- ServiceNow dans le viseur de la Justice US. L'éditeur en solutions de gestion des services IT a signalé au ministère américain de la Justice des problèmes potentiels de conformité « liés à l'un de ses contrats gouvernementaux » ainsi qu'à l'embauche de l'ancien directeur des systèmes d'information de l'armée américaine - Raj Iyer - pour diriger son activité secteur public mondial, a déclaré la société dans des documents réglementaires mercredi. Le ministère de la justice examine l'affaire. À la suite d'une enquête interne, le président et directeur des opérations de ServiceNow, CJ Desai, a démissionné, tandis que Raj Iyer aurait également quitté le groupe. Joint par CIO, ce dernier indique qu'il n'a rien fait de mal : « J'ai démissionné parce que je ne voulais pas être associé à ce fiasco de quelque manière que ce soit. Ce n'est pas ma faute. Je ne sais pas ce que CJ Desai a fait ou n'a pas fait en ce qui concerne mon embauche. Cela n'a rien à voir avec moi », a déclaré Raj Iyer. « Le départ de CJ - comme indiqué - était un accord mutuel de résiliation. J'ai simplement démissionné. Je ne sais pas ce qui a pu se passer en interne pour nécessiter une enquête du ministère de la justice, mais ce serait la responsabilité de l'entreprise et non la mienne. » Selon d'anciens procureurs fédéraux interrogés par notre confrère, les allégations portent probablement sur des questions relatives à ce que l'on a pu demander à M. Iyer de faire pour ServiceNow. Les règles relatives à ce que les anciens fonctionnaires peuvent faire peu de temps après avoir quitté le service public sont complexes. Bien que le fournisseur ait conclu plusieurs contrats avec l'armée américaine, M. Iyer a souligné qu'il n'avait participé à l'attribution d'aucun d'entre eux.

- Le pop-up fou de Windows 11 frappe encore. Microsoft trouve toujours de nouveaux moyens de perturber et d'ennuyer les utilisateurs, et cette fois-ci, c'est sous la forme d'une notification pop-up inévitable. Plus précisément, les utilisateurs de Windows sont informés que leur système n'est pas sauvegardé avec la solution de sauvegarde intégrée de Windows. Un message correspondant s'affiche et conseille de faire des sauvegardes pour que toutes les données soient stockées « au cas où quelque chose arriverait au PC ». Cela ressemble presque à une menace indirecte, mais Microsoft ne fait en réalité qu'indiquer la possibilité de stocker les sauvegardes de fichiers sur son propre service de cloud OneDrive. Reste que le mode opératoire n'en reste pas moins particulièrement agaçant.

- Un modem 5G d'Apple pour 2025 ? Selon un poste sur X de l'analyste Ming-Chi Kuo, l'iPhone 17 et l'iPhone SE 4 pourraient être équipés d'un modem 5G fabriqué par Apple. « Apple accélère son abandon de la dépendance à Qualcomm », écrit Kuo. « En 2025, deux nouveaux modèles d'iPhone abandonneront les puces 5G de Qualcomm et adopteront les puces 5G internes d'Apple : l'iPhone SE4 (1T25) et l'iPhone 17 ultrafin (3T25). » Les modems de Qualcomm fonctionnent bien, alors pourquoi Apple se donnerait-elle la peine de fabriquer le sien ? La firme à la pomme a l'habitude de contrôler autant que possible le développement de ses produits, et en développant son propre modem, elle peut le concevoir pour qu'il corresponde exactement aux spécifications souhaitées et peut cesser d'adapter la conception de l'iPhone à un modem Qualcomm. De plus, il est évidemment moins coûteux d'utiliser des pièces internes plutôt que de les acheter sous licence auprès d'une autre société.