- Nvidia perd un actionnaire de poids. Le fonds de capital risque du groupe japonais SoftBank, Vision Fund, a révélé qu’il avait vendu l’ensemble des actions qu’il possédait au capital du fabricant de puces graphiques Nvidia pour un montant de 3,6 milliards de dollars. Masayoshi Son, CEO de Softbank, a indiqué par ailleurs qu'il envisageait de lever de nouveaux capitaux pour ce fonds afin de poursuivre la cadence de ses investissements qui s'élèvent à près de 7 Md$ chaque trimestre. Près de la moitié de ce fonds de plus de 90 Md$ (également soutenu par un fonds souverain d'Arabie Saoudite) ont déjà été investis.
- En 2018, des attaques DDoS moins nombreuses mais plus élaborées. Selon un rapport de Kaspersky Lab, les attaques par déni de service ont diminué de 13 % l'année dernière. En revanche, les assauts sont plus longs, avec une durée moyenne de 218 minutes au quatrième trimestre contre 95 au premier. Les attaques Flood UDP, qui consistent à saturer les ports du serveur cible avec une masse de paquets UDP afin de le rendre inaccessible aux utilisateurs, ont représenté près de la moitié des assauts DDoS pour des durées dépassant rarement les cinq minutes. Dans le même temps, les attaques plus complexes qui nécessitent un investissement en temps et en argent, durent bien plus longtemps. « Nous pouvons nous attendre à une évolution des attaques DDoS en 2019 et il deviendra plus difficile pour les entreprises de les détecter et de s’en protéger », a précisé Alexey Kiselev, responsable du développement pour l’équipe de protection DDoS de Kaspersky Lab.
- Une faille de sécurité dans LibreOffice et OpenOffice. Le chercheur en sécurité autrichien Alex Inführ a publié un rapport sur une vulnérabilité découverte dans les suites bureautiques LibreOffice et OpenOffice permettant à un pirate de lancer des commandes sur des postes distants. La faille a été corrigée avec la parution de l'article détaillé de ce chercheur.
- Un Raspberry Pi Store s'ouvre au Royaume-Uni. La boutique Raspberry Pi britannique permettra d'explorer les applications des mini-cartes basées sur des puces ARM, particulièrement prisées pour les applications IoT et de robotique, et de découvrir leurs différents accessoires. La boutique est installée au 1er étage du centre Grand Arcade de Cambridge, la ville universitaire où les mini-cartes ont été imaginées en 2006.
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