- Dernier casque VR Quest de Meta. Après avoir fait le tour de la réalité virtuelle pour ses casques, Meta passe à la vitesse supérieure avec une troisième itération de Quest taillé pour la réalité mixte. Annoncé avec deux fois plus de puissance de traitement graphique que son prédécesseur, le Quest 3 est doté d'une puce Snapdragon XR2 Gen 2. Pour l'instant, les applications présentées tournent principalement autour des jeux et le divertissement : « Lancez une balle virtuelle dans un jeu et regardez-la rebondir sur votre mur réel. Vous avez besoin d’esquiver des tirs ? Vous pouvez vous réfugier derrière votre table basse », annonce Meta. Un partenariat avec XBox pour faire tourner une partie de son catalogue Cloud Gaming est prévue en décembre. En 2024, un service « d'objets numériques interactifs sensibles à l'espace » est aussi prévu ainsi qu'un « lecteur de musique augmenté » iHeartRadio. La résolution du Quest 3 est annoncée comme 30 % supérieure à celle de la v2 (2064 x 2208 pixels par œil) ainsi qu'une netteté améliorée de 25 % et une réduction sensible d'artefacts lumineux. Le casque pèse 515 grammes, dispose de 8 Go de RAM et d'une connectivité WiFi 6E. Deux versions sont commercialisées (pré-commande dès aujourd'hui pour une livraison le 10 octobre 2023) : 128 Go à 437 € HT et 512 Go à 556 € HT.
- Saf Logistics épinglé par la CNIL. Le 18 septembre 2023, la CNIL a sanctionné la société Saf Logistics à hauteur de 200 000 euros pour avoir collecté une quantité trop importante de données auprès de ses salariés, porté atteinte à leur vie privée et ne pas avoir suffisamment coopéré avec les services de la CNIL. La société de fret aérien dont la société-mère est localisée en Chine a notamment collecté un grand nombre d’informations sur les membres de la famille des salariés tel que leur identité, leurs coordonnées, leur fonction, leur employeur et leur situation maritale ainsi que des données sensibles d'employés comme le groupe sanguin, l’appartenance ethnique et l’affiliation politique.
- Un général de la DGSE chez Orange Cyberdéfense. Selon notre confrère de Challenges le général de corps d'armée (4 étoiles) Olivier Bonnet de Paillerets, directeur adjoint de la DGSE, va être nommé numéro deux d’Orange Cyberdéfense. Ancien pilote d'hélicoptère de combat, il a notamment été commandant du commandement cyberdéfense (ComCyber) de 2017 à 2019. Cette filiale d'Orange, dont l'entrée en bourse fut un temps évoquée, a engrangé un chiffre d'affaires proche du milliard d'euros en 2022 et prévoit de renforcer ses effectifs de 800 personnes dans les prochains mois.
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