondeur. Les entreprises ont déclaré dans un communiqué commun que les termes de l'accord étaient confidentiels et qu'ils leur permettraient « d'explorer de nouvelles opportunités de collaboration ». Pour mémoire, GlobalFoundries a racheté les usines de semi-conducteurs d'IBM en 2015. Le contentieux date lui de 2021 quand IBM a attaqué la rupture d’un contrat de 1,5 milliard de dollars portant sur la fabrication de puces à haute performance.

Des DDoS contre des collectivités françaises. Le groupe NoName (connu pour s’en être pris à l’Assemblée Nationale et le Sénat) a mené une campagne intense d’attaques en déni de service contre plusieurs sites de collectivités territoriales le 31 décembre et le 1er janvier. Angers, Pau, Bordeaux, Le Havre, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Nîmes, Poitiers et Tarbes, mais égalent les départements des Landes, de la Haute-Garonne, l’Eure ou l’Aude ont été touchés. Des organisations comme la CCII des Hauts de France ou le ministère de la Justice font partie des victimes. Les cybercriminels ont justifié leurs actions pour dénoncer l’aide militaire de la France à l’Ukraine. Le parquet de Paris a ouvert une enquête et elle a été confiée à la DGSI.