- Sunday lève 100 millions de dollars pour booster sa solution de paiement QR Code. La société, lancée en 2021 par le groupe de restauration Big Mamma et basée à Atlanta, a annoncé une seconde levée de 100 millions de dollars après une première en avril 2021 de 24 millions de dollars. Son produit permet notamment aux clients de restaurants de payer directement en scannant le QR Code. La start-up annonce par ailleurs avoir équipé plus de 1 500 restaurateurs et plus d’un million de clients ont déjà utilisé sa solution pour payer à table. Un développement à l’international est prévu dans les mois à venir.
- La RATP empoche un contrat de 500 millions d’euros « pour développer et exploiter les infrastructures de fibre optique au sein du futur métro du Grand Paris » comme le précise le communiqué du groupe. D’une durée de 25 ans, le contrat est ambitieux : quatre nouvelles lignes de métro automatisées, un prolongement de la ligne 14, le tout d’ici 2030. A travers ce chantier, la RATP compte faciliter le déploiement de la couverture mobile au sein du Grand Paris Express. Ce contrat va par ailleurs permettre la création de plus d’une trentaine d’emplois directs au sein des équipes de la filiale RATP Solutions Ville.
- Google mise sur la reconnaissance faciale pour l'accessibilité. Elle permet d'aider les utilisateurs souffrant de troubles de la parole et de la motricité à naviguer sur leurs appareils et à communiquer avec les autres. Les fonctionnalités, disponibles sous Android, appelées Camera Switches et Project Activate, utilisent la caméra frontale d'un smartphone et l'apprentissage automatique pour détecter les expressions du visage (sourire, mouvement des yeux...). Avec par exemple la possibilité de parcourir des éléments affichés sur un écran d'un simple coup d'oeil à gauche. Ces fonctionnalités font partie d'un ensemble de mises à jour du système d'exploitation annoncées cette semaine.
- La Chine interdit les transactions de cryptomonnaies. La banque centrale chinoise a considéré que les échanges impliquant des cryptomonnaies étaient dorénavant jugés illégaux. Cela signifie que les clients et les plateformes s’exposent à des sanctions pénales. La décision a eu pour effet de chahuter le cours du bitcoin et d’autres cryptomonnaies. Pour expliquer ce tour de vis, les autorités mettent en avant la lutte contre le blanchiment d’argent, mais des analystes évoquent aussi la volonté de Pékin de vouloir imposer sa propre monnaie virtuelle.
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