- Talkspirit annonce une fusion avec Holaspirit. Ensemble, les deux entreprises comptent plus de 1 100 clients et réalisent un chiffre d'affaires de plus de 4 millions d'euros, affichant une croissance supérieure à 30 % par an. Co-fondées et dirigées par Olivier Ricard (directeur technique) et Philippe Pinault (directeur général), les deux entreprises SaaS travaillent déjà en proximité sur les sites de Paris et Montpellier, et proposent des logiciels avec un périmètre fonctionnel complémentaire. Aujourd’hui, elles annoncent leur fusion pour créer une solution de collaboration unifiée combinant les fonctionnalités des deux plateformes. Elles souhaitent ainsi renforcer leur position sur le marché européen. Elles restent bien évidemment sous la coupe du groupe Mandarina.
- Axa lance un fonds start-ups à 1,5 milliard d’euros. Axa Venture Partners (AVP), fonds de capital-risque créé en 2015 et branche du géant français de l'assurance, a annoncé le lancement d'un fonds d'investissement. Ce dernier est dédié aux start-ups les plus matures et a pour objectif de réunir 1,5 milliard d'euros. La société mère doit soutenir le projet à hauteur de 750 millions d’euros mais est-ce suffisant au regard du contexte économique actuel ? De nombreuses start-ups peinent en effet à trouver des investisseurs, ces derniers étant plutôt frileux depuis plusieurs mois. En tout cas, AVP se laisse jusqu’à début 2024 pour convaincre des partenaires financiers, indique Le Figaro.
- Motorola Edge épinglé sur le DAS. La société Motorola a été rattrapée par l’Anfr à la suite d’un dépassement de la valeur limite de DAS sur son modèle Edge. Dans le cadre de ses missions de surveillance du marché des équipements radioélectriques et du contrôle de l’exposition du public aux ondes électromagnétiques, l’ANFR a contrôlé les débits d’absorption spécifique (DAS) du téléphone. Ce dernier doit respecter les valeurs limites réglementaires de 4 W/kg pour le DAS localisé « membre » et 2 W/kg pour le DAS localisé « tronc ». Or, les mesures ont révélé des valeurs supérieures à ces limites. Motorola a donc été mis en demeure et a écopé d’une amende de 7 500 €. Dans la foulée, la société a procédé à une mise à jour logicielle afin de réduire la puissance de ses terminaux et être conforme à la réglementation. A noter que la mise à jour est automatiquement diffusée aux téléphones correspondants, dès lors qu’ils sont connectés à un réseau de données (réseau mobile ou WiFi).
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