- HPE dans le vert. Les résultats financiers de son quatrième trimestre fiscal sont solides. La firme américaine affiche un chiffre d’affaire en hausse de 2% pour atteindre 7,35 milliards de dollars, contre 7,2 milliards de dollars un an plus tôt. Par ailleurs, elle déclare un bénéfice net de 2,55 milliards de dollars au quatrième trimestre, soit 1,91 dollar par action, contre un bénéfice net de 157 millions de dollars, soit 12 cents par action, au même trimestre de l'année précédente. Dans le détail, les ventes de serveurs (3,2 milliards de dollars, en hausse de 1%) et de solutions de stockage (1,3 milliard de dollars, en hausse de 3%) ont favorisé la croissance. L’activité Intelligence Edge décolle de 4% sur cette période avec un revenu de 815 millions de dollars. Sur l'ensemble de son année fiscale 2021 qui s'est terminé le 31 octobre, HPE a réalisé un chiffre d'affaires de 27,8 milliards de dollars, en hausse de 3%.
- Deepmind aide à découvrir des théorèmes. La collaboration entre la filiale d’Alphabet spécialisée dans l’IA et des mathématiciens a permis de découvrir des théorèmes sur la structure des nœuds et celle des représentations. Pourtant, lors des premiers travaux, les suggestions proposées par l’IA étaient si peu intuitives qu’elles ont été écartées. Les chercheurs ont publié les résultats de leurs travaux dans Nature et montrent les capacités des solutions d’IA pour prouver ou réfuter des conjectures et ainsi aboutir à la création de théorèmes. Deepmind a publié un message sur son blog sur ces avancées.
- Aqua Security rachète Argon. La start-up est spécialisée dans la sécurité du cycle de vie des applications. Le montant de l’opération n’a pas été communiqué mais pourrait se compter en dizaine de millions de dollars. Argon est une société israélienne fondée en 2020 en levant 4 millions de dollars. L’objectif de ce rapprochement est de lutter contre des cyberattaques de type Solarwinds ou Codecov qui ont terrorisé les DSI fin 2020 et au début de l’année 2021. Argon permet aux utilisateurs d'évaluer l'infrastructure et les référentiels existants, en analysant à la fois le code et les artefacts, « afin de garantir l'immuabilité du code depuis sa création jusqu'à son exécution », précise le CEO Dror Davidoff.
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