- Web scraping de 35 millions de comptes Linkedin. Après avoir visé des organismes tel que Airbus, l'OTAN ou encore Thales et Interpol, un pirate repéré par Zataz a diffusé une collecte de 35 millions de profils Linkedin grâce à une technique bien connue de web scraping. S'il ne s'agit pas d'un hack en tant que tel, cette technique permet de regrouper dans un fichier - en l'occurrence dans ce cas de 12 Go compressés contenant 35 millions de lignes - des données aussi bien personnelles que professionnelles publiées sur des sites et services en ligne. Parmi celles-ci, on trouve aussi bien des e-mails, des fonctions, des identités... soit de précieuses informations qui pourraient bien intéresser des pirates pour leurs campagnes de spear phishing et/ou de social engineering.
- Rubrik lance son chabot d'IA générative Ruby. Le spécialiste de la sauvegarde cloud propose à son tour un assistant d'IA générative pour accompagner les entreprises dans leurs tâches. A l'instar de ce que propose également Commvault avec Arlie, le chatbot Ruby amène des fonctions pour détecter les activités anormales dans les données à travers les applications d'entreprise, proposer aux équipes en sécurité un processus de réponse rapide et guidé qui les aide à naviguer dans les workflows complexes et accélérer la récupération après incidents. Rubrik indique que Ruby devrait être disponible dans les mois à venir pour les abonnés de l'édition Enterprise en bêta publique avant d'être proposée au plus grand nombre de ses clients.
- OnePoint leve 500 M€. Le 26 octobre dernier la société de services IT Onepoint a annoncé avoir fait grimper sa participation au capital ainsi que ses droits de vote au sein Atos à 9,9 %. Pour enfoncer le clou et bien montrer qu'il est intéressé à devenir un repreneur crédible à l'offre de reprise du milliardaire Daniel Kretinski, l'ESN a procédé à une levée de fonds plutôt conséquente de 500 M€. Celle-ci a été faite auprès du géant du private equity Carlyle sous la forme d'obligation d'une maturité de 8 ans, n'impactant pas à ce jour la répartition du capital du groupe dont le contrôle reste majoritairement (77 %).
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