- Capgemini plus fort dans les jumeaux numériques. L'ESN a mis la main sur l’activité de services aux entreprises d’Unity, spécialisée dans les services de développement d'environnements 3D pour simuler et mieux comprendre les interactions entre des systèmes physiques et leurs homologues numériques. L’équipe Digital Twin Professional Services d’Unity a travaillé avec de nombreuses entreprises au cours des cinq dernières années pour développer des solutions 3D en temps réel. Cette acquisition va permettre à Capgemini d’intégrer un savoir-faire en logiciels de visualisation 3D dans le cadre de ses programmes de transformation numérique des entreprises. Parmi les spécialités d'Unity on trouve la modélisation et représentation de bâtiments, des expériences interactives dans des véhicules ou encore de la formation immersive (réalité virtuelle et augmentée).
- Google tue la version HTML simplifiée de Gmail. La firme de Mountain View a finalement laissé un peu de répit aux aficionados de la lecture d'emails via son interface HTML simplifié. Alors qu'elle devait disparaitre en janvier, la dead line a été prolongée jusqu'à la fin du mois de février. « L'affichage standard par défaut de Gmail offre davantage de fonctionnalités et une meilleure facilité d'utilisation que l'affichage HTML simplifié », explique Google. « Dans l'affichage standard, Gmail est une application web dotée de raccourcis clavier qui permettent d'effectuer des actions et de naviguer dans l'interface rapidement. Avec une application web, les raccourcis d'application permettent de naviguer sur le site et d'interagir avec celui-ci, tandis qu'avec une page web, les raccourcis (ou commandes) du lecteur d'écran permettent de parcourir la page et d'interagir avec elle ». La version HTML simplifiée de Gmail était appréciée pour la rapidité de son affichage idéal pour les connexions à très faible débit en laissant de côté toutes les fonctions annexes (chat, contacts, formats riches...).
- Equinix va investir 390 M$ en Afrique. Dans les 5 prochaines années, l'opérateur de datacenters américain prévoit de construire et étendre ses opérations en Afrique du Sud et de l'Ouest. « Nous continuerons à investir là où c'est judicieux sur le continent, et nous menons actuellement un certain nombre d'études pour déterminer ces opportunités », a expliqué à Bloomberg Sandile Dube, directeur général d'Equinix pour l'Afrique du Sud. Equinix est arrivé sur le marché africain il y a deux ans après l'acquisition de MainOne Cable pour 320 M$ et a commencé à installer son premier centre de données à Johannesburg, en Afrique du Sud, en 2023. Malgré la chaleur, Equinix est loin d'être le seul fournisseur à s'installer en Afrique, c'est aussi le cas d'AWS, Microsoft ou encore Huawei qui accroissent leur présence sur ce continent en raison de la forte croissance de la demande en matière de connectivité et de stockage.
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